Aigri • Agressif • Moqueur • Cynique • Aime la nourriture • Agoraphobe • Nostalgique • Sensible • Impulsif • Jaloux • Méfiant • Possessif.



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Rival du lycée:

On était toujours en compétition mais le célébrité de mon père m'a permit d'être accepter dans l'équipe nationale, je crois que tu m'en as toujours voulu mais que veux-tu le champion, c'était moi.
Te retrouver ici me fais beaucoup de mal, je ne veux pas afficher publiquement cette déchéance qui me met plus bas que terre. Ne sois pas trop dur avec moi, ce n'est pas toi qui est diminuer physiquement et moralement.

Jeune supportrice:

Tu étais l'une de mes fans les plus assidue, je t'ai souvent malmener même mes gardes du corps y allaient à cœur joie et pourtant aujourd'hui le fait que tu ne me traque plus me manque un peu.
Tu étais plus jeune que moi mais tu savais déjà très bien ce que tu voulais; nous deux mariés.

Fils de l'imprésario :

Toi tu n'a jamais voulu faire de la nage, tu n'as donc jamais été proche de ton père. Par contre ce dernier m'avait limite adopté, il s'occupait très bien de mon image, il la vendait toujours aux plus offrants, même si tu me critiquais en disant que je me pliais à une forme de prostitution passive j'ai toujours aimé nos confrontations, elles étaient explosives et me boustaient. Je voulais être le meilleur une fois dans l'eau pour te faire taire.
Maintenant on ne se voit plus, mais un nouvel arrivant dans l'immeuble te ressemble étrangement.Ce n'est pas facile d'en être sûr après presque trois ans.

Kiné(e):

C'est sur toi que je passe mes nerfs, cette frustration que j'accumule aux files des jours explose quand je passe la porte de ton cabinet. Tu es calme et je trouve ça vraiment étrange parce que ça m'incite forcement à taper plus fort. J'ai besoin de me retrouvais face à quelqu'un qui sait répliquer.

Ex:

Tu étais ma copine, tu ne m'as pas soutenue quand j'ai eu cette accident, je t'ai repousser pour mieux que tu t'accroches mais tu en as profiter pour filer.
Te revoir frapper à ma porte maintenant que je suis sur pied mais détruit me rends fou de rage. Je n'éprouve plus rien pour toi.

Coupable:

On s'est lié d'amitié à l’hôpital tu venais voir quelqu'un de ta famille mais tu passais plus de temps dans ma chambre. A présent tu es la seule personne que je laisse entrer chez moi. Tu es un homme comme moi pourtant tu en impose et je suis bien forcé parfois de faire le dos rond.Tu es le seul qui arrive à me faire taire.
(C'est en réalité le conducteur de la voiture qui a causé l'accident, se sentant coupable il était venu à l'hopital pour se dénoncer mais finalement il garde ce secret au plus profond de lui depuis maintenant trois ans.)

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à vous !