Quand nous somme mannequin. Il y a plusieurs choses qu’on a pas de temps de faire, comme aller au parc d’attraction tranquillement, manger dans un fast foot. Quoi que ça c’est également déconseiller. Mais aussi faire les choses de la vie quotidienne comme les courses. Bon en général sa ne me dérange pas, étant donné que c’est une vrai corvée. Mon manager en général a pitié de moi et me fait mes courses pendant que je suis absent, et en échange il vient souvent chez moi et comme ça on passe un bon moment. Dans ce genre de moment il n’est plus mon manager et deviens simplement un ami proche. Et faut que j’avoue que je déteste qu’il me batte à Central Dance, à croire qu’il s’entraine sans cesse. Mais bon passons. Donc comme je disais, mon frigo est uniquement composé de produit périmé depuis selon l’odeur je dirais depuis une bonne semaine. Et mon manager n’était pas en ville… Donc impossibilité qu’il m’accompagne pour aller faire les courses.
Etant complètement perdu, j’attrapais mon téléphone et appelais mon manager. Assit sur ma chaise de cuisine avec devant moi une feuille vierge et un crayon à côté j’attendais qu’il décroche avec impatience. Une sonnerie, deux… trois. Ahhhhhhhh Monsieur n’est pas décidé à me répondre. Comment vais-je faire ? Comment vais-je réussir… dans cette jungle ? Je ne sais même pas quoi acheté… Je ne sais même pas quelle marque je mange ! Je laissais tombé mon téléphone sur la table et me mit à me basculer doucement. Je suis foutue. Les courses, je n’ai jamais fait ça de ma vie. Quelqu’un la toujours fait pour moi… Je ne sais même pas comment faire pour prendre un cadi… A part faire mon boulot, en réalité je ne sais pas faire grand-chose de la vie des mortels. Je sais vaguement cuisiner, le ménage, le repassage uniquement si c’est une urgence sinon j’envoie ça à la blanchisserie. Mais les courses. Non. Je ne sais même pas si il accepte les billets de 50 000 wons… Je finis par soupirais et me laisser tombé sur la table tout en regardant mon portable qui n’était pas décidais à sonner comme par magie. Après quelques seconde, j’attrapais mon portable et envoyais un texto à mon manager disant : Appel moi. C’est TRES urgent… . Après ça, je pris la direction du salon pour prendre dans ma commande mes vêtements les plus courant on va dire. J’avais vraiment pas envie qu’on sache que Lee Wu Moon ne savait pas faire les courses et qu’il allait y passer sa journée, juste pour remplir son frigo pour une semaine. Après avoir virais tous mes vêtements, je finis par opter par une tenus vraiment moche à mes yeux. Un ensemble de sport noir et gris de Jean Paul Gaultier, je me demande comment il a put crée quelque chose d’aussi hideux. Surtout que sa signature était vraiment mal placée à mes yeux, elle se trouvait tout le long de la capuche et le long des coutures du pantalon. Je l’enfilais rapidement en soupirant grandement, si on me reconnaissait jamais je pourrais survivre. La je suis tout sauf un mannequin. Limite on pourrait croire que je me suis habillais dans le noir… Bon assez parler j’attrapais mon portable et mit mes mocassins noir. Et c’était partie pour aller au supermarché.
Une fois en bas, je vis comme toujours mon chauffeur prêt à me servir. En me voyant il eu presque une crise de fou rire. Sans attendre je lui lançais mon fameux regard noir, et sans attendre il s’excusa platement et m’ouvrir la portière ou je m’y engouffrais sans attendre. Quelques secondes après il était dans la voiture également et me demanda ou nous devions aller. Je détournais la tête vers la fenêtre et lui dit de se rendre au supermarché le plus proche d’ici. Il me demanda de répétais ma demande pour être sûr qu’il avait bien compris. Je marmonnais « Tu as très bien compris, alors traine pas. Je veux ne pas y passer ma journée… » Même si cela était déjà trop tard. Et je fus même surpris de savoir qu’à dix minutes de chez moi se trouver un supermarché. Une fois arrivais, je regardais mon chauffeur étonné et lui dit.
« C’est ça … un supermarché ?
-Bien sur Monsieur Lee. Avez-vous encore besoin de moi ? , il s’inclina
-Non… Vous avez finit votre journée, je rentrerais avec le manager Kim… si j’arrive à le joindre
-Je vous remercie Monsieur Lee. Passez une bonne journée, il s’inclina un dernière fois, puis repartie avec la voiture »
Pendant ce temps je restais de marbre devant le local. Enfin un grand local. J’étais étonné, il n’y avait pas d’autre mot. Je ne savais pas que c’était si petit. Tout les centres commerciales ou je vais font au moins le triple d’ici. Je finis par me lançais dans cette nouvelle aventure en passant par la première étape : prendre un cadi. J’avais juste normalement à glisser une pièce dedans et à tirés. En soit quelque chose de très facile. Et c’était donc fièrement que j’attrapais mon cadi. Je dois avouer que j’étais content de moi pour le coup. Maintenant j’étais face au porte automatique. Je respirais un grand coup, puis mit ma capuche et entrai. Ca y ait, j’étais dans la jungle. Tout le monde courraient dans tout les sens, sa criait, riait. C’était à en donner mal à la tête. Le magasin était légèrement frai comparait à dehors ou la chaleur était bel est bien présente. J’avançais d’un pas complètement incertains et hésitant, j’hésitais à prendre des aliments, sachant pas si j’aimais ça ou non. Je finis par faire rapidement la moue, et prit mon portable et appela tout simplement mon manager une seconde fois. Mais comme une fois n’est pas coutume : répondeur. Je lui laissais un message fort agréable, avant de raccroché et appelais quelqu’un d’autre. Je regardais plusieurs fois mon répertoire, en me rendant tout simplement compte que je pouvais appelais personne. Ce dernier était remplit de mes exs. Et je ne suis pas sûr que ses demoiselles et monsieur apprécie que je les appelle pour savoir ce que je mange. Et de toute manière ils ne doivent pas le savoir. Je finis par arpenter les rayons en regardant tout les aliments me posant toujours les mêmes questions. « Mangeable ? Bon pour moi ? J’aime ça ? » Après deux bonnes heures, le cadi toujours aussi vide, et complètement agacé par toute cette histoire je tente le tout pour le tout en allant au rayon ramen. Sachant ou il se trouve, je m’empressai d’y aller. Et dans mon empressement je bousculais quelqu’un. Pas grave, la personne allait s’en remettre, donc c’est sans m’attarder ni m’excuser que je continuais mon chemin, jusqu’à que cette dernière commence à exploser de rage. Je me retournais doucement, avec un air légèrement inquiet, mais voyant une femme. Je lâchais un léger soupire, rassuré.
« Effectivement, le magasin n’est pas assez grand. Avez-vous la minuscule superficie qu’il offre ? Ceci est terrifiant. Et puis, je pense sincèrement que vous allait vous en remettre. Vous n’êtes pas à l’article de la mort non ? »
Tout en terminant, je m’étais bien rendu compte que se que je disais lui importait peut. Madame était en train de me dévisager en fronçant les sourcils. Donc dans un automatisme je penchais doucement le visage et m’approchais d’elle légèrement, de un ou deux mètres grand maximum, erreur fatal. Sa voix aigu légèrement aigu, du à l’étonnement me parviens aux oreilles. A sa question, je me redressais fièrement avant dire
« Les magazines, vous devez surement… »
Arg. Elle m’a coupé la parole, que je déteste ça. La politesse c’est la moindre des choses… Tiens à croire que je fais de l’humour-là. … Aéroport…. Mais elle me parle de quoi la demoiselle ? Mon cerveau se mit à réfléchir à toute allure, me demandant bien pourquoi elle avait dit ce mot-là. Tout en réfléchissant je me passais une main dans mes cheveux et murmura.
« J’ai une impression de déjà vu…, je relevais la tête brusquement me souvenant de tout, Ahhh ! Mais c’est vous ! La folle !
- Etant donner que c’est là deuxième fois que vous me rentrez dedans je dois me préparer à une troisième fois ?
Constatation : elle ne m’a pas écouté. Wu Moon Schok
« Après tout pourquoi pas, jamais 203 n’est pas ? »
Je lui gratifiai un petit sourire assez narquois. Puis je m’approchais d’elle avec mon cadi et lui fit un signe de tête vers mon cadi vide et lui chuchota.
« Les ramens au poulet… c’est les rouges ou les jaunes ? »
Suite à cette question, je ne souhaite même pas imaginer comment elle doit me prendre pour un attardé et aussi pour un véritable abrutie qui est incapable de faire ses courses. Chose qui vrai, mais que je nierais en bloc. Mais surtout, je me sens honteux... être incapable de me débrouillais seul. J'ai honte.. Trop honte. Manager Kim, je vous déteste !