2h de retard. Apparemment, il commence à prendre les bonnes vieilles habitudes du tram. Quelle chance ! Nous somme gâté. Et le pire c’est que j’ai aucune façon d’évité de prendre l’avion, c’est tout de même le plus pratique pour passer d’un pays à un autre. C’était donc un Wu Moon, c'est-à-dire moi qui descendait de l’avion de mauvaise humeur, avec en plus le dos en compote. Malgré les fauteuils première classe resté des heures assit sans rien faire était barbant et n’empêchait pas les mal de dos. Mais ma mauvaise humeur n’étais pas prête de partir, effectivement dès que j’ai récupérais le réseau et que j’avais enfin les pieds sur le sol coréen, je n’ai même pas eu le temps de respirer que mon portable sonna. Sans surprise je vous donne en mille qui m’avez appelais : Mon manager pour savoir ce que je foutais. Résultat c’est entre deux reproches que je réussis à glisser que ce n’étais pas de ma faute étant donné que l’avion avait de deux heures de retard. La réponse de mon manager « Je suis sûr que le client que tu as raté sera ravie de cette réponse. Je te préviens si tu perds ce client, tu vas m’entendre jusqu’à que tu te sois fait pardonner » A cette phrase toute faite de son manager, Wu Moon lâcha un rire en répondant « Promis, je te payerai un resto au français » Son manager tenta de lui dire qu’il était sérieux et que ce n’était pas le moment de rire, mais malheureusement pour lui. Lui-même n’arrivait pas à garder son sérieux, et puis la proposition de Wu Moon l’intéressait drôlement, c’était donc à ce moment-là, voyant son manager détendu qu’il lui dit « Bon, je vais raccrocher, je vais passer par chez moi, je prends une douche et je viens. Si j’ai un imprévu je viens. Sinon on a d’autre rendez-vous ? ». Il lui répondit que non, donc Monsieur avait du temps libre. Rien qu’à cette pensée un petit sourire apparut sur mon visage en murmurant « Parfait… »

Au final, j’étais de bonne humeur. Une soirée à moi, après une semaine aux USA, à flânait dans des soirées ennuyantes ou tout le monde parle uniquement anglais. Quelle idée franchement ? Le coréen est aussi une très belle langue et en plus je la parle, alors que demandais de plus ? Mais apparemment cela ne suffisait pas… A cette pensée je roulais doucement des yeux puis prit la direction des portiques pour enfin rentré dans l’aéroport en soit même. Visage relevé, démarche parfaite, vêtement parfait. Normal, étant habillais uniquement en Prada, Louis Vuitton, et Hermès. J’étais prêt pour éblouir le commun des mortels que cela soit par ma beauté, mon look ou ma démarche. Les mains dans mon blouson en cuir j’avançais avec assurance, et me dirigea sans attendre vers mes valises qui tournait encore en attendant que je la récupère. A ce moment-ci j’étais persuader d’avoir perdu en classe, je pense peut être à engager un homme-a-tout-faire qui me suivrais… ça serait une bonne idée je pense, et puis sa m’éviterais de faire certaines choses. Bref. Passons. Après avoir récupérais mes valises, je repris mon chemin pour sortir. Avec doucement un sourire qui s’étirais sur mon visage, les têtes se retournaient derrière mon passage, que j’aimais ça. J’adore attirais les regards sur moi, il me conforte dans mon égaux légèrement surdimensionné. Je me demandais si certains me reconnaissait ou non. J’adore joué à ce petit jeux lorsque je marche, et aussi sa m’occupe. Mais finis de se pavaner, un cher et tendre agent de sécurité viens de m’arrêter pour un contrôle de sécurité banale. Par moment je pense vraiment que la Corée à trop peur des attentas à la bombe et aussi des terroriste à mon avis. Car je suis certains que même avec tout ses passage obligatoire des bombes ou autres arrivent à passer. Après avoir tendus les bras, écarté les jambes et avoir subit la fouille par le toucher et le détecteur de métal, l’agent m’annonça avec un grand sourire que je n’étais pas un danger pour la population et me souhaita de bonne vacance sur le territoire coréen. Je lui jetais un regard noir avant de répondre de mon air le plus hautain « Je suis coréen » Je restais à le regardais encore quelques secondes avant de reprendre mon chemin en soupirant. Cela me donner une raison de plus de détester les aéroports, a vouloir bien faire ils finissent par faire des gaffes. Je m’étais certes emporter pour rien, mais je détestais cela, les erreurs comme celle-ci, si simple à éviter à mon goût. Je sortie mon portable en râlant quelque peu et vit trois messages non lus. C’était sans surprise que j’en vis deux de mon manager et un de ma messagerie en me disant que mon manager avait essayé de m’appelais et qu’il n’avait pas laissé de message. Mais quel information dite-moi.

Il me rester encore 300 mètres avant la sortie. J’allais pouvoir y arriver sans encombrement j’espère. Mes yeux se baladèrent sur la vie autour de moi, de jeunes femmes courraient dans tout les sens pour ne pas raté leur avions, des personnes du troisième âge quant à elles étaient assit et attendait que le temps passe tranquillement. Je trouvai dommage qu’ils restent ici alors que dehors le soleil brille de mille feux. Je fis craquer mon cou, puis mon regard se bloqua sur une vieille dame qui trainait avec difficulté son énorme valise. Même si j’étais une personne assez solitaire et plutôt fort désagréable, enfin c’était tel que je me voyais, j’avais énormément de respect pour les personnes plus anciennes que moi, excepté mes parents mais cela est une tout autre histoire, donc c’était naturellement que je pressai légèrement le pas pour venir à sa rencontre. Elle semblait assez déboussolé et vu ses habits je supposais quelle devait venir de la campagne. Une fois à sa hauteur je m’inclina poliment à 90°, puis lui demanda.


Je souris automatiquement à son compliment, puis il prit sa valise tout en lui demandant ou elle allait. Elle me répondit quelle devait faire enregistré son billet mais quelle ne savait pas du tout où cela se trouvait et aussi qu’elle n’était pas habitué à tant d’agitation concentré dans le même endroit. J’eu un petit rire, qui la fit sourire, puis en lui tendant le bras je lui proposai de me suivre, connaissant cette aéroport comme ma poche depuis le temps. Je connais même certains employés. Je lui demandais ce quelle venais faire ici, elle me répondit sans attendre, contente que on lui demande « Voir mes petits enfant, au Japon… a Akasa… Ou quelque chose dans le genre… je ne sais plus ». « Okasa non ? » Lui répondis-je, elle acquiesça de la tête puis elle se mit à me parler de sa fille Min Ae, qui c’était marié à un japonais très gentil, et cela continua ainsi jusqu’à que nous arrivâmes au second guichet, le premier étant occupé. J’offris à l’hôtesse mon plus beau sourire et lui montra le billet en disant.


Elle inclina la tête puis prit le billet et le passeport de la Grand-Mère, puis je me pinçais les lèvres me disant que après je ne pourrais plus m’occuper d’elle, je me raclai la gorge


Je m’inclinai légèrement puis laissa partir la Grand-Mère que j’avais rencontrais quelque minutes plus tard. Cette mamie m’avait donné le sourire, elle était vraiment gentille, et remplit de bonne volonté j’espérais quelle ferrais bon voyage et qu’à son retour elle trouverait une personne pour l’aider. Je finis une dernier sourire à l’hôtesse tout en sortant mes clefs de voiture de ma poche puis je tourne la tête vers le guichet d’a côté par curiosité, rien de bien intéressant. Par contre l’hôtesse était mignonne et c’était ma chère Min Yeon, nous avons une bonne relation, elle me tient souvent compagnie lorsqu’elle est en pause et que moi j’attends tout seul. Je lui fis un léger signe de main, puis dévia mon regard sui la personne qu’elle servait. Cette silhouette fort plaisante me rappelait quelque chose. Mes yeux regardait ce corps de haut en bas, et bien évidement s’arrêta sur les belles petites fesse rebondit, c’est uniquement lorsque mes yeux se posa sur se visage que je reconnus la personne devant moi. C’était mon ami de Chine, Watanabe Haruto ! Ca fait au moins deux mois que nous, nous somme pas vu. Je souris grandement, et sans prendre garde à ce qu’il faisait, je passai mon bras au dessus de son épaule tandis que mon autre main tirait ma valise et l’entraina hors de la file en marchant continuellement sans réel but.

J’avançais sans but, sachant pas vraiment ou allait. En ce moment j’étais juste content d’avoir retrouvé une connaissance. Je lui devais une fière chandelle en Chine, sans lui je crois bien que certaines boites n’aurait pas renouvelé mon contact par la suite faute de mettre présenter au shooting et je dois avouer que cela m’aurais fortement touché. J’aime mon métier et le raté pour une raison aussi débile que la langue me rend fou. Je trouve même que les gens exagèrent quand ils disent que la langue n’est pas une barrière, que nous pouvons tout faire même si nous somme incompris autour de nous. C’est faux. Je suis certains que si je mettais des personnes en Chine et que je leurs dis de se démerder ils seraient incapable de communiquer et cela poserais un problème à la longue. Et le sentiment de solitude est aussi bel et bien présent. Mais passons sur mes idées. Un petit sourire aux lèvres je décidais de me diriger vers la cafétéria. Ici rien n’était bon excepté leurs cafés et les tartes aux citrons. C’était que de l’industriel mais pour une fois c’était bon. On marchait plutôt doucement, il avait l’air légèrement perdu dans ses pensées. Il n’avait pas l’air très enthousiasme à me revoir. Sympa. La prochaine fois je pense que je tracerais ma route. Cela ne servirait à rien que je supporte cette tête gêné plus longtemps. Je finis par retirais mon bras et enfonçais ma main dans ma poche tout en te répondant

« Je sais simplement à qui je dois certaines chose. Va pas t’imaginais autre chose. »

Je détournais le regard, agacé, je n’aime pas ça. Mon ton était légèrement froid. Voir complètement en faite. Sans attendre plus longtemps, je regardais devant moi, la tête haute. Mon visage complètement vidé d’expression, dur avait ce côté hautain que je me donnais si souvent lorsque je suis dans les lieux publics. Je vis plusieurs personnes s’arrêtaient et chuchotait autour entre elles. Lorsque j’avais commençais mon métier, jamais je n’avais crus que notre métier avait autant d’impact sur la société. Je ne savais pas que on pouvait adorait un mannequin comme une idole. Je veux dire, je suis reconnus dans la rue, tout comme une idole pourrait l’être. A la différence d’eux, je ne me vente pas d’avoir de multi-talent. Je suis uniquement bon dans le mannequinat, et cela est parfait.

Une fois arrivait à la cafétéria, je te laissais légèrement en plan. Voir complètement en réalité. Je faisais ma petite vie tranquille. En commençant par saluait poliment les employés puis je pris un plateau et leurs annonçais ma commande

« Bonjours, je voudrais un café noir sans sucre et une part de tarte au citron s’il vous plait »

Après avoir fait quelques sourire et les avoir payés je pris la route pour aller m’assoir tenant d’une main mon plateau en tentant de ne rien faire tombé et de l’autre je tirais encore ma valise. Je m’assis au fond sans faire attention à si tu arrivais ou non. Ma valise sur la chaise d’à côté, je sortis mon portable de ma poche et envoya un texto au Manager Kim « Viens, me cherchais dès que tu peux – Thx » En espèrent qu’il ne soit pas occupé avec une actrice ou un acteur, car si il l’est. J’allais rentrer dans longtemps. Et je n’avais pas envie d’appelais un taxi, je déteste les taxis. Et mon chauffeur est en congés jusqu’à demain. Je sortis par la suite mes RayBan est les mit. Maintenant je voyais le monde à travers mes verres bleus et personne ne pouvait voir à quel point je fatiguer de ma journée, et d’autre chose aussi…

Je m’appuyais sur mon poing regardant la foule s’hâter dans tout les sens, lorsque tu viens me rejoindre, légèrement gêné apparemment. Tant mieux. Tu n’avais pas l’air enchanté de me voir, donc autant rendre ce moment insupportable, et puis sa m’amusera le temps d’une petit demi-heure. Je finis par changer de position, en me laissant mon dos s’appuyais contre le chaise, croisant les jambes et les bras. Cette position était parfaite, et je savais que c’était l’un de mes meilleurs profils, d’après les photographes sous cette angles, je suis assez attirant, et je fais ressortir un côté accessible aux autres. Enfin cette dernière partie, je ne la comprenais pas complètement mais bon. Dieu merci que je portais mes lunettes. Cela me permettait de t’épier dans ce que tu faisais sans que tu le saches. Au bout de deux trois minutes, je lance

« Il fait chaud.

Je retirais donc doucement la veste en cuir et me réinstallais de la même manière, avec un petit sourire aux lèvres. J’étais assez fière de moi. Je n’avais absolument pas chaud, mais de cette manière tu voyais parfaitement bien les muscles de mes bras. Et je savais pertinemment que physiquement je te plaisais. Comme tu me plaisais. Et pour t’agaçais, et pour te faire regrettais d’avoir eu l’impression de t’ennuyais J’allais m’amusais à te montrais mon corps, enfin du moi, se qui était visible en public. Je finis par portais ma tasse aux lèvres en détournant doucement la tête, mais ayant toujours un œil sur toi et tes faits et geste. Cependant à trop me la vouloir joué mec parfait, j’en avais oublié que le café était brulant, c’était donc sans surprise que je me brûlais la langue. Je fermais vivement les yeux, pour faire passer la douleur tandis que mon visage était resté sans aucune autre expression. Je reposais mon café ni trop vite, ni trop lentement pour que tu te rendes compte de quoi que se soit. Mais en tout cas je peux dire que je souffre. OhMonDieu, se brulait la langue sa fait hyper mal ! Mais ne laissait rien paraitre était encore plus dur. Mais jamais, pour rien au monde moi, Lee Wu Moon montrerait ce genre de faiblesse, cela casserais un mythe je pense. Lee Wu Moon l’homme mystérieux qui semble avoir aucune faiblesse, se brûle avec un café comme un gamin. Oh Mon Dieu, cela signerais la fin de mon image si sombre, avec une vie remplit de tâche noirs.

Tout en pensant à ça, je retournais la tête vers toi, sans faire attention à toi, cette fois-ci c’était à mon tour d’être plongé dans mes pensées. Pour la centième fois je remerciais mentalement l’image qu’on avait de moi. Cela me permettait de jamais parler de ma vie privé, et donc de protéger mon intimité, et le peu d’amis que j’ai. Et aussi mes histoires de famille accessoirement.

Break up ! Mune ni himeta yume wa Dare no te mo kiseyashinai sa ♫

Mon portable avait brusquement intervenu dans le silence de mort. Directement je plongeai ma main dans ma poche et le sortit. Voyant « Jan Di Noona » un grand sourire apparut sur mon visage et je décrochais

« Noona ! Comment vas-tu ? … Oui, depuis une heure même pas…. Chez moi alors ? …. Okey, soir à 20h alors… J’ai hâte, tu vas voir ce que je vais te faire, tu vas adorais ! … Ah Ah, ouais ouais c’est ça… allez bye Princess ~ »

Lorsque je raccrochais je repris mon visage habituel. Ce qui à vrai dire maintenant avait perdu en toute crédibilité, surtout que j’étais assez excité à être se soir et à revoir ma sœur, cela devait faire des mois entier que je ne l’avais pas vue. Mon portable sur la table je louchais dessus pour voir si mon manager m’avais répondu, mais apparemment non. Donc je finis par me pencher légèrement pour manger ma part de tarte