Il y a des jours ou la vie est un long fleuve tranquille, tu te réveilles de bonne humeur, regardant le plafond pensant que tout est beau, que la vie est bien faite, que travailler dans une confiserie est la plus belle chose qui existe. Et bien oui, c'est se que je pense à chaque fois que je sais qu'aujourd'hui je vais aller travailler au Sugar Lollipop. Travailler là-bas est un plaisir, amoureuse des chocolats et sucreries, je ne pouvais rêvé mieux, je remercie tout les jours le patronne qui ma engageai pour être vendeuse et depuis quelque mois, il me laissait gérer la confiserie seule, il avait mis toute sa confiance en moi, faisant preuve d'enthousiasme, de rigueur et de savoir faire. Enthousiasme je l'étais, qui mieux que moi peut s'extasier lors de proposition de sucrerie plus que d'autre. Du savoir faire, j'en avais à ras bords, j'aimais les chocolats et sucreries, je leurs vouer un culte. Et se que j'aimais plus que tout dans la confiserie en plus des sucrerie proposer, était que tout sois précis, rien qui déborde, tout devait être parfait, comme la patronne avait dit de moi, je suis très rigoureuse, qui n'aimerais pas entrée dans un environnement agréable, un endroit remplis de bonheur. Je mettais un point d'honneur à rendre de cette endroit agréable de vie, je veux que chaque personne franchissant cette porte, soit persuader qu'ils trouveront forcément leur pêché mignon, même un sachet infiniment petit, chaque client devait trouver se qu'ils cherchaient et qu'ils partent le sourire aux lèvres.

La commande que j'avais passer la semaine dernière était arrivée aujourd'hui, prions le livreur de bien vouloir les installer à l'arrière de la boutique, que nous allons procéder à la vérification des marchandises, ne le ravie pas, aucun livreur n'aime livré quand je suis de service, je retarder leurs livraison après moi, ils disent tous que je prend trop de temps à vérifier que tout est en ordre, que rien n'est moisie ou en mauvaise états ou bien qu'il manque des marchandises. S'en faire attention à ses grimaces et encore moins à ses bruits de désapprobation, je vérifier que tout est en ordre, les produit commander avec les bonne quantité était bien là, ainsi qu'aucun produit n'étais endommagée, tout était parfait, pour la première fois, aucune anomalie ne figurée sur les commandes, se qui me ravie, sourire aux lèvres, je signai le bon de livraison, maintenant il ne ma manquer plus qu'à ranger les cartons dans un ordre bien défini, se qui devait être mis en magasin, les nouveautés à donner en dégustation, se que je fis de suite, je devais ouvrir dans une heure, prenant les sachets de confiserie pour réapprovisionné au magasin, je les posa sur un cabrouet - moyen de transport pour marchandise - soigneusement nettoyer par mes soins, et me dirigeai vers la plus joli partie du Sugar Lollipop. Bien évidemment je mis des gant en latex avant de placer les confiserie dans leur réceptacle, bocaux et autres, préparant l'assiette en forme de fleur pour les nouveautés en dégustation, je le posa au centre du magasin et alla renverser le reste dans qui allait être son réceptacle. Après que tout sois fini, j’enlevais les gant en latex et ouvrir la porte principal.

Je regardais le Lollipop avant qu'il ne soit envahie monde et que beaucoup de clients se mette à toucher tout se que j'avais préparer, je supportais assez facilement que les autres devrait poser quelque un de leurs microbes dans ma magnifique confiserie, surtout qu'après que tout soit fermer, je nettoyer de fonds en comble, rien que de penser à cette perspective me réjouie.

8h00, j'entendis le carillon m'annonçant qu'un client venait d'entrer, me retournant je leurs souhaitais un bienvenue avec sourire, leur informant que je suis à leur entier disposition si ils avaient besoin d'aide, mes principaux clients étant des enfants, des adolescents, ils n'avaient pas réellement besoin d'aide, je m'adressai principalement au clients plus âgés désirant s'offrir une douceur. Plus l'heure avançais, plus je me demandais si il n'allait pas être en retard, non pas que je me fatigue de conseiller certain client, mais c'est que lui il était différents. Arthur était mon binôme à un job d'été, nous étions semblable, avoir trouver quelqu'un de similaire à moi était très difficile, mais la vie est tellement plus facile avec lui, je ne m'inquiétais jamais de se que je fais on sa présence et paraître bizarre, il était autant maniaque que moi, on s'adoraient. J'aurais pas pu rêver mieux comme ami. Je fus sortis de mes penser en entendant quelque-chose tomber et écoutant plus attentivement, s'était les chocolat en forme de bille qui venait de tomber, prenant le balai et la pelle, je me précipitai vers le couloir chocolat et passa un coup pour ramasser les chocolats et un deuxième, troisième et quatrième coup pour les miettes, la femme s'excusa, je lui souris, lui informant que cella n'était pas grave, que la prochaine fois elle devrait faire plus attention toujours avec cette voix douce et calme. Sans m'attarder plus, je me précipitai vers la caisse, y jeta se que contenait la pelle dans la poubelle se trouvant sous le comptoir de la caisse. Me nettoyant les mains avec le gel désinfectant, je remarquai que sachet était en déséquilibre avec les autres, j’entrepris de le rééquilibré, tournant le dos à la porte d'entrer, j'entendis un léger son venant de l'entrée, je ne pris pas attention, étant bien occupé à repositionné le déséquilibre qui s'était installé sur mon étagère.

« Mi Yeoooon ssi ! SURPRISE ! »

Je reconnaissais cette voix, elle m'est si familière, j’eus un sourire et me retourna, aucunement étonné de celui qui venait de me faire une surprise, d'une voix plus joyeuse que celui que j'accordais au client, je lui dis :

« Arrrttthhhuuuurrr, tu tombe bien, j'ai quelque-chose à te donner et tu es à l'heure, comme d'habitude »

J'avais préparé plus tôt un sachet de bonbon et une petite boîte de chocolat que j'avais fait pour lui, bien avant que les client arrive, que les nouveautés, les sachets spécial et les boîtes à chocolat étant réserver au client dépassant un certain montant, lui était mon client spécial, c'est mon ami, celui que j'aime, il avait bien droit à certain de mes privilèges. Avec sourire je m'étais rendu à la caisse, pris le sac pelliculé chocolat dans lequel j'avais soigneusement mis le sachet bonbon avec la boîte de chocolat et retournant auprès d'Arthur, tendant le sac en sa direction.

« Voilà pour toi, je tes fait une sélection des nouveautés qui sont arrivé ce matin »

Arthur a toujours éprouvé quelques difficultés dans le fait de savoir à quel monde il appartient. Sa mère était franco sud-coréenne mais elle est malheureusement décédée dans des circonstances dignes d’un thriller psychologique. C’est en étant internée dans un hôpital psychiatrique duquel elle devait bientôt sortir qu’elle a trouvé la mort à cause d’un personnel incompétent qui, en plus de s’être trompé de diagnostic, avait augmenté la dose journalière des piqûres qu’elle recevait. Arthur n’avait que deux ans à l’époque. Il en néanmoins énormément souffert. Aujourd’hui, c’est un jeune homme équilibré mais il est passé par un bon nombre d’embûches au sein de son existence. Son père n’est pas son géniteur, néanmoins c’est l’homme le plus adorable du monde. Arthur ne le voit pas autrement que comme un père. Ce dernier a tenu à lui apprendre la langue maternelle de sa mère. Arthur est donc parfaitement bilingue. Pour améliorer ses connaissances concernant la culture ainsi que la langue française, car M.Kang restait un Coréen pure souche qui ne pouvait pas tout apprendre à son fils, il l’envoya à Paris pendant quelques temps un an sur deux. Les billets coûtaient chers mais papa Kang se débrouillait toujours pour pouvoir offrir cela à son fiston. La première fois, Arthur était encore un adolescent fragile et dubitatif. Alors que la plupart des asiatiques rêvent de l’Europe et plus particulièrement de la France pour en revenir déçus, ce fût tout le contraire pour Arthur. Il s’y fît même des connaissances et y retourne le plus possible. Dés son arrivée, il fût fier d’être franco sud-coréen. Il y découvrit les meilleurs confiseries qu’il avait mangées auparavant et celles du sugar lollipops lui rappelaient curieusement ces séjours dans la métropole française, riche de saveurs et d’images.

Bien sûr, Arthur était arrivé à l’heure au Sugar Lollipops. Il ne devait pas faire attendre son amie. Celle-ci le complimenta, une fois de plus, sur sa ponctualité. Pourtant, il la trouvait tout à fait normale, tout comme elle. Ils étaient vraiment pareils. La seule fois où Arthur était en retard, il l’avait prévenue par portable, c’est la moindre des choses : sauf qu’il est le seul, ou presque, à avoir recours à ce genre de démarche.

Arthur, le sourire aux lèvres, écoute attentivement son amie qui lui explique qu’il tombe à pic car elle lui a fait une sélection des meilleurs arrivages datant du matin-même ! Arthur en fût ému, cette petite est réellement adorable, en plus d’avoir un charmant minois. Ils ne sont pas amis pour rien : beaux, maniaques, bien élevés et aimant les même choses. Ils savent qu’ils pourront toujours compter l’un sur l’autre, sans avoir aucune arrière-pensée malsaine envers l’autre et cela rassure notre jeune homme :

« Ooh, merci, tu es adorable. Ca tombe bien, je viens de recevoir ma paye. » Arthur sort fièrement un magasine qu’il déplie sur le comptoir à la page qui le concerne :

« Tu as vu toutes ces photos ? Laquelle tu préfères ? » Arthur étant mannequin, il aime se faire prendre en photo et se faire conseiller par ses amis ou leur demander simplement s’ils en préfèrent un en particulier, et si oui : lequel. Min Yeon étant l’une de ses amies les plus proches, il est tout à fait normal qu’il les lui montre :

« Ca te dit un petit café dés que tu auras fini de travailler ? »

PS: Désolée, j'étais absente. Tu peux me frapper * Out * TWT

Il était arrivé à l'heure, je l'en complimenta, comme d'habitude. Arthur n'étais jamais en retard. Je me souviens du jour ou il est arrivé en retard, ce jour là, il avait prévenu 1 heure avant notre rendez-vous . Entre Arthur et moi, tout était déjà prêt, calculé. Il était normal que l'un comme l'autre prévienne d'un retard et c'est pas tout le monde qu'il le fait. J'aimais Arthur pour ça, il est comme moi, perfectionniste. Lui offrir un cadeau était un véritable plaisir. Je souris un peu plus, lorsqu'il m'informa de la bonne nouvelle. Il venait de recevoir sa paye. Aussi fièrement qu'il m'avait annoncée ça, il sortit un magazine et le déplia à la page qui le concerne.

« Oooohhhh »

J'applaudis de joie en regardant les photos. Il est parfait sur toute les photos, mais je devais trouver un en particulier. Il est difficile de trouver une qui me plaise vraiment, je l'ai aimer toute. Je me concentrai un peu plus sur la possibilité d'imperfection sur les photos. Comme je l'imaginai, il y en a aucune, c'est pas mon binôme préféré pour rien. Il ne laissait rien qui échappe à son contrôle. Finalement au bout de 5 bonne minutes, j'en trouvais enfin une qui me plaît. Avec un sourire de victoire, je lui montre la photo en question :

« Il est difficile de trouver, mais j'ai réussi, c'est celle-là que je préfère... »

Une cliente arriva au comptoir et me passa son sachet que je prît avec sourire. Le sachet pesé et payée, je remercia la cliente et lui souhaita de passer une bonne journée.

« Avant que nous soyons interrompus, je disais que celle-là est ma préféré. Un choix difficile, j'ai essayer de chercher des imperfection sur toutes les photos, mais j'en ai pas trouvée, il serait d'ailleurs étonnant que j'en trouve. » petit sourire.

Être perfectionniste était un atout lorsque l'on est mannequin. Arthur ne devait pas avoir de mal dans le mannequinat, je l'imaginai mal faire des caprices tels que foutre le bordel dans le studio ou en retard à un shooting photos, ça retarde tout et c'est très énervant lorsque quelque-chose prends du retard ou pire qu'il laisse des affaires un peu partout dans le studio. Il me proposa de prendre un petit café lorsque j'en aurait fini avec mon travail. Je regardai la montre au-dessus du comptoir.

« Dans trente minute exactement une deuxième vendeuse viendras, nous pourrons aller boire un café à son arrivé. »

La boutique de confiserie devait avoir au minimum deux vendeuses. Elle ne devait pas être laisser au bon vouloir des clients, les pauses déjeuner est prises alternativement. Une vendeuse devait rester dans la boutiques. Les trente minutes s'écoula. La vendeuse franchissait la porte d'entrée, pile à l'heure. Toute les vendeuses comme les vendeurs informé que j'étais leur binôme à la boutique, ils étaient tous à l'heure. Ils détestaient travailler avec moi, parce-que je leur donner des ordres du comment faut-il placer cela ou la façon de mettre en harmonie une étagères sans paraître vulgaire, alors que je ne suis qu'une employée à mi-temps. J’informai la vendeuse que je prends une pause d'une heure. Elle ne cacha pas sa joie. Je pris mon sac à mains derrières le comptoir et me dirigea vers Arthur.

« On y va Arthur? »

Spoiler:

J'étais si contente de voir mon binôme, quand il me montra le magazine dans lequel il avait posé, à chercher le bon et lorsqu'enfin je l'avais trouvée, je lui en fît par de ma photo favorite, sourire au lèvres. Il m'appris que le boulot d'un mannequin est de pouvoir passer une émotion dans tout son corps. Je fis oui de la tête tout en regardant une nouvelle fois le magazine, des clients venant payer le commande, j'étais autant à leur disposition à qu'à celui d'Arthur, qui me faisait la conversation.

« Je m'attarde plus sur les abdos des mannequin qu'autre chose. »

S'était sortie comme ça, mes joue devenant rose, je pris le magazine et cacha mon visage, il va me prendre pour une dingue, même si je ne le voyais pas, je sentais son rire muet, je baissais légèrement le magasine pour qu'il voit mes yeux, comme le chat potté.

« Tu as tout à fait raison. »

La discutions devenait très animé, nous parlions de tout et de rien puis lui à me charrier de mon obsession pour les abdos des mannequin. Chaque fois qu'un client venait à la caisse, il se met de côté et ça dura environ trente minutes, comme prévu la vendeuse était arrivée à l'heure, j'aimais beaucoup les gens qui arriver à l'heure, mais je me doutais qu'elle n'aimait pas que je l'oblige à être à l'heure et pas cinq minute de retard. On me dit souvent que si une personne est en retard, c'est peut être qu'il a eu un petit soucie de contre temps, le petit soucie de contre temps je veux bien, mais ne pas me prévenir, ah ça non et qu'on vienne pas me dire qu'ils peuvent pas prévenir, Arthur, lui y arrive, alors aucune excuse.

Rien ne vaut un petit moment avec mon binôme à discuter de tout et de rien, à se préoccupé des imperfection de la vie. Nous marchions lorsqu'il m'offrir le magazine, je souris à pleine dent. Il me montra ensuite une recette française, je regardai attentivement la recette, ça pouvait être amusant de la faire et ça me fera une nouvelle recette à faire.

« Intéressent, mais on le fera ensemble, tu connais mieux que moi les ingrédient. »

Spoiler:

Arthur ne peut pas se retenir de sourire. Effectivement, sa meilleure amie lui avoue de but en blanc qu'elle s'attarde davantage sur les abdominaux des mannequins plutôt qu'à la façon dont ils portent les vêtements. Il est évident que l'un ne va pas sans l'autre mais que la plupart des femmes préfèrent baisser les yeux sur une photo pour regarder le corps d'un homme en imaginant celui-ci dénudé – s'il ne l'est pas déjà, tout dépend de quel sorte de mannequinat on pratique, et de toutes les manières les photos qui proposent la vision du torse nu d'un bel homme fait partie du côté sain de la profession, évidemment – plutôt que d'observer la qualité d'un vêtement. Arthur ne sait pas ce qu'il trouve le plus drôle : la réaction vive de la demoiselle ou sa remarque. Il se baisse vers elle, après avoir abaissé le magasine qu'elle a posé devant son sublime visage, en lui pinçant ses joues rosies par la gêne, qui la rendent encore plus mignonne :

« Kyuptaaaaaaaaa(mignooooneeeee). » la jeune femme avoue qu'il a raison et cela le remplit d'une certaine fierté. Après quoi, la discussion se met à prendre plus d'ampleur. L'énergie de celle-ci vient du fait que les paroles qu'ils échangent parlent de tout et de rien. Evidemment, il à commencer par la charrier à propos de ses obsessions concernant les abdos des mannequins. Une petite idée lui traverse la tête. Il aurait bien remonté son t-shirt pour lui montrer qu'il est bien fourni et qu'il n'a rien à envier à ses collègues, mais il n'a pas envie de la gêner. Et surtout, le lieu n'est absolument pas approprié. Même si cela ne concerne que cette seule et unique partie de son anatomie, on ne montre pas son torse dans une confiserie, et encore mois au sein du lieu de travail de sa meilleure amie.

Outre cela, il est vrai que le jeune homme et elle sont ponctuels et cela n'a pas de prix. Le respect est le fondement de toutes les relations humaines, qu'elles soient soit bonnes soit excellentes ! Il ne faut pas croire, il lui arrive d'être en retard mais il envoie des textos, toutes les deux minutes, un quart d'heure avant l'heure dite jusqu'à ce qu'il parvienne à destination. Il ne comprendra jamais ces gens qui sont continuellement en retard et qui ne prennent même pas la peine, avec tous les moyens technologiques dont nous disposons aujourd'hui, de faire parvenir un message à la personne qui nous attend.

Après quelques rires joyeux, de paroles vives et gaies, la jeune femme arrive au terme de son service. Elle rentre donc au sein de l'arrière boutique pour se changer tandis qu'il attend entre les étagères multicolores qui dégagent une sublime odeur digne d'une bonbonnière traditionnelle des années soixante. Une fois qu'elle revient, ils sortent dans la rue afin de se rendre dans un café. Il lui vante les mérites d'une recette française qui se trouve dans le magasine qu'il lui a offert de bon coeur. Elle lui répond qu'ils devraient la faire ensemble car Arthur, étant Français, a certainement une meilleure connaissance des ingrédients à utiliser :

« On se fera une séance cuisine ! Tu viendras chez moi ! » déclare-t-il, enthousiaste.

Le sugar lollipops se trouve loin derrière eux à présent.