Petite musique délicate pour me détendre, voilà ce dont j’avais besoin, ma journée avait été compliquée et stressante, d’abord j’avais oublié mon passeport dans ma chambre, dire que je l’avais préparé la veille pour partir, ensuite il y avait eu ces quelques complications avec nos bagages et des turbulences durant le vol, bref la journée de merde par excellence, nous avions atterri à new York quelques heures plus tard et les complications avaient continué, bordel cela devait être un super vol, j’avais voyagé avec Rylee ma sex friends qui avait accepté de m’accompagner quand je lui avais demandé.

Le taxi fut lui plus cool, il nous emmenait à l’hôtel, directement en essayant de deviner de quelle nationalité nous étions, ce qui me fis rire un peu. Nous l’avions fait deviner par la force des choses grâce au football qu’ils nomment soccer là bas, en effet les USA et la Corée s’étaient affrontés durant la phase finale de la coupe du monde 2002. Il avait éclaté de rire quand il avait trouvé la bonne réponse et nous avait déposé réellement à l’entrée de l’hôtel que nous lui avions indiqué. Une fois les papiers remplit et tout nous pouvions monter dans notre chambre. J’aimais pas le fait que le groom soit avec nous dans l’ascenseur, j’aurais aimé être seule avec la belle rousse pour commencer ce que j’avais envie de faire, à savoir l’émoustiller un peu avant de lui sortir le grand jeu au lit. Mais non il y avait ce type là qui nous observait constamment et même si je n’avais pas honte de ma sexualité, j’avais pas envie qu’il se tape un porno gratuitement ou qu’il matte Rylee de trop prêt, elle était à moi en tout cas pour ces quelques jours du moins. Enfin nous étions dans la chambre, je pouvais y enlever mes chaussures pour commencer, le reste viendrait sans doute plus tard, je marchais sur la douce moquette pieds nu et j’aimais cette sensation de fraicheur que cela m’offrait. Je partais vers ma valise quand je mis une petite claque les fesses de mon amie en souriant, j’aimais jouer un peu avec elle, en plus je ne l’avais pas fait frt pour ne pas lui faire mal juste assez pour la surprendre, je prenais quelques affaires dans ma valise et je la rangeais dans la grande garde robe prévu à cet effet, je laissais faire Rylee ce qu’elle voulait en allant voir la salle de bain, qui était assez spacieuse pour y être à deux et donc y accueillir quelques ébats amoureux. C’était parfait en plus le lit était assez grand donc nous pourrions nous en donner à cœur joie avant d’attaquer demain les choses un peu plus chiante pour moi, je devais en effet récupérer certains papiers que je devais signer pour prouver à mon employeur que j’avais eu mon diplôme car monsieur avait perdu mes documents originaux … Bref je ne pensais pas trop à ça et j’allais plutôt m’occuper de ma princesse rousse. Je remarquais qu’elle aussi était occupée, je la laissais terminer en m’essayant sur le lit et m’étendit bruyamment, discrétion n’était réellement pas mon second prénom. Quand elle eut fini, j’accourus devant elle, je l’enlaçais en croisant mes bras au niveau de son cou et pour la provoquer un petit peu une fois de plus, je déposais mes lèvres rapidement sur les siennes.

« Merci ma chérie d’être là avec moi. Je crois qu’on va bien s’amuser toutes les deux ici aussi, la chambre est spacieuse et la salle de bain l’est également si tu vois ce que je veux dire. »

Je souriais car mes paroles étaient pleines de sous entendus, je voulais lui faire l’amour partout ou nous nous trouvions et la salle de bain était un de mes fantasmes, mais avant tout je voulais tester le lit avec elle.

« Le matelas est tendre et j’ai envie de tendresse, en plus je suis très excitée par une belle demoiselle… »

Je me tus et commençais à l’embrasser dans la nuque pour lui prouver mes dires, cette journée allait peut être bien ce terminer après tout.

« Ah putain ! » Ça, c'était le cri de douleur qui venait de s'échapper de mes lèvres alors que je m'étais cogné l'orteil contre un des pieds de mon lit. Je tombais dessus en même temps que je me tenais pour essayer d'apaiser la douleur, ce qui, entre nous, était particulièrement inefficace. Je n'avais pas besoin de ce genre de contretemps ! J'étais bien assez pressée par le temps pour éviter de perdre des précieuses minutes d'une manière aussi ridicule ! Faisant fi de la douleur, je me levais pour aller une nouvelle fois prendre des vêtements dans mon armoire pour les glisser dans mon énorme valise. J'avais pris soin de séparer mes habits en deux catégories bien distinctes : classe et sexy, et super sexy. J'ajoutais encore quelques petites surprises dans la catégorie super sexy, avant de boucler ma valise. Cependant... le travail n'était toujours pas terminé. Maintenant, il fallait que je prépare mon sac et là... c'était vraiment pas une mince affaire. Je cherchais dans tout les sens mon passeport, et tout ce dont j'avais besoin pour passer les portes de l'aéroport, retournant ma chambre, puis ma villa jusqu'à avoir ces toutes petites choses qui pourtant s'avéraient si importantes. Je les glissais dans une pochette dans mon sac à main. Je pris mon porte monnaie, mes clés, mon téléphone portable, ainsi que mes lunettes de soleil et un parapluie avant de descendre difficilement avec ma lourde valise à la main. On devrait vraiment inventer les ascenseurs dans les maisons...

Ce à quoi je ne m'attendais pas, c'était bien le déroulement de la journée... J'étais parfaitement consciente qu'elle avait plutôt mal commencé, mais... franchement, en faire toute une histoire avec nos pauvres bagages... comment ça elle était trop lourde ma valise ? Une limite de poids ? Non, je ne connaissais pas ça, moi. Voila qui m'apprendra à n'avoir voyagé depuis le début de ma vie qu'en première classe avec des tas de personnes m'entourant et me faisant presque mes valises pour que je n'ai qu'à poser mon cul sur mon siège et à lire mon magazine. La vie réelle, moi, je ne la connaissais pas trop. Et puis ces turbulences durant le vol m'avaient rendue totalement folle. J'avouais déjà difficilement que l'avion, c'était vraiment pas quelque chose qui me rassurait, mais là... avec ça, tout le monde avait du voir que je n'appréciais pas le voyage. Aussi... quelle idée d'avoir décidé de faire ce voyage... Bon, certes quand Ha Neul m'avait proposé ce voyage à New York avec elle, je n'ai pas su dire non à une telle opportunité, car, de 1, cela allait complètement me détendre car j'allais passer du temps dans mon ancien pays, et de 2, cela allait complètement me détendre car j'allais passer du temps à baiser... baiser... baiser avec ma sexy Ha Neul ! Ces idées là me redonnèrent le sourire. Ce n'était pas maintenant que nous étions arrivées que j'allais le regretter.

Le chauffeur du taxi avait essayé de deviner notre nationalité pendant tout le trajet qui nous menait jusqu'à l'hôtel. Cela amusait Ha Neul, mais... je n'avais pas trop envie de faire la conversation au chauffeur. C'était sûrement mon côté un peu hautain et prétentieux qui ressortait, mais pour ne pas faire ma mauvaise tête, et aussi pour oublier ce vol désastreux - raah, j'avais toujours autant de mal avec ces turbulences ! - je jouais moi aussi le jeu pour lui faire deviner. On a commencé à lui parler de la final de la coupe du monde qui avait fait s'opposer nos deux pays, et enfin il a compris que nous étions coréennes. Cela le fit rire d'avoir trouvé la bonne réponse, et il nous déposa devant notre hôtel. On se dépêcha de remplir tout les papiers, et ainsi, nous pûmes enfin rejoindre notre chambre. J'avouais que je n'avais qu'une seule envie : sentir contre mon dos le matelas moelleux et m'enfoncer tout doucement dedans pour y laisser tout mes muscles tendus. Ou alors m'enfoncer dans les matelas mais... pour une toute autre raison. Je jetais un regard chaud à Ha Neul alors que nous étions coincée dans l’ascenseur en compagnie de ce fichu groom qui ne nous laisser pas tranquilles.

Je fus contente lorsque, enfin, nous pûmes pénétrer dans la chambre. Je regardais un peu la décoration, et j'évaluais la taille de la chambre en même temps que je me déchaussais avant de marcher un peu pour l'explorer. Je parti longer les murs de la chambre alors que Ha Neul me surpris en me donnant une petite tape sur les fesses. Je lui lançai un regard surpris et choqué, la bouche un peu entrouverte, avant de lui faire un sourire sexy lui promettant mille merveilles. Je me détournais rapidement d'elle pour continuer à effleurer les murs avec le bout de mes doigts. J'aimais bien me familiariser avec un endroit, et je faisais à chaque fois à la même chose. Je voyais Ha Neul ranger ses affaires dans l'endroit prévu pour cela, mais moi, je n'avais pas envie de faire ça. De toute façon, il faudra à un moment remettre toutes les affaires dans la valise, si je ne les sors pas, ça me fera déjà un travail en moins ! Je déposais mon sac à mains sur le fauteuil dans un coin de la chambre, avant de m'attarder sur le miroir qui était tout près. Je m'étonnais d'être toujours si jolie après avoir passé la journée a froncer les sourcils. Je fis deux trois pas en arrière avant d'aller jeter un petit coup d'oeil à la salle de bain.

J'entendis Ha Neul faire quelque chose derrière moi, mais je n'y prêtai pas vraiment attention. Je posais mes mains sur mes hanches, me tournant vers elle, et elle accouru vers moi et passa ses bras autour de mon cou. Pour la rapprocher encore un peu de moi, je passais à mon tour mes bras autour de sa taille fine, et elle m'embrassa brièvement, malheureusement, moi, j'aurai bien voulu un contact un peu plus approfondi. « Merci ma chérie d’être là avec moi. Je crois qu’on va bien s’amuser toutes les deux ici aussi, la chambre est spacieuse et la salle de bain l’est également si tu vois ce que je veux dire. » Je répondis à son sourire, un peu amusée par ce qu'elle disait. Effectivement, je voyais parfaitement ce qu'elle voulait dire, et j'espérais bien qu'on allait s'amuser, après tout, c'était un peu pour ça que je l'avais accompagné ! Sinon je serais restée chez moi, si elle avait prévu de ne rien faire... « Le matelas est tendre et j’ai envie de tendresse, en plus je suis très excitée par une belle demoiselle… » Je laissais échapper un léger rire. Moi aussi j'avais envie d'elle à ce moment. Elle alla m'embrasser doucement dans la nuque, et je penchais légèrement la tête sur le côté pour la laisser faire.

Mes bras qui étaient enroulés autour de sa taille migrèrent légèrement jusqu'à ce que mes mains atterrissent sur ses hanches. Je passais une jambe entre les siennes, et doucement je la fis reculer jusqu'à ce que ses jambes buttent sur le lit et qu'elle y tombe. J'y grimpais moi aussi, m'asseyant sur son bassin avec un air joueur collé au visage. Je me penchais doucement au dessus d'elle jusqu'à ce que nos lèvres ne soient plus qu'à quelques centimètres. Je laissais mon souffle voguer sur elle, mais je ne l'embrassais pas, pas maintenant en tout cas. Je déposais furtivement mes lèvres sur le coin des siennes, puis sur sa joue, sa mâchoire, son oreille, avant de m'attarder un peu plus dans son cou. Doucement mes mains glissèrent sous son haut, mais je me contentais de simplement effleurer ses hanches sans remonter. Je déposais alors mes lèvres sur les siennes à peine quelques secondes, avant de m'asseoir sur le lit à côté, et de prendre le téléphone en main. Je lui murmurais juste : « Patiente juste quelques secondes... » Je composais alors rapidement un numéro, et le plus discrètement possible, pour ne pas que Ha Neul n'entende ce que j'étais entrain de dire. Une fois que ce que j'eus fini, je raccrochais, et retournai vers elle pour cette fois vraiment l'embrasser.

Petit à petit, je me replaçais au dessus d'elle, ma bouche contre son cou, la mordillant légèrement en même temps que mes mains remontaient le long de son dos, caressant sa peau chaude. Je remontais ma bouche pour mordiller un peu ses lèvres, la regardant droit dans les yeux, avant de remonter son haut jusqu'au dessus de ses seins et d'embrasser son ventre. Cependant, on toqua à la porte. J'eus un rapide sourire en constatant la rapidité du service. Je me redressais rapidement, baissant en même temps son haut pour éviter que le gars du service ne la reluque trop - et aussi parce que je ne tenais pas à ce que le monde sache que je couche avec des femmes ! - et j'allai lui ouvrir. Il entra avec un charriot qu'il laissa dans la chambre. Je pris la bouteille que j'avais commandé, déjà débouchée grâce au ciel, et j'avançais tout doucement vers elle. Je la tendis devant moi avec un grand sourire. « CHAMPAGNE ! Pour fêter notre arrivée saines et sauves ! Et aussi pour bien démarrer cette semaine de plaisir... » Je devais la surprendre en n'apportant pas les coupes avec moi, et en captant son regard interrogatif, je lui lançai juste : « Ne t'inquiète pas, on n'aurait pas besoin des coupes... »

Je m'assis sur ses hanches, et bu une toute petite gorgée à la bouteille, relevant avec mon autre main son haut, mais cette fois-ci avec le but de lui enlever. Une fois retiré, j'en fis de même avec son soutiens gorge. Je glissais mes fesses le long de ses hanches pour la suite des opérations. Je penchais prudemment la bouteille au dessus d'elle, et versait un peu de champagne dans son nombril en lui souriant. Je posais ensuite la bouteille sur la table de chevet, et me penchait au dessus d'elle pour laper un peu le liquide. Je me redressais en lui adressant un très grand sourire malicieux. « Tu vois, on trouve toujours des solutions... » Je continuais mon manège, et une fois qu'il n'y eut plus rien, je repris la bouteille en main. « Tu en veux ? » lui avais-je demandé en tendant la bouteille devant elle. Lorsqu'elle me répondit que oui, j'en prenais une petite quantité dans ma bouche. Je me penchais sur elle en prenant soin de ne pas avaler, et l'embrassai pour la faire boire.

Des fois des journées de merde, peuvent tout aussi mal se finir qu’elles ont commencé ou au contraire se finir de la meilleure des manière qu’il soit et pour moi c’était la seconde façon aujourd’hui. Heureusement l’hôtel était là pour nous détendre. Déjà si nous aurions pu je pense que dans l’ascenseur nous nous serions caressée voire déjà plus tellement nos regards se faisaient torride. Mais pourquoi ce foutu groom était là non de dieu … ce n’était que partie remise, nous nous installions tranquillement dans la chambre et le moment des câlins arriva, quand nous nous enlacions enfin, je l’embrassais furtivement et lui glissais quelques remerciements en plus de mots doux, elle, elle passait ses bras autour de ma taille, riait à ma petite blague sur la salle de bain et sur le matelas. Ses mains se posèrent sur mes hanches, elle me fit reculer lentement jusqu’à ce que je tombe sur le lit, après qu’elle se soit installée à califourchon sur moi, je voulais placer mes mains sur son ventre pour commencer à la déshabiller , mais c’est elle qui prit les devant, elle se baissait vers mes lèvres et stoppa à quelques centimètres, je sentis son souffle chaud et remplit de désir sur moi, puis elle m’embrassait, du coin des lèvres vers mon cou ou elle s’attarda quelques instants, je passais mes mains dans sa chevelure flamboyante pour l’inviter à continuer, je sentais ses mains sous mon haut et elles glissèrent vers mes hanches, elle m’embrassait un petit peu et changeait de position pour ce mettre assise à coté de moi, je la vis téléphoner mais n’entendais guère ce qu’elle disait, tout ce que j’entendis réellement c’est qu’avant de raccrocher, elle disait merci, mais merci pourquoi cela restait un mystère, j’étais trop impatiente de reprendre ce que nous avions commencé pour l’interroger. Elle remontait sur moi, venait me mordiller le cou et me caresser le dos, ensuite se furent mes lèvres qui étaient mordillées, elle m’enlevait presque mon haut et cette fois je soufflais de désir, je la désirais plus que tout et ses baisers sur mon ventre me firent frémir, j’en pouvais plus je voulais être nue et elle aussi pour lui donner du plaisir. On frappa à la porte, je fus coupée dans mes gestes alors je passais une nouvelle fois mes mains dans la crinière de feu de ma partenaire, je voulais l’inviter à descendre plus bas avec sa langue, je poussait un juron silencieux quand elle baissa mon haut avant d’aller d’ouvrir la porte, tournant la tête, je vis un jeune homme entrer et laisser un chariot avant de partir, Rylee pris une bouteille et revient vers moi, elle me montrait fièrement son achat « CHAMPAGNE ! Pour fêter notre arrivée saines et sauves ! Et aussi pour bien démarrer cette semaine de plaisir... » Oh mon dieu, j’avais là avec moi la femme parfaite, du champagne et du sexe, voilà qui montrait le chemin du désir vers le plaisir. Par contre je la regardais étonnée à point tel qu’elle du s’en apercevoir « Ne t'inquiète pas, on n'aurait pas besoin des coupes... » Que préparait elle ? J’étais dans le flou total mais j’avais l’impression que cela serait très érotique.

« Merveilleuse boisson partagée avec une merveilleuse femme. C’est vrai qu’avec ses péripéties on doit fêter ça. »

Mes paroles furent accompagnée d’un grand sourire, j’étais ravie de sa proposition.

« Si tu dis de pas m’inquiéter, je te fais confiance beauté. Je me demande ce que tu me prépare quand même ! »

Ajoutais toujours avec le sourire au lèvres, mais cette fois, ma voix était à peine audible, c’était plutôt une caresse et soupire mêlé au désir. Elle s’assit de nouveau sur moi à califourchon, me déshabillait et c’est topless que je me retrouvais, j’étais excitée, mes seins dont j’étais particulièrement fière pointaient bien, ma culotte elle commençait à être humide. J’eus une bouffée de chaleur quand elle versait un peu du liquide doré sur moi et mon ventre en particulier, je sentais sa langue sur moi et cette fois je ne me retins plus, je soufflais de plaisir en me mordillant la lèvre inférieure. Elle me regardais et me souriait assez malicieusement « Tu vois, on trouve toujours des solutions... » me dit elle, je ne répondis qu’en faisant aller ma tête de haut en bas, la laissant continuer et d’un coup elle stoppa, je me relevais un peu sur les coude pour voir pourquoi et je la vis avec la bouteille main et elle me demanda si j’en voulais, je lui répondit que oui du même ton que toute à l’heure à savoir celui doux et chaud, je la vis porter le nectar à sa bouche sensuelle et se pencher sur moi alors que je venais de me remettre sur mes coudes et m’embrasser, en faite c’est elle qui me faisait boire, j’en profitais j’absorbais le divin breuvage et quand j’eus fini, je passais ma langue très doucement sur ces lèvres, j’en fis le tour, avant d’aller lui titiller la nuque, de lui prendre la bouteille des mains, la déposer à e-terre et enfin glisser mes mains sous son haut, je sentais sa peau si douce sous mes paumes, je sentais mon excitation encore grandir mes seins pointaient à faire mal, je débarrassais bien vite ma belle de son vêtement et me fis pas prier pour lui dégrafer son soutient gorge et l’envoyais rejoindre le mien quelques part dans la pièce.

Je fis un geste brusque mais contrôlé qui nous renversait et inversait les rôles, je me mis pas à califourchon sur elle par contre même si j’adorais cette position, non je restais entre ces cuisses pour mieux faire ce que je voulais. Maintenant qu’elle était à moitié nue aussi je m’occupais de sa jolie poitrine que je venais d’admirer quelques secondes mais avant je voulais jouer, je commençais par déposer une série de petits baiser sur son cou tout en descendant vers ces monts du bonheur. J’attrapais délicatement son sein gauche avec ma main droite et le malaxa doucement, tendit que ma bouche s’approchait du droit et je soufflais dessus avant de le suçoter et y jouer avec ma langue avant de le reprendre en bouche et recommencer mes petits suçons sur son mamelon, je fis la même chose avec le gauche, avant de descendre légèrement du lit, de prendre la bouteille de champagne dont je renverserais un peu du contenu au creux de sa poitrine allant en verser par petites larmes jusqu’à l’arrêt de son bas dont je défis le bouton après avoir reposé la bouteille à terre. Avec un sourire très coquin aux lèvres je glissais un peu mes doigts sous l’élastique de son sous vêtement et lui fis glisser un petit peu, puis je me ravisais et lui ôtait complètement son pantalon, lui laissant pour seul vêtement le tissu qui cachait la partie plus intime de sa féminité. Je repris la bouteille et en versait une dernière petite rasade juste à l’endroit ou j’avais reculé son dernier vêtement et vient y poser sensuellement ma langue avec un soupir de plaisir, oui j’aimais ça moi aussi, avec mon muscle, je remontais le corps de la belle rousse tout en lapant allégrement le champagne que j’avais versé sur son corps. Je m’y repris à plusieurs fois et à la dernière je m’attardais sur la naissance de son bassin que je couvrais de baiser avant remonter de nouveau mes lèvres vers sa bouche, ma main qui s’était occupée de son sein gauche fis le chemin inverse, glissant doucement son flanc elle allait se poser doucement sur son intimité encore cachée par sa culotte et commençais à la caresser lentement , alors que j’entreprenais de lui mordiller l’oreille quelques instants.

« C’est vrai qu’il y a toujours des solutions … »

Lui soufflais je à l’oreille, un grand sourire aux lèvres, avant d’aller une fois de plus l‘embrasser. Je pensais que j’étais bisexuelle mais je me rendais de plus en plus compte en couchant avec Rylee que j’étais en faite lesbienne et que je préférais largement m’envoyer en l’air avec des femmes. Tombais je amoureuse de Rylee ? Non je ne croyais plus en l’amour. Tout ce que je voulais faire c’était baiser et celle que je voulais prendre là maintenant tout de suite était presque nue avec moi au lit et j’allais m’en donner à cœur joie pour la faire jouir.

J'aimais avoir les corps sous moi. Ça me donnait toujours une impression de contrôle totalement grisante. Par exemple, là, si j'en avais eu envie, j'aurai pu couper court à nos activités sans que l'autre ne puisse protester, mais le corps sous moi me faisait bien trop envie pour que cette idée me traverse l'esprit. Et puis... là, j'y mêlais mes deux plaisirs : le sexe, et l'alcool. Cela m'amenait toujours à des sommets souvent inatteignables sans ces deux facteurs, et même le plus canon des canons pouvait me faire ce qu'il voudrait, sans une goutte d'un délicieux alcool, je n'irais pas aussi haut qu'il le souhaitait. Pourtant, ma position de dominance fut renversée par Ha Neul qui se retrouva ainsi entre mes jambes, après m'avoir retiré mon haut et mon soutient gorge pendant que je m'amusais avec elle et ma fabuleuse bouteille. Elle m'embrassa dans le cou, légèrement, avant de descendre jusqu'à ma poitrine. Elle s'amusa quelques instants à masser mon sein gauche avec sa main, tandis qu'elle embrassait l'autre. Je me cambrais légèrement pour rapprocher mon corps de sa délicieuse bouche. Sa langue, sa bouche, son corps contre le mien faisait aller et venir des vagues de chaleur en moi, et je ne pu m'empêcher de pousser un petit gémissement lorsque je la vis renverser un peu d'alcool sur moi.

Je répondis à son sourire, lorsque, joueuse, elle glissa ses doigts dans mon string pour le baisser un peu, avant d'enlever entièrement mon pantalon. Voulant attiser un peu son désir, j'écartais doucement mes jambes, tout en caressant son corps avec l'une d'elles, un air tentateur collé sur le visage. Elle mit une nouvelle fois un peu de champagne sur ma peau découverte pour ensuite venir le recueillir avec sa langue. J'adorais ce mélange frais et chaud du champagne et de sa bouche, et je me mis à balader mes mains sur son dos, ses bras et son cou, parfois en l'effleurant, d'autres fois en appuyant plus franchement. Sa main commença à migrer jusqu'à mon entrejambe encore couverte, et elle se mit à passer sa main dessus. Sa bouche était juste à côté de mon oreille, la mordillant parfois, et elle me souffla : « C’est vrai qu’il y a toujours des solutions … » J'esquissais un petit sourire, avant qu'elle n'accapare ma bouche pour un long baiser. Je glissais mes mains dans son cou pour appuyer et approfondir un peu le baiser. Doucement, je passais ma langue sur sa bouche, avant de la glisser lentement dedans. Cependant, j'évitais le contact avec la sienne, jouant un peu avant de lui donner un baiser digne de ce nom.

Je la fis s'allonger à côté de moi, comme ça aucune de nous deux n'avait le dessus sur l'autre, et je pris le soin de glisser une de mes jambes entre les siennes pour les maintenir écartées malgré la position. Elle était encore bien trop habillée à mon goût, mais j'allais lui laisser le temps de me désirer comme il fallait. Je glissais ma mains de ses seins jusqu'à son bas ventre, m'attardant un peu dessus, faisant mine d'aller plus loin avant de remonter ma main en effleurant ses flancs lui donnant ainsi une multitude de frissons. Je déposais mes lèvres sur les siennes, puis sur sa joue, sur sa mâchoire, puis enfin dans son cou où je déposais un merveilleux suçon bien visible. Je savais qu'elle allait travailler, mais c'était pour l'embêter un peu, après tout, je n'avais jamais été une fille sage et gentille ! Ma main était dans le creux de son dos, et je la descendais petit à petit jusqu'à la lisière de son bas, où je fis quelques aller retour avant de passer au dessus de son pantalon pour caresser ses fesses. Je descendis plus bas, et passait ma main entre ses jambes pour appuyer un peu contre son intimité tout en l'embrassant. Je retirais ma main, et la poussa un peu pour qu'elle se retrouve sur le dos, moi à nouveau au dessus d'elle.

Souhaitant arrêter un peu le jeu, et aller aux choses un peu plus sérieuses, je déboutonnais soigneusement le pantalon de Ha Neul, le descendant avec une lenteur folle juste pour qu'elle désire que les choses accélèrent plus ardemment. Je prenais mon temps, et c'était toujours en allant le plus lentement qu'on profitait le plus. Une fois que son pantalon fut retiré, je m'allongeais sur elle, et m'amusais avec son dernier vêtement, faisant mine de l'enlever alors qu'en fait, je le laissais. Ma bouche qui s'attardait sur son oreille descendit dans son cou, fit un petit détour par un mamelon contracté avant de passer la courbure d'un sein rebondit. Elle s'attarda sur la plaine que formait le ventre, pour s'attarder sur le creux que formait le bas ventre. Mes mains vinrent se loger sur les hanches de la belle, elles agrippèrent la bordure du sous-vêtement, pour le descendre le long de ses jambes interminables que je pris le temps d'embrasser. Une fois qu'elle fut totalement nue face à elle, je me plaçais entre ses jambes que j'écartais ainsi de mon corps, dévoilant entièrement à mes yeux son intimité. Je m'amusais d'abord à caresser l'intérieur de ses cuisses, me rapprochant ainsi de l'endroit stratégique sans jamais le toucher.

Je me penchais au dessus d'elle pour lui souffler à l'oreille. « Dis moi ce que tu veux... » Je me reculais un peu pour que mon visage soit face au sien et qu'elle puisse voir mon sourire coquin. Je recommençais à lui parler : « Dis moi ce que tu veux, et je le ferais, rien que pour ton plaisir à toi... » Mes mains caressèrent les côtés extérieurs de ses cuisses, tandis que je continuais à parler : « Tu veux que mes mains te touchent là ? » Je continuais sur ses cuisses avant de les faire monter jusqu'à ses seins : « Ou bien là ? » Je lui souris encore, tout en malaxant gentiment ses seins. Je glissais mes mains sur sa taille puis ses hanches avant de lui demander : « Tu préfères que j'aille ici ? » Je laissais courir mes mains de plus en plus bas, avant d'atterrir sur son intimité que j'effleurais à peine : « Ou ici te ferait bien plus plaisir ? » Je fis se baisser mon visage jusqu'à ses seins que je mordillais : « Tu préfères peut être ma bouche à mes mains... » J'embrassais ensuite son ventre, laissant une trace humide avant de souffler dessus pour lui provoquer quelques petits frissons. « Mais il faut que tu me dises où tu la veux ma bouche... Ma langue ? »

Je glissais un doigt entre ses lèvres, mais pas celles que j'embrassais habituellement. « Aurais-je effleurer un point sensible ? » Ma bouche descendit jusqu'à son bas ventre, et j'écartais un peu plus ses jambes pour me retrouver la tête entre. « Tu sais, tu n'as pas à être timide avec moi... Dis moi ce que tu veux vraiment... » Je passais un coup de langue sur son intimité. « C'est ça que tu veux ? » A l'aide de mes pouces, j'écartais un peu son sexe, passant un nouveau coup de langue, mais cette fois si sur sa partie la plus sensible. « Préfères-tu ça... » Je descendis ensuite ma langue pour la glisser à l'intérieur d'elle, le plus loin que je pu : « Ou es-tu plus tentée pour les choses plus... approfondies ? » Je me redressais totalement, laissant quand même ma main droite voguer entre ses cuisses. Avec un sourire amusé, je lui murmurais encore : « Il est maintenant temps de se décider.... Tu as fais ton choix ? Ou faut-il que je te ré-explique tout ? » Je pris la bouteille qu'il y avait toujours à côté du lit pour en boire une petite gorgée, et ainsi me rafraîchir, car je commençais à avoir vraiment chaud, moi... l'air c'était drôlement alourdi.