Le Pink Aphrodisia, probablement le bar le plus huppé de la ville et pourtant, riche comme je suis, je n’arrive pas à y entrer comme un VIP. J’ai beau sortir mes cartes bleues, tenter de parler un peu avec les serveuses ou le patron, rien n’y fait. Pour beaucoup de gens, ça paraitrait normal après tous les VIP n’ont pas tant d’avantages que ça mis à part le droit d’être servi par la très célèbre serveuse masquée. Cette femme, c’est comme un mirage, vous pouvez la voir mais pas la toucher, vous pouvez lui parler mais elle ne peut pas ou ne veux pas vous entendre. Sa silhouette, son regard, son corps, sa tenue, tout est un appel à la luxure. Pourtant, jamais l’espace d’une seconde je n’aurais imaginé que cette fameuse dame, raison de bon nombre de mes fantasmes, se trouvait en réalité avec moi, gémissant sous mes caresses. Pourtant, alors que nous étions des inconnus ce matin même, voilà que nous parlions de partager bon nombre de moments ensembles voir clairement, vivre ensemble.

« Alors si je te dis que je te veux là, tout le temps et que je n’accepterai pas de perdre la moindre minute sans toi, tu es ma muse, reste avec moi… Pour toujours. »

Pour toujours, ça y est, le mot était lâché, c’était assez étrange, habituellement ce n’est pas le genre que je disais dans ce genre de moments mais là, c’était comme si nous avions besoin de nous rassurer, de réessayer de nouveau encore et encore pour vérifier que tout cela n’était pas un rêve. Nous étions dans un lieu public, étais-ce cela qui déclenchait en nous pareille excitation ? La peur de se faire remarquer ou de se faire surprendre ? Non, c’était impossible, je l’avais déjà fait dans des lieux du même genre et ce n’était pas pareil à ce point. Pourtant, après les préliminaires qui finalement, n’avaient pas duré si longtemps, elle m’avait demandé ou presque supplié de lui faire l’amour. EN réalité nous étions dans le même état et si c’est elle qui m’aurait posée cette question, j’aurais surement répondu la même chose.

Je ne l’avais donc pas fait attendre bien longtemps et très rapidement, nous en étions déjà à changer de position comme pour ne jamais répéter trop de fois la même chose, comme si nous voulions essayer le plus de choses possibles au cas où ce serait notre seule et unique fois. Elle eut ainsi son premier orgasme et ne pouvait plus ‘empêcher de gémir alors que je lui demandais de me chevaucher. Elle savait y faire, cela ne faisait aucun doute et la vision de cette femme me faisant entrer en elle, était quelque chose de violents, cela me donnait envie de plus, comme si c’était encore possible. Elle était très observatrice car à chaque fois que je faisais quelque chose de nouveau, elle poussait un nouveau cri comme ici, lorsque je me mis à bouger mon bassin en suivant son rythme tout en jouant avec sa poitrine.

Je lui demandais alors de m’en donner plus, de me dire que ça lui plaisait, qu’elle m’appartenait, j’avais besoin de l’entendre et très rapidement, je vis qu’elle se lâchait complètement comme si elle voulait me sentir encore plus profondément en elle, comme si elle ne voulait pas manquer la moindre parcelle d’un plaisir encore plus grand. J’aimais sa réponse et rapidement je la sentis m’attirer à elle, avant de sentir ses canines entaillée ma chair. Soyons claire, je n’étais pas du genre à aimer avoir mal pendant l’acte mais là, c’était divin on aurait dit une tigresse déchiquetant sa proie pour ne plus lui laisser la moindre chance. Je sentis du sang couler et poussa un soupir de plaisir en sentant sa langue faire disparaitre la goutte. Elle annonça que je lui appartenais, à elle et seulement à elle.

« Marque moi encore, montre au monde que je suis à toi, que je suis ta propriété. »

Oui j’en redemandais et voilà qu’elle annonçait que ce corps lui appartenait. C’était interessant tout cela mais désormais, j’avais besoin d’elle et surtout, avec sa morsure, elle avait réveillé en moi un petit côté animal. Ainsi, je me retirais et la plaqua quelque peu violemment contre le miroir avant de m’insérer en elle. Mes coups de bassins étaient plus lent mais plus intense, plus profond. Coincé ainsi elle ne pouvait qu’apprécier.

« Me laisses-tu te faire….Tout ce que je veux ? »

Oui c’était une question et mine de rien, c’était assez équivoque. Nous étions dans une position assez classique bien que presque bestial mais il y avait d’autres choses que j’avais envie d’essayer avec elle, le genre de truc qu’on ne fait jamais une première fois, préférant attendre de savoir ce qu’aime la partenaire, voir ne pas la choquer.

Il laissa échapper un soupir de plaisir au moment ou je lui lécha les gouttes de sang provoquer par la morsure que je lui avais fait, je sais que cela pourra paraître anormal mais je commençais à vouloir de lui alors que s'était la première que l'on se rencontre et par un accident, mais j'avais envie de lui, on ma raconter que le jour ou je rencontrerai le véritable amour, je le saurais immédiatement, sauf qu'on ne m'avait pas dit que s'était peut-être pendant l'acte que cela se passera mais, plutôt quand je le verrais, je ressentirais cette chose étrange qui rend heureuse à un tels points que je voudrais passer mon temps avec lui. Moi c'est exactement le contraire qui se passait, mais on pourrait tout aussi bien croire que se que je ressens à cette instant n'est que le plaisir de faire l'amour et non d’éprouver un véritable amour.

Cette seul marque sera suffisant, je ne l'avais pas fait n'importe où, elle était bien visible à condition qu'il ne m'est pas d'écharpe. Lui annonçant que tout se qui se trouve sur ce corps m’appartiens, nous retournions dans nos mouvements de va et viens frénétique jusqu'à se qu'il me plaqua de façon assez violent contre le miroir et y inséra encore son membre en moi, mmhhh que s'était bon de le sentir en moi mais cette fois-ci il y allait avec des mouvements lent et intense à la fois, plus profond également, me laissant apprécier encore plus de faire l'amour avec lui, je ne pouvais pas m'en plaindre.

Je me sentais si bien là, à apprécier ses mouvements de bassins, c'est tellement bon que je ne pouvais pas m'arrêter de gémir, il me demanda si il pouvait faire se qu'il voulait de moi, j'eus un sourire, je n'attendais que ça.

« Tout se que tu veux, tant que cela me procure du plaisir »

Voilà s'était dit, j'attendais de voir se qu'il allait bien faire qui pourrait me rendre encore plus accro que je ne l'étais déjà, j’espérais bien qu'il allait me faire des choses que l'on ne fera en général pas la première fois, mais vue que nous avions largement dépasser se qui se faisait de correcte lorsque l'on débute une relation quel soit amoureuse ou sexuel, il y avait un certain code à respecter et là nous étions loin de le respecter.

« Mmmmmhhhhh vas-y lâche toi, je n'attends que ça »

Oui je n'attendais que ça et l'excitation était d'autant plus grande parce-qu'à tout moment, n'importe qui pouvait débarquer dans cette cabine et nous surprendre, nous somme dans un lieu publique quand même, bien que se soit la boutique Dior, elle restait tout de même accessible à toute personne pouvant se permette au moins une robe Dior.

J’imagine déjà se qu'il pouvait bien me faire, il était passer à un niveau supérieur qu'il y a quelque minute, je n'allais pas être déçu, depuis que nous avions commencer il ne l'avait pas fait une seul fois.

Des goutte de sueur commençais à couler de mon front et de tout mon corps, nous étions peut-être dans une boutique climatisée, elle ne suffisait plus, avec tout se que nous étions entrain de faire dans cette cabine, je commençais à avoir chaud mais peut m'importe qu'il faisait chaud, froid, le principal était que j'étais dans un bonheur intense que je ne voudrais pas arrêter même un cyclone n'arrive pas à me faire arrêter.

Je ne m'étais pas tromper on lui disant qu'il pouvait faire tout se qu'il voulait faire de moi, mmmmmhhhhhh, oh oui encore et encore, vas-y Hatori.

Min Yeon savait ce qui me plaisait, elle savait comment en obtenir plus, c’était comme si elle lisait dans mes pensées. La moindre phrase, le moindre gémissement, la moins caresse, tout semblait calculé sur ce que je désirais réellement. A vrais dire, je n’avais jamais eu l’impression de donner autant de plaisir à une femme. Il fallait que je la revoie, c’était obligatoire et plus j’y pensais, plus je voulais que l’on vive ensemble et qu’on apprenne à se connaitre. C’était étrange de ressentir ce genre de sentiment. Après tout, nous n’avions pas beaucoup parlé elle et moi, quelques phrases, une discussion classique quand on cherche à draguer une fille. Ne m’avait-elle pas dit que j’étais le genre à enchainer les relations ? Alors pourquoi me demandait-elle de lui appartenir.

Elle m’avait déposée sa marque, c’était bien plus qu’un simple suçon, lui il ne partirait pas comme ça et bien évidemment, j’aurais beaucoup de mal à le cacher, surtout si je draguais une autre fille qu’elle. Rassurez-vous, vu le plaisir qu’elle m’offrait je ne comptais pas aller voir ailleurs de sitôt. D’ailleurs tout cela m’avait réveillé et désormais j’avais décidé de me montrer plus violent et notre nouvelle position en était la preuve. Désormais, elle était prise entre le mur et moi et cette fois ci, pas question d’aller trop vite. Non, la lenteur pouvait parfois être exquise, surtout quand elle était plus intense. Elle gémissait de nouveau à chaque fois que j’entrai en elle. C’était tout de même assez étrange de me dire que personne ne l’entendait.

Pourtant, j’en voulais encore plus, oui ça semblait difficile mais je préférais lui demander son avis. Après tout, peut être voulait elle que l’on termine ainsi. Apparemment…Non. Si cela semblait lui convenir, elle n’était pas contre un peu de changement. Elle m’expliqua clairement tant que cela lui offrait du plaisir, elle était loin d’être contre. Et bien c’est exactement cela que je voulais entendre. Pourtant je n’avais pas cessé mes vas et viens comme pour qu’elle me redise une nouvelle fois qu’elle était prête à tout. J’avais eu raison d’attendre puisqu’elle me demanda de totalement me lâcher. Alors là, elle allait en avoir pour son argent…

Me retirant, je la regardai et l’embrassa avant de la retourner et de poser ses mains sur le miroir. Ainsi, elle pouvait voir ce que je lui ferais et surtout admirer son magnifique visage déformé par le plaisir. Je m’insérai alors en elle avec violence alors que je lui attrapais les cheveux, les tirant tandis que je commençais mes vas et viens. Plus j’avançais et plus je l’obligeais à se plaquer de plus en plus contre le miroir. J’imaginais ses seins brulants, face à la froideur du miroir… Ce serait un spectacle des plus torrides.

« Hum… ça te plait ? Tu aimes te voir prendre ton pied ? »

L’une de mes mains lâcha ses cheveux pour venir déposer une petite tape sur ses fesses. Oh elle n’allait pas se mettre à rougir pour cela mais on avait clairement entendu un petit claquement. Voyant que cela ne semblait pas lui déplaire, bien au contraire, je recommençai plusieurs fois tandis que mes vas et viens s’accéléraient tout comme pour mon rythme cardiaque. C’est alors que je ressentis une violente bouffée de chaleur.

« Min Yeon je vais.. »

Oh elle devait comprendre ce qui allait se passer. D’ailleurs nous n’avions pas pensé à utiliser de préservatif. Bon, après tout, c’était mieux comme cela. Après tout, mieux valait la prévenir, peut être préférait elle que je retire au dernier moment. En tous les cas, plus cette sensation de chaleur grimpait et plus j’accélérais. Je ne savais pas que je pouvais aller aussi vite mais au bout de quelques instants, j’atteins le point de non-retour et je ne peux retenir un cri.

« Hummmm… Min Yeon… »

Je n’en pouvais plus, elle m’avait tué… Je ne sentais plus aucune force en moi et j’avais une envie de m’allonger à côté d’elle. Me retirant, je la retournai pour qu’elle me fasse de nouveau face et l’embrassais avec fougue.

Avec tout les gémissement que j'avais fait, il y avait encore personne qui était entrée dans la cabine pour stopper se que nous faisions et c'est très bizarre ou peut-être que la musique qui avait soudainement augmenter de volume était la raison, est-ce le gérant de Dior qui avait fait exprès de l'augmenter parce-que nous faisions trop de bruit et que nous risquions de faire fuir les clients, mais pourquoi n'était-il pas entrée avant. Ah non pas ça, rien que l'idée que cela aurait pu finir avant d'avoir expérimenter tout les recoin de cette cabine. Je n'aurais pas pu espéré meilleurs cabine pour le faire qu'une Dior.

Faire de moi se qu'il voulait n'est pas une si mauvaise idée, surtout se qu'il était en train de faire de moi, se retirant, il me retourna, contre le miroir, désormais je voyais mon reflet dans le miroir, posant mes mains sur le miroir, il entreprît de me pénétré avec une violence qui me laissa échapper un soupir d'extase, je sentis ses mains attraper mes cheveux, les tirants à l'arrières, commençant c'est vas et viens. Plus cela avançais, plus je sentais la froideur du miroir contre tout mon corps ;

« Aaaahhhhh »

Tout était parfait, je ne pouvais rêver mieux, il m'avait donner un nouvelle orgasme avec ça, le sentir en moi, je le voulais aujourd'hui et tout les autres jours, je venais de trouver l'amant idéal et si rester avec lui était le seul moyen pour faire durée encore mon plaisir, je ne dirais pas non, je le voulais dans mon lit, je le voulais rien que pour moi. J'étais dans un tels extase que je ne pouvais le laisser partir, s'était mon côté possessive, quand je désirai quelque-chose et ne surtout pas le partager, je devenais possessive.

« Aaaahhhhhhhh »

Il devenait violent avec se ton dans la voix, me demandant si j’appréciai me regarder prendre mon pied dans le miroir, j'en avais rien à faire de me regarder dans le miroir, la seul chose que je voulais été de prendre mon pied, j'étais au comble de l'euphorie. Puis une des mains qui retenais mes cheveux pour y déposer une petite tape sur les fesses. Non je ne rougissais pas, mais je sentais cette chaleur montée en moi et me rendais rouge du visage. Cela ne me dérangeai pas bien au contraire, j’appréciai cette petite tape, il le remarqua et recommençai plusieurs fois pendant que ces vas et viens s’accélère. « Min Yeon, je vais.. » oh il allait...avions nous prévu des préservatif, pas à ma connaissance, mais après, tout pouvais toujours s'arranger et il y avait aucun risque, il pouvait bien se lâcher. Ce plaisir de le sentir en moi, cette accélération continuelle, il allait de plus en plus vite et je gémissais de plus en plus fort. Il rejoignit mes gémissement on prononçant mon nom.

« Hatori, c'est trop bon se que tu me fais »

Et après ces gémissement, il enleva son membre en moi, il me retourna et m'embrassa avec fougue, je répondis favorablement au baisers. Nous étions tout les deux au bord de la fatigue et cela se voyait. Je lui souris.

« Une journée shopping intéressante »

Je ramassai mes sous-vêtements à terre et les enfila, puis les vêtements, les chaussures, pour les cheveux c'est pas la peine de les attacher ils sont bien trop ébouriffée pour refaire la coiffure parfaite de début, un coup de peigne sera suffisant. J'étais habillée et prête à sortir mais il fallait d'abord vérifier que personne ne se trouvait près de la cabine, je sortie légèrement la tête dehors pendant qu'Hatori se rhabillai, tout le monde était dans les rayons et les vendeuses se trouvait avec d'autre client, une fois Hatori changeai je lui fis signe de sortir.

Ramassant toute les robes se trouvant sur les cintres, aucune n'avait été froissé, je sortis de la cabine, la mine joyeuse et me rendis directement à la caisse, regardant la caissière elle n'avait pas très l'air très souriante de me voir, mais je m'en fichais, elle ne pouvait rien dire, j'étais leur meilleure cliente, j'avais beaucoup dépenser dans cette boutique, elle n'avait donc aucun moyen de faire un commentaire, je lui souris et rajouta :

« Je prendrais tout ça et puis je voudrais une autre comme celle-là une taille au-dessus, ensuite donner moi un coffret du parfum Miss Chérie, la plus grande évidemment et rajouter aussi deux paire de chaussures Dior, la dorée à talon de 10 cm et la noir de 10 cm également, voilà c'est tout »

Et vlan, histoire de lui montrer que j'étais plus importante dans cette boutique, s'était une nouvelle en plus, Hatori me rejoignit avec ces achats à lui, se qui l'ébahit, tout ça coûté super cher, elle fît un faux sourire, on ne me duper pas avec les sourires, j'étais meilleure à se jeu, d'un ton hautain elle dit :

« Par carte ou par chèque »

Ahhhaaaaa, et là Hatori ressortie ses nombreuses cartes et refît le même discours que chez Victoria Secret's et d'un sourire mesquin, je regardais la vendeuse et lui dit :

« Et vous, vous préférez lequel ? »

Elle choisie l'Américaine, tout était payé et nous sortions de la boutique avec nos sac, je sortis de mon sac à main un gel désinfectant pour les mains, l’appliquant sur mes mains, on ne change pas ses habitude.