Jamais ne vous êtes-vous demandé la raison pour laquelle Dieu ou qui que ce soit d’autre n’ait décidé que nous devions nous lever le matin ? Personnellement je dois être le plus grand des païens mais pas question que je me lève mon petit popotin de cette importance source de chaleur que représentent mes couvertures. Et oui, je fais partit de la haute bourgeoisie et si je ne travaille pas c’est que mes parts dans la société de mon père me rapporte de quoi vivre pour une bonne dizaine d’années. Du coup, mis à part quelques conseils d’administrations auxquels je dois faire simplement acte de présence, mon existence se résume simplement à peu de chose : drague et shopping.

Bon, je ne suis pas non plus un chaud lapin, disons que lorsque je vois une jolie jeune femme, je ne perds pas mon temps avec des mondanités et je fonce dans le tas. Des fois ça passe et souvent ça casse mais que voulez-vous quand vous êtes frappé de narcissisme, vous vous en fichiez. En tous les cas ce jour-là, j’avais décidé d’aller faire du shopping après une bonne douche et un massage facial à base de concombres, j’étais beau comme un jeune Dieu, enfin, j’étais comme à mon habitude.

Pour ce jour ci, j’avais choisi un débardeur assez moulant de couleur noir ou était simplement écrit en lettre gotique : « Seul Dieu peut me juger ». En gros : un truc de rebelle que j’avais acheté quand j’avais seize ans en l’honneur de mon amour pour l’anarchisme. En gros, je n’aimais pas mes parents comme tout ado, du coup je me sentais un peu stupide de porter ce genre de truc mais je devais avouer qu’il était assez moulant et mine de rien, Il était assez classe. Pour le pantalon, j’avais choisi un slim histoire de montrer au monde mon jolie derrière. Ben quoi ? J’ai de belles fesses, j’ai le droit de les montrer non ?

Bref, tout ça pour dire que j’avais décidé de dépenser les sous de papa et mamans dans des fringues que je ne mettrais probablement jamais mais que voulez-vous, j’aime claquer mon pognon dans des choses qui ne servent à rien. Je me baladais donc dans le centre commercial, regardant autour de moi ce qui pouvait bien m’intéresser et finalement je me rendais compte que la prochaine fois qu’une envie de la sorte me prenait, je ferais mieux de prendre le jet de papounet pour aller à Paris ou à Milan.

Non mais soyons sérieux, je veux bien que l’Asie est de l’avance mais je suis une gravure de mode vivante avec 15 kilos de plus que tous ces anorexiques, je veux m’habiller comme en Europe parce que si c’est pour porter la dernière chemise Jimmy Choo comme 90% des petits bourgeois du coin, ça ne m’intéresse pas. Du coup, après avoir regardé la vitrine sans grand intérêt, je me hâtais vers la sortie, histoire de glander un peu ailleurs, dans un endroit un minimum plus intéressant qu’ici. C’est alors qu’en passant mon chemin je percutai une jeune fille munie de nombreux sacs.

Ne bougeant pas, j’attendis qu’elle s’excuse pour bouger car oui, je ne suis pas du genre à dire pardon quand je ne suis pas responsable. C’est alors que je vis enfin son visage et là… Je dois vous avouer que je fus quelque peu surpris car bon… sans mentir… cette fille avait vraiment…mais vraiment un visage extraordinairement magnifique. Je sais que j’use de nombreux superlatifs mais c’est rare de voir une fille avec de tels…attributs. La fixant un instant, je me décidais finalement à lui sourire pour finalement murmurer doucement.

« Mais ce n’est rien mademoiselle, cela arrive à tout le monde. »

Bon voilà, j’avais usé de politesse mais finalement… Je risquais très probablement qu’elle n’aille voir dans une autre boutique si leur dernière paire de chaussures valait ou non le coup. Du coup, je devais lui parler avant de faire perdurer la conversation. Que pouvais-je bien lui dire ? Qu’elle avait de jolies chaussures ? Des cheveux doux lavés probablement avec L’Oréal Super Shampoing aux actifs de fruits ? Une jolie tenue ? Mouais… Ce n’était pas terrible tout ça. Du coup, je posai ma main sur l’épaule qu’elle vient de percuter à l’instant même et me mis à pousser un léger cri de douleur.

« Mademoiselle, je crois que vous m’avez déboité l’épaule, je dois surement aller à l’hôpital ».

Quoi ? Oui je sais que c’est nulle mais je ne sais pas draguer du coup, j’invente des histoires afin de ne pas passer pour un imbécile. Ben quoi ? Vous savez, ça marche des fois et puis dans les hôpitaux on peut louer des chambres ? Quoi ???? Je sais…. Je sors… En tous les cas, je me tenais toujours l’épaule comme un bon comédien d’une série B … Je sais que c’est pitoyable mais bon, je sais que ça marchera, les femmes n’aiment pas faire bobos aux gens. Et oui parce qu’en plus je suis misogyne, je sais je suis un cas…

M’étant excusez et lui m’informant que se n’était rien, je commençais à continuer mon chemin tout droit dans une nouvelle boutique, mais brusquement je vis qu’il posa sa main sur l’épaule que je venais il y a quelque seconde de percuter, et sortit un léger cri de douleur, je n’en croyais pas mes yeux comment une si petite collision pouvait causer autant de dommage, en proie au doute, je leva le sourcil droit, et l’observa, pendant quelque minute je vis, qu’il portait un slim, joli fessier d’ailleurs, enfin bref revenons à nos petit mouton ou plutôt notre épaule déboiter, nouvelle observation, posa mon sac à main à terre en même temps que mes paquets et m’avança plus près de lui.

« Laisser moi vérifier d’abord si elle est vraiment déboiter avant de vous emmener à l’hôpital »

J’avais une certaine expérience des épaule déboiter, surtout sur un certain blond qui me sers d’ami, tellement il était casse-cou, et surtout afin d’éviter que je l’emmène à l’hôpital, j’avais pris des cours de secourisme, ben ouai depuis petite, je pleurais s’en cesse à chaque fois que se fameux blond tombe de n’importe où et surtout à crié s’en cesse dans tout l’orphelinat qu’il fallait qu’il aille à l’hôpital, même pour une petite blessure, les sœurs de l’orphelinat m’avait envoyer à l’infirmerie pour m’apprendre la différence entre petite blessure, grande blessure, épaule déboité et tout le tralala avec, donc je savais faire la différence entre déboiter ou non.

J’appuyais à certain endroit sensible qui révéler si il y avait bien déboitage ou pas, aucune réaction, je m’en doutais, tout ça n’était que de la comédie, je lâchai son épaule et lui fît face, sourire aux lèvres je lui annonçai d’une voix douce :

« Rien de grave, je vous assure, pas besoin d’aller à l’hôpital »

Même si intérieurement, j’avais compris que tout n’était que de la comédie, j’allais également la jouer, ramassant mes affaires à terre.

« Vous savez, il y a une différence de corpulence entre vous et moi, vous vous entretenez bien, aux premières allures et pendant que j’essayer de chercher le mal à votre épaule, vous avez une masse musculaire largement suffisante pour supporter un petit choc, d’une personne comme moi, qui plus est de petite taille et ne pesant pas lourde, donc pas de quoi faire toute une histoire, je vous assure »

Je lui sourisse une nouvelle fois, aujourd’hui allé être une journée plutôt intéressante.

Première étape fini, j’attaquai la deuxième, qui consister à m’en aller, histoire de voir se qu’il allait faire, j’avançais tout droit, tapotant son épaule soit disant déboiter et dit :

« Sur cette magnifique rencontre de quelque minute, je ne vous retient pas plus »

Et voilà, chose de faite, voyons se que nous réserve la suite.

Quoi de mieux que ce premier paragraphe pour parler des leggins car oui, il faut en parler car c’est quelque chose que j’aime beaucoup, surtout quand la fille est jolie comme c’est le cas aujourd’hui. Bon, le souci dans le cas présent c’est qu’elle a mis un juste au corps qui cache le plus important : son derrière. Mais non, je ne fais pas de fixation là-dessus… Bon ok, j’aime bien ! Mais là, je peux pas tout voir alors qu’il y a la tentation du leggins…

Bon bref, alors que j’avais trouvé une parade pour l’obliger à m’emmener à l’hôpital et ainsi, passer un peu plus de temps avec elle. Malheureusement, je venais de tomber sur l’inspecteur Derrick qui avait un peu plus de charisme que l’autre allemand à lunette. Bref, après m’avoir demandé de la laisser regarder dans quel état je me trouvait. Et vlan, sans même attendre ma réponse, voilà qu’elle était en train de me tripoter mais pas forcément dans le sens que j’aurais voulu.

Plus elle appuyait à certains endroits de mon épaules, plus je poussais des soupirs. A voir comment elle agissait, j’étais en plus tombé sur une infirmière en puissance. Ce n’était vraiment pas ma chance. C’est vrai quoi, pourquoi ce n’est pas comme dans les films ou les filles jolies sont également aussi stupides que leurs pieds. Bon, à l’allure ou elle allait, mademoiselle allait probablement voir que je n’avais absolument rien…

Bingo… Voilà, qu’elle s’était placée en face de moi pour m’annoncer son verdict. Bon, voilà qu’en plus de tous ses autres métiers, elle était avocate et juge pour décider que je n’avais pas besoin d’aller à l’hôpital. La fixant, il fallait que je trouve quelque chose à lui dire. Peut-être devais-je lui parler du préjudice morale que je venais de vivre .Ben oui, j’avais été choqué par son fessier ! Ola non, mieux ne vaut pas lui dire cela sinon elle risque de m’attaquer en justice pour harcèlement sexuel.

Bref, au final, je n’avais rien eu le temps de dire qu’elle me faisait son petit discours sur la force physique, sur le fait que ma masse musculaire était plus ou moins importante que la sienne et bla bla bla. Malgré tout, elle m’avait quand même fait une sorte de compliment en disant que j’étais bien entretenu ou quelque chose dans le genre. Oui je sais, je vois du positif partout mais que voulez-vous, j’essaye de me persuader que je lui plais.

Eh mais attendez ! Pourquoi elle me sourit ? Elle va m’embrasser ? Ah…ben…non… elle s’en va en me tapotant l’épaule tout en me sortant une phrase clichée. Magnifique rencontre et elle s’en va ? Ou non, elle ne me retient pas plus… Oh ! ça veut dire quoi ça ? Poussant un soupir alors qu’elle partait, je pris mon courage à deux mains pour finalement la rattraper par le bras. L’obligeant donc à s’arrêter, je me mis face à elle et lui renvoya son sourire.

« Si je n’ai rien à l’épaule alors expliquez-moi pourquoi je souffre autant ? Ou alors serais-ce plus bas ? Est-ce que ce serait mon cœur qui soudainement se met à palpiter de la sorte ? Peut-être est-ce votre beauté ensorcelante qui produit cet effet sur moi. »

Mais qu’est-ce que j’étais en train de raconter ? On aurait dit un apprenti poète en mal d’inspiration… C’était vraiment nul comme approche. En plus ça ne voulait rien dire. Il fallait que je me rattrape… Bon le truc c’est que je n’avais aucune idée de ce que je pouvais bien lui répondre, du coup…je lui proposais quelque chose.

« Et si on continuait à faire du shopping ensemble ? C’est toujours bien d’avoir l’avis de quelqu’un quand on choisit des vêtements. »

Non mais la justification pathétique… Vraiment va falloir que j’apprenne un peu comment fonctionne les relations entre les gens parce que soit j’en fais trop, soit j’en fais pas assez… Je suis grave !

Après examen de l'épaule, et petit discours qui mettaient en avantage sa force physique et sa masse musculaire, il me sortit un truc du genre, c'est mon cœur qui souffre dû à votre beauté ensorcelante qui produit cet effet. J'avais compris, s'était le dragueur que toute les filles sont folle, la réplique parfaite de la beauté fracassante qui fait chavirer le cœur d'une fille, je la connaissais trop bien, je travail au Pink Aphrodisia est se genre de phrase était monnaie courante des clients voulant se taper la serveuse, plutôt novice, comme approche, niveau compliment de bas étage, j'en connaissais un rayon, non mais franchement, les mecs ne pouvais pas se creuser un peu les neurones de temps en temps.

Nouveau petit sourire après cette phrase bien marrante et je m'en allais, avec quelque regret.

On y réfléchissant il était plutôt pas mal dans son slim, des fesses à croquer, celle dont je raffole, ouhlàlà, je ne devais pas trop m'attarder sur ses fesses, bien dieu mon garde, il avait une de ses paire de fesse, et ses lèvres, mmhhh.... reprenons nos esprit et devenons sérieuse.

Il a dit shopping, ou j'ai rêver, il doit être gay, car soyons honnête, quel mecs voudrait faire du shopping avec une fille, et lui donner des conseils en plus, cela expliquerais le slim moulant d'un autre côté, non de nos jours c'est à la mode, espérons le, mais j'avais encore des doutes, surtout l'histoire des conseils, on règle général les mecs était nul en conseil vestimentaire à moins d'être gay, de si joli fesse dédié à un autre gars, que cela est triste.

Aiiisssssshhhhhh mais peut-être que non, peut-être qu'il essaie juste de retenter sa chance parce-que la première tentative de draguer avait échoué, on imagine que l'épaule, la phrase pseudo poétique était une tentative de drague, aller espérons que c'est celle-là et pas qu'il soit gay. *S'il-vous-plaît grand monsieur vivant dans le ciel et père de tout être peuplant la Terre, exaucer mon vœu et faite qu'il ne soit pas gay, je vous en supplie*

Conversation interne à sens unique, entre le Tout-puissant et moi terminer, il fallait que j'en sois sûr, je me retournais vers mon inconnue et lui demanda du tac au tac :

« Êtes-vous gay ? »

Dis moi non, dis moi non, s'il-te-plaît bel inconnu sortie de nul part dis moi que tu n'es pas gay.

« Ne le prenais pas mal mais durant les fois ou j'ai tenté de dire à un gars de venir faire du shopping avec moi, ne serais-ce que pour avoir son avis, car qui mieux qu'un gars pour dire se qui plaira à un gars, j'avais pour seul réponse, non, tu n'as qu'à aller te chercher un travestie ou je ne sais quoi d'autre qui à quelque-chose d’efféminer et faire ton shopping. »

Je venais de dire quoi là ? Est-ce que je venais de le traiter de travestie ? Pourquoi n'avais-je pas attendu qu'il me réponde au lieu de justifier ma question, cela ne faisait qu'empirais les choses, aller petit sourire innocent, sa devrait faire l'affaire, dans le cas contraire, excuse en forme de chocolat, mon arme et ensuite disparition illico presto, tout le monde aime le chocolat.

Mais pourquoi est-ce que je serais gay ? Non mais ça c’est vraiment un gros cliché qui revient souvent quand un mec aime s’habiller, prendre soin de lui et faire du shopping. C’est facile de dire ça mais depuis peu on appelle ça un métrosexuel. Alors ce n’est pas un type qui couche avec des métros, je vous rassure, non c’est juste un homme qui aime tout ça. Bon le truc c’est que je ne vais ni chez l’esthéticienne, que je n’apprécie pas spécialement le shopping, c’est surtout que je drague ! Surtout que la demoiselle en question a tout d’une bombe atomique sans paraitre vulgaire bien sûr. Alors si je dois jouer les homosexuels refoulés pour la séduire, ça ne me dérange pas. Ehhhh mais qu’est-ce que je suis en train de raconter moi ? Je ne veux pas faire ça !

Pourtant, juste avant, je lui avais pourtant fait tout un cinéma sur mon épaule avant de lui balancer une phrase qui à mes yeux sonnait romantique bien que ce ne soit pas vraiment le cas au final et elle arrivait encore à penser que j’étais gay ? En l’entendant donc me poser cette question, je fronçais les sourcilles et la fixa, comme incrédule. Alors même que j’allais lui répondre, voilà qu’elle me fit une sorte de démonstration visant à prouver que j’étais gay, en me parlant de ses copains ou je ne sais trop quoi et…. De travesties… Alors les filles pensent qu’on doit être gay ou travelo pour les draguer dans un grand magasin ? Ola…. Compliqué toute cette histoire.

Soupirant alors, je la regardais et bien qu’elle me fasse un sourire innocent comme pour s’excuser, ça n’allait pas se passer comme ça, même si elle est super mignonne quand elle fait ça. Bon, elle avait tout pour elle, je ne vais pas le répéter mais il y avait encore un problème de taille : Elle me prenait pour un homosexuelle qui voulait l’emmener faire du shopping… Je m’approchai d’elle légèrement avant de pousser un soupir et e murmuré doucement.

« Partons du principe que je sois gay… Ou même pire, que je sois un travestit qui aime faire les magasins. Disons même qu’en plus, je me fais épiler à la cire tous le mercredi matin, que j’ai une armoire à vêtement immense et que je tombe par terre lorsque je vois du sang. Pensez-vous que quelqu’un qui serait comme cela…Pourrait faire ça… »

Faire quoi ? Et bien je vais vous le dire ou non, vous le montrer. Posant ma main sur sa taille je l’obligeais à se coller à moi avant de déposer sur ses lèvres un simple et unique baiser. Oh, rien de sauvage ou d’intense, un simple smack. Bref, je la relâchai et la fixa, comme si de rien n’était. Je l’avis juste embrassé après tout, cela n’avait rien de bien important si ?

« Vous voyez ? Je ne suis pas gay et si je propose de faire du shopping avec vous, c’est uniquement parce que j’essaye de vous draguer ! »

Oui….Hatori ou le mec qui se vexe pour rien et qui préfère dire la vérité que de passer pour un travestit… Comme quoi… Je ne suis pas toujours très malin malgré mon gros QI… J’ai dit QI qui veut dire coefficient intellectuel, pas cul hein ! Non mais je dis ça au cas où…

Ma franchisse, me perdra un jour, j'en était persuadée, mais je n'y pouvais rien, ça faisait partie de moi, de mon caractère et personne ne pouvait le changer, il faut m'aimer et accepter tout ses trait de caractère qui font que je suis moi, après, j’essaie vraiment de la contrôler, je vous jure, c'est dur vous savez, il y a des jours comme celui-là ou il mes impossible de le faire, curiosité oblige, il fallait vraiment que je sache si il était gay ou non, c'est pour le bien de l'humanité.

Je voyais bien qu'après ma question, il avait un sourcil légèrement remonter vers le haut, petit détails certes mais voilà un autre trait de caractère made in Min Yeon, je remarquais facilement les petits détails anodin dont personne ne fait attention, les mimiques du visage, les T.O.C des gens, ça me servait vraiment dans la vie. Et définition du sourcil levé égal vexé de par la question voir choqué donc conclusion, il ne devait pas être gay du tout, espérons le, pour en être certaine en va attendre une réponse, qui contredira ou pas, ma conclusion, je suis généralement bonne, donc sa devrait être vraie.

Oh...Il fait quoi, il s'approche dangereusement de moi, à pas très lent mais s'approche quand même, uhum...donc ma conclusion devrait être en théorie, bonne, observation de sa démarche très lente, le regard qu'il a, j'avais tout bon, je suis trop fière de moi. A une distance assez proche de la mienne, j'observais son visage attentivement, quand brusquement il se mît à murmurer : « Partons du principe que je sois gay... Ou même pire, que je sois un travestie qui aime faire les magasins. ». Tu deviendrais un très grand ami travestie si s'était le cas, mais, maintenant je sais que tu ne l'es pas, « ...Disons même qu'en plus, je me fais épiler à la cire tout les mercredi matin, que j'ai une armoire à vêtements immense », je t'épouserais même si tu étais gay ou travestie, car nous aurions un placard super méga immense qui fait la taille d'un magasin, mon paradis perdu et s’épiler rend la peau un plus douce, « ... et que je tombe par terre lorsque je vois du sang », je ne t’emmènerais jamais au centre de transfusion sanguine pour qu'il te pompe du sang, ça c'est sur, « ...Pensez-vous que quelqu'un qui serait comme cela...Pourrait faire ça... »

Et là bang, je sentis sa main sur ma taille, m'obligeant à me rapprocher de lui, allait-il faire se que j'imagine ? Et ouai, il a fait se que j'imaginais il y a quelque seconde, il m'embrassa d'un baisser simple.

Une fois le baiser fini, bien qu'il n'est durée que quelque seconde, je me détacha de sa main poser sur ma taille et recula de trois petit pas. Je le regardais et lui sourit -sourire à chaque fois, pour tout et rien était le symptôme de KiSuk, il me la refiler, j'ai passer trop de temps avec lui, toute mon enfance en fait, et à cause de lui, j'avais aussi quelque une de ses mimiques stupides qui m'horripile au plus haut point- attendais là, pourquoi je pense à lui, j'ai pas d'autre exemple, note à moi-même, élargir les exemples de comparaison. Petite parenthèse terminer, j'entendis l'inconnu me parler, m'informant qu'il n'est pas gay et que tout ceci était une tentative de drague, je ne dirais pas que cela ne m'était pas plaisant, bien au contraire, il est toujours plaisant de se faire draguer par un bel inconnu évidemment, cela prouver ma beauté exceptionnelle, ouai j'avais des tendances de narcissisme et j'assume totalement.

« Oui, très explicite d'ailleurs comme preuve »

Faut avoir du cran pour embrasser comme ça, dans un centre commercial, bonder de monde, seulement après quelque minute de discutions, coureur de jupons, il y avait pas trop d'explication.

« Vous êtes le genre de gars qui drague pour le plaisir d'avoir une fille, pas de relation longue durée, ne fait pas dans le romantisme, à l'habitude d'avoir se qu'il veut, fils à papa, aucun problème d'argent, le t-shirt montre une forme de rébellion inutile pour votre âge, environ 22 ou 23 ans et japonais »

Et oui pendant les temps où je l'avais observer, non je dirais plutôt analyser, j'avais aboutie à toute ces conclusions, je sais, observer les gens pour en faire une analyse complète peut-être un défaut, j'étais perspicace, c'est un don, de remarquer ses détails, et surtout ses fesses, qui ne le remarquerais pas, tiens j'ai oublier de mentionner ses fesses.

« Ah oui et j'avais oublier, une paire de fesse qui donne envie de les pincer »

Il a de joli fessier n'allais pas dire le contraire, par contre j'aurais pas du préciser qui donner envie de les pincer. Défaut de franchisse, à revoir. Je suis persuader, que vous vous demander comment j'ai pu savoir si il était japonais, je ne pouvais pas vous l'expliquer mais j’arrive à différencier les japonais, tawainais, chinois des coréens.

« Au fait, je m'appelle Min Yeon et si faire les magasins vous intéresse toujours, je ne serais pas contre. »

En attendons je cherchais mon sachet de chocolat dans le sac, le trouva enfin et l'en sortie, oui j'avais une envie de chocolat.

« Un chocolat.... »

Chocolat et moi, c'est une grande histoire d'amour, indestructible, je lui resterai fidèle jusqu'à ma mort. Je passa le sachet, pris un bounty et le déballa. Je me trouvais vraiment trop gentille de partager mes chocolat, c'est même une chose rare que je fais là.

Je sais qu’elle dit ça après mais parlons en maintenant, sinon je vais oublier. Saviez-vous qu’en France, au XVIIème siècle, quand une femme vous proposait un chocolat, cela signifiait qu’elle voulait coucher avec vous ? Non mais moi je dis rien mais si ça se trouve, la jeune fille que j’ai en face de moi est en faculté d’histoire et que c’est exactement ce qu’elle veut me faire comprendre. Ou alors…. Elle aime le chocolat et elle n’est pas radine… Mouais je ne sais pas trop quoi choisir, mais disons que la première hypothèse est tout de même bien plus intéressant vous ne pensez pas ? Bref, je range ma perversité dans un coin, elle ressortira en temps voulu. Ne vous inquiétez pas, vous n’aurez pas trop à attendre. Bref, cette histoire de gay était assez perturbante. En fait c’était même assez agaçant. Non mais franchement, pas que je sois homophobe ou quoi que ce soit mais je la drague ouvertement, ça devrait se voir comme le nez au milieu de la figure non ? Ben apparemment je ne suis pas encore assez…rentre dedans.

Je tentais donc de lui prouver par l’absurde qu’elle se trompait mais plus je parlais, moi j’avais l’impression qu’elle m’écoutait. C’était comme si elle était omnibulée par quelque chose. Heureusement maintenant je sais qu’il s’agit de mes fesses mais sur le coup… Elle ne disait rien. C’était comme si je me justifiais et que j’avais un problème avec ça. Déjà qu’elle m’imaginait gay, si on ajoutait refoulé à ça, je crois bien que je n’avais plus qu’à me pendre. Je décidais donc de prendre les devants, ou plutôt sa taille, la rapprochant contre moi pour venir l’embrasser. Oh rien de trop érotique, un simple bisou, rien qui puisse lui permettre ensuite de porter plainte pour harcèlement sexuel.

Etrangement, pas de baffe rien, mis à part qu’elle a enlevé ma main de l’endroit où elle se trouvait et que désormais, elle recule de quelques pas. Cela dit, je remarque que ces fameux pas, sont plutôt petit, signe qu’elle a peur mais pas tant que ça. Ou alors juste qu’elle ose pas me dire qu’elle s’attendait à beaucoup mieux de ma part et qu’un simple smack est loin de lui convenir. Voilà que maintenant…Elle me souriait. Décidemment…Je crois bien que je ne comprendrais jamais rien aux femmes mais passons, c’est plutôt positif comme réaction non ? Elle me répondit alors, avouant que j’avais été plutôt explicite. Bon et bien finalement, j’avais réussi à faire disparaitre de son cerveau l’idée même que je pouvais être gay.

Je hochais donc la tête positivement tandis qu’elle reprit la parole pour me sortir tout ce qu’elle avait deviné sur moi. Et bien finalement, elle n’était pas très loin du compte, seul la conclusion. J’avais toujours été un garçon serviable et loin d’être rebelle avec mes parents. Après tout, je devais hériter de l’entreprise familiale, pas besoin de se la jouer « petit con ». J’esquissais donc un sourire en l’entendant parler et quand elle eut terminé, je lui fis un clin d’œil.

« Pas mal, pas mal, c’est plutôt correct. Mais si vous avez un tel pouvoir d’analyse alors vous savez surement ce que je veux réellement non ? »

Ce que je voulais réellement ? Au départ la draguer et ne pas la laisser partir comme cela. A terme… C’était plus compliqué. Ah mais non, je ne vais pas donner la réponse là, faut qu’elle trouve. C’est comme question pour un champion sauf que je suis autrement plus sexy que Julien Lepers. Enfin c’est mon avis, vous êtes libre d’avoir le vôtre. Et paf, comme un poil dans une soupe de légume (oui je sais métaphore pourri) voilà qu’elle parlait de mes fesses… Elle avait envie de les pincer ? Alors là… Elle donnait vraiment le bâton pour se faire battre. Poussant un soupir, comme lassé, je m’avançai de deux petits pas avant de prendre ses mains dans les miennes et plaquer chacune d’entre elles sur mes fesses.

« C’est comment alors ? Sont-elles à votre gout ? D’ailleurs, j’en profite pour vous renvoyez le compliment. »

Ben oui, pincer… C’est trop court. Alors que sentir ses mains sur moi, c’est beaucoup mieux. Enfin oui, je ne suis pas gêné mais elle non plus. Elle m’a cherché cette…. Ah… J’ai enfin son prénom. Donc Min Yeon… C’est joli, ça lui va bien. D’ailleurs apparemment elle veut faire les magasins. Un petit coup d’œil sur les sacs qu’elle a posés au sol. Chaussure elle a…Vêtement aussi. Bon, ben je vais encore dire un truc de pervers, de toute façon vu tout ce que je fais depuis cinq minutes, je ne peux pas la choquer plus que c’est déjà le cas.

« Mais avec grand plaisir, je suis certain d’ailleurs que vous alliez justement acheter de la lingerie. Je viendrai bien évidemment avec vous pour….Vous conseiller. Sinon moi c’est Hatori. »

Pour la conseiller… Ben voyons. Pour mater surtout ! D’ailleurs il y a des cabines d’essayages non ? C’est encore plus intéressant ça. Ola, faut que j’arrête de penser comme ça moi, tout avait bien démarré et voilà que maintenant je commence à avoir envie d’une aventure avec elle. Comme quoi, on devrait bousculer les gens plus souvent. Je la regardais donc chercher quelque chose dans son sac. Un chocolat… Bon je ne vais pas vous refaire mon analyse du début mais c’est tendancieux vous ne trouvez pas ? Esquissant donc un sourire, je prends un Mars pour lui faire plaisir et lui fait un grand sourire.

« Merci Min Yeon. Alors, on y va ? A moins que vous ne vouliez que je vous embrasse de nouveau ? »

Ben quoi ? Oui je sais c’est pas bien mais elle avait des lèvres super agréables et vu qu’elle vient de manger du chocolat ça rendra un petit gout sucré loin d’être désagréable et… Bref je réfléchis trop…

En plus d'avoir un physique avantageux, l'inconnu n'était pas timide, nous nous étions seulement bousculé enfin je les bousculée mais sans faire exprès, je vous le jure, maintenant nous voilà partie à flirter, non que ça me dérange mais s'était plutôt rare que je laisse un parfaite inconnu m'embrasser sans lui foutre un poing dans le visage, après cette inconnu n'étais pas non plus moche, et j'étais d'excellente humeur, surtout après l'achat d'une Oscar de La Renta et d'une paire de chaussure tout sortie de chez Jimmy Choo, le bonheur total, il ne me manquer plus que les Diesel, Gucci et Victoria Secret enfin quand je dis ça, je dis rien, me connaissant très bien, je ne vais certainement pas m'arrêter à ces trois boutique, y en a plein et mon compte en banque se remplie tout seul sans que je fais de virements d'un salaire ou autre chose, si vous saviez combien est virée sur mon compte chaque mois, c'est hallucinant, j'ai même plus besoin de travailler, non non je ne râle pas, au contraire je bénie le ciel.

Étrangement cette inconnu me faisait bien rire et une journée shopping avec lui sera assez fun, d'habitude je fais mes sortie shopping seule, parce-que personne ne veux m'accompagner et quand je dis personne c'est pas compliquer à comprendre qui sait, ils disent à chaque fois que je prends trop de temps mais c'est pas ma faute, trouver le truc qui plaît même si tu le mets 1 fois et c'est se que l'on me reproche, ils disent qu'à moi toute seule, je suis un magasin en entier, ils sont vilain mais je l'ai aime quand même c'est deux là.

Comme c'est avant tout un mec il peut m'être utile, surtout à porter mes paquets, ouai, il va porter mes paquets même si je dois l'embrasser pour qu'il accepte, c'est pas grave, j'ai besoin d'un porteur et il était parfait pour ça et en plus il veut plus ces intention était clair, je vais en profiter à fond.

« Évidemment que je connais vos intention pas très saint n'est-ce pas ? »

Bien que l'idée ne soit pas à écarter, je suis encore célibataire à ma connaissance, j'ai rien qui me retiens et surtout personne.

Oh mais je rêve, il attrape mes mains et.... Oh il les poses sur ses fesses.

« Elle sont bien ferme comme je l'ai aime »

Ouai j'en profite grave, il est canon, il a des fesses bien ferme et en plus il me renvoie le compliment, non mais c'est un type absolument marrant. Il dit que je vais aller acheter de la lingerie , parce-qu'il a envie que je vais en acheter et qu'il regarde, c'est un petit coquin celui là.

Je ne dis mots, j'étais bien trop occupé à chercher le sachet chocolat pour dire quelque-chose, une fois trouver, je lui en avait proposer, prenant un mars, il me remercia.

« Diesel, Gucci, Zadig et Voltaire, Valentino, Loboutin, Victoria Secret, Dior, tu vas pouvoir suivre ? »

Il fit oui de la tête, il va regretter d'avoir accepter, sans tarder, je lui tira le bras et ramassa mes paquets à terre.

« On va d'abord commencer par Victoria Secret, marche un peu plus vite Hatori »

Enfin arriver à la boutique, les vendeuses me souriaient, et oui leur cliente préféré était de retour, elles ne mis pas longtemps à me montrer les nouveautés, souriant à Hatori, je le poussai sur un fauteuil se trouvant en face d'une cabine d'essayage.

« Assis-toi là et bouge pas,tiens ça en attendant »

Je lui laissa mes paquets et alla farfouiller, les nouveautés, cela me pris 10 minutes avant de revenir devant Hatori.

« Alors, tu préfères ça, ça ou ça»

Bien que j'avais une idée de se qu'il préfère.

Les femmes sont des êtres assez étrange vous ne trouvez pas ? Rappelez-vous, il y a quelques minutes, voilà que nous nous rentrions dedans, de suite je l’accusais de m’avoir cassé quelque chose et elle s’était éloignée. Pensez-vous qu’elle voulait en réalité que je vienne la rattraper ? Non parce que quand même, c’est assez rapide entre nous. Habituellement, on s’excuse et c’est terminé. Là, on avait quand même dérivé à propos de ma sexualité… C’est qu’il se passe quelque chose quand même. Juste après, voilà que je viens de l’embrasser. Est-ce que c’est normal ? Son sourire l’est-il aussi ? Non bien évidemment et pourtant, elle me fait un topo sur ce à quoi doit ressembler ma personnalité tout en analysant exactement ce que je suis venu chercher en commençant à la draguer. Bien évidemment, vu qu’elle me parle d’avoir des filles, je ne vois rien d’autre que de lui demander si elle se doute de ce que je veux au final. Bon ok, je suis un mec alors c’est un peu facile mais en théorie, une jolie poupée comme ça, devrait jouer son ingénue afin de simplement bénéficier de mes services de porteur…

« Vous les connaissez et pourtant vous ne fuyez pas en courant. Que dois-je en conclure ? »

Moi ? Me montrer brusque ? Jamais ! Je ne vais pas lui demander si elle aussi a envie qu’on fasse des choses pas très catholiques, ce serait se la jouer gros lourd et ce n’est franchement pas mon genre. Tout est question de technique. Là, c’est elle qui doit me répondre, moi je ne dis rien et surtout pas si elle a raison ou tort bien que je le lui fais comprendre. Bien évidemment, quand l’instant d’après, elle me complimente sur mes fesses, je ne vois pas d’autre à chose à faire que de lui faire plaisir. Elle a envie de les pincer ? Et bien soit, je suis son esclave. Bon, on ne va pas exagérer mais c’est toujours agréable de se faire toucher les fesses par une fille aussi jolie que sexy dans son leggins qui lui fait un derrière de folie. D’ailleurs pourquoi je ne lui ai pas demandé de toucher aussi ? Ah oui parce qu’une fille qui touche, c’est une curieuse, un mec qui touche c’est un pervers… Les féministes ont bien bossés, il n’y a pas à dire… Et là le choc… Bien ferme comme elles les aiment ? Disons qu’elle est plutôt directe comme nana.

« Alors si elles vous plaisent, je vous autorise à les toucher, les pincer ou les caresser, aussi longtemps qu’il vous plaira et durant l’intégralité de notre séance shopping. »

Oui je sais, je suis trop gentil. La preuve, elle en profite. Comment ? Et bien en me listant l’intégralité des boutiques qu’il lui reste à visiter. Il y en a même dont je n’ai jamais entendu parler. Comme quoi, on en invente tous les jours. J’avais mal à la tête rien qu’en y pensant mais je hochais la tête pour lui signifier que c’était ok pour moi. C’est alors qu’elle me prit le bras, m’annonçant que l’on allait chez Victoria Secret. Ah ça, c’était intéressant, à croire que ma proposition lui plaisait ou tout simplement, qu’elle était décidée à commencer par ce qui me plairait le plus pour s’assurer de ma constante loyauté à porter ses sacs et à la regarder enfiler un nombre de tenue qui serait forcément, au-dessus de la centaine.

Nous entrâmes alors dans le magasin. Et bien il faut l’avouer, les femmes qui vont ici ont du gout et si mademoiselle a l’air de connaitre aussi bien les vendeuses c’est qu’elle doit en porter. Ça c’est intéressant, j’aime les femmes qui font attention à leurs sous-vêtements. Non, je ne suis pas du genre à envoyer valser un soutient gorge comme le dernier des nazes. Avant cela, j’aime le toucher, le caresser, montrer à ma partenaire que oui, je veux voir ce qu’il y a en dessous mais que finalement, attendre c’est parfois beaucoup mieux pour décupler l’envie. Enfin bref, oublions ces considérations d’un autre j’aime pour revenir sur la conclusion : J’aime Victoria Secret ! Elle me demanda de m’assoir pendant qu’elle me refilait ses sacs et revint une dizaines de minutes plus tard avec trois tenues, me demandant laquelle je préférais.

« Hum… La violette assurément mais… Tu sais, c’est le genre de choses qu’il faut essayer pour être certain si ça vous va ou non. Enfin… Si tu vas te changer, attend un instant, je vais voir si moi aussi je te trouve quelque chose car… C’est moi qui paye et je t’offre tout ce dont tu auras envie. C’est pour te remercier de m’avoir complimenté au sujet de mes fesses. »

Oui grand prince, en même temps, l’argent n’est pas un problème pour moi alors bon… Je me lève,, reposes les sacs et me dirige vers le raillons lingerie et tenue. C’est un nom qui me plait bien et très rapidement, je trouve deux ensembles plutôt jolis. Je les prend et les lui amène.

« Bon alors tu essayes la tenue violette et…
ça et puis ça aussi… Je suis certain que ça t’ira à ravir. »

Je restais en dehors de la cabine, attendant le résultat. Oh, je serai bien rentré mais comme je vous l’ai dit, j’aime enlever les vêtements, une femme déjà c’est comme un cadeau de Noël pas emballé. On est content mais il nous manque ce petit quelque chose qui nous fait rêver. Oui, je sais, je suis compliqué… Puis son leggins comment dire ça… J’ai bien envie de le lui enlever moi-même mais passons une fois encore, je fais dans la perversité et je vais faire peur à mes lecteurs.

« Vous les connaissez et pourtant vous ne fuyez » tu m'étonnes que je fuis, c'est un ange à côté des clients du Pink, il me fait bien rire celui là et de toute façon, j'ai fait du kick boxing alors je peux à tout moment lui foutre un poing dans la figure si il préfère mais c'est avec gentillesse que je répondis :

« Si tu veux je peux courir et crier au viol c'est pas un soucie »

Non mais moi, sa me pose aucun soucie, je vous l'assure surtout que c'est pas moi qui ira en garde à vue et je pourrais toujours aller faire une déclaration comme quoi c'est un fanatique, qu'il me suit depuis quelque temps, ça peut être marrant.

Ooohhh mais c'est qu'il est pervers l'ami, il m'autorise à lui toucher les fesses et à faire joujou avec, je sens que celui-là va me plaire si ça continue ainsi. Petit sourire à la Min Yeon en signe de gentillesse, et oui je souris à n'importe quel moment et à n'importe qui, il y avait différentes manière de sourire, le faux sourire, le sourire ironique, le sourire manipulateur et bien autre, évidemment je les maîtrise toute et le sourire cache les véritables intentions du personne, j'en avait fait mon arme et vous savez sur qui j'utilise souvent et bien sur celui à qui je pique de l'argent parce-que j'ai pas envie de gaspiller le mien et que je le rembourse jamais et qu'il réclame jamais, parce-qu'il m'aime trop, le pauvre.

Tout ça et bien beau mais j'ai mes achats à faire et comme il avait eu l'erreur de se proposer et que je suis presser, je l'entraîna dans mes folies de shopping, je l'avais attiré dans la boutique Victoria Secret, lui avait demander se qui le plaît et comme je me l'imaginer il aimait la mauve mais se qui m’étonne le plus c'est qu'il se propose d'en chercher d'autre et qu'en plus il paye tout et quand je dis tout c'est tout, les sous-vêtements, les jean's, les robes, les chaussures, non mais j'ai trouver mon mari, sérieusement si il se mets à tout payer, on va à Vegas et je l'épouse sans problème.

Regardant les vendeuses, elles étaient autant ébahie que moi, surtout qu'elles connaissaient bien mes folies shopping, que je pouvais faire exploser ma carte rien qu'en une journée, je lus sur les lèvres d'une « veinarde » je lui avais répondu « Ouai, c'est clair, je devrais me marier avec » en réponse, j'eus droit à un hochement de tête de chacune d'entre elle, qu'est quand pouvait être superficielle.

« Oh c'est gentils mais je peux payer tout ça, je doute que tu.... »

J'avais même pas fini ma phrase qu'il était déjà partie dans un rayon, et revenez avec deux tenue très aguicheur, je lui souris.

« Oh j'aime bien la rose, très lollipop, non mais je vais prendre quand même les deux autres au moins pour dormir »

Ben ouai, j'étais venu à la base m'acheter des trucs pour dormir mais bon, il y a quand même possibilité d'acheter autre chose, j'attrapai les tenues qu'il avait choisie et alla à la cabine. Une fois dans la cabine j'enlevai tout vêtements sur moi et enfilai d'abord la tenue noir avec manche et sortie de la cabine.

« Bouuuuhhhhhh »

Ah la tête, elle est trop marrante, je retournais dans la cabine et en ressortie avec la tenue noir qu'il avait choisie.

« Tu préfère ça »

Et de nouveau dans la cabine, j'essaye la tenue rose, attacha les cheveux avec deux chouchou rose que les vendeuses m'avait donné plus tôt et sortie de la cabine.

« Oppa » dis-je d'une voix fluette et me repris « Ah non tes un japonais toi, c'est....Hatori Sempai »

J'explosai de rire, non mais c'est trop marrant et ce manège continuai au fur et à mesure qu'il me passa de nouvelle tenues. Une fois fini, je remis mes vêtement d'origine et sortie de la cabine avec tout les sous-vêtements et les tendis au vendeuses.

«Je prends tout ça comme d'habitude»

Ramassant tout mes affaires, je me dirigeai vers la caisse, je sortis ma carte platine et la tendis à la vendeuse.

Au viol pour si peu ? Alors que je n’ai même pas touché ses fesses ? Non mais ce serait n’importe quoi. N’empêche elle est douée étant donné que du coup, elle ne m’a pas donné sa réponse sur ce qu’elle veut réellement. Bon je suis tombée sur une lumière, je ne vois que ça. D’ailleurs je ne veux pas dire mais c’est elle qui me touche. Oui je sais, une fille qui touche un mec c’est… Ah je l’ai déjà dit ? Bref, vous connaissez l’histoire quoi. En tous les cas, j’allais devoir me taper une journée shopping avec ce qui semblait être une fashion victime.

« Je t’ai pas demandé de faire ça, je te demande ce que tu comptes faire après ce shopping ? Bon ok…. Je te demande si tu as envie de faire pan pan cul cul avec mes jolies fesses. »

Oui bon je sais, c’est naze de dire ça comme ça mais je ne veux pas lui dire « Dis-moi tu veux bien écarter les cuisses d’ici quelques heures parce que je te trouve physiquement intelligente. Non mais faut pas déconner, ce n’est pas mon genre. Tout en finesse comme je vous l’aie dit ! Bon on ne va pas exagérer, disons que j’aime prendre mon temps et pas seulement avec les sous-vêtements. Bref, il était l’heure d’aller chez Victoria Secret… Dont elle semblait membre privilégie. Ça c’est pas mon signe, surtout pour ma carte bleue. Enfin je dis ça mais la mienne est noire et numéroté. Ouais te la joues pas avec ta carte platinum, moi j’ai même mon nom sur la carlingue d’un avion. Et ouais personne ne le vois mais moi je suis content et je peux même suivre sur mon IPhone le lieu où se trouve le fameux avion. Oui je suis riche alors chaque détail compte.

Face à ses trois tenues j’en choisis une avant de me décider à aller lui chercher autre chose. Ben quoi ? Elle n’a pas l’air contre alors j’ai le droit de choisir ce que ma futur femme va porter. Ah ? J’ai dit femme ? Non je voulais dire….concubine. Bref… Je veux qu’elle soit sexy pour moi et peu importe le reste. Bon si ça se trouve je n’aurais rien du tout mais bon, le jeu en vaut bien la chandelle. D’ailleurs je ne sais pas quoi c’est le rapport entre une chandelle et son leggins mais elle a vraiment de belles fesses. Bon, au moment où l’on sert, je lui mets une main aux fesses comme si de rien n’était.

« Tu doutes de quoi ? Tu voudrais une Ferrari, je pourrais te la payer et j’aurais encore de quoi m’en acheter une autre avant d’être en découvert. »

Bon alors ça c’est fait. Non je ne me la raconte pas, je n’aime juste pas qu’on remette en doute mes paroles. Bon… Elle veut des trucs pour dormir ? Je peux vous assurer que si l’on passe la nuit ensemble, elle dormira ensuite toute nuit, pas besoin de machins en soie pour dormir. Oui, les filles sont souvent fatiguées après ce genre de choses avec moi… Je ne sais pas, je dois être doué. Non mais je vais arrêter de me la jouer bref…

« Alors dans ce cas, la violette sera uniquement pour quand tu dors avec moi. »

Ah ben oui moi je m’en fiche, je balance ça comme ça, comme si c’était tout à fait normal ou qu’elle était ma petite amie attitrée. Boarf vous savez, au point où on en est… Elle ne pourra plus être choqué de quoi que ce soit. Et là… Woaw j’ai le droit à un défilé haute couture victoria secret. Woaw la tenue noire lui va bien. Elle est vraiment mince et elle a un de ces poitrines… J’y mettrais bien la main aussi. Oui je veux mettre la main partout, je suis comme ça. Et op une autre et…La rose… Woaw mais elle est parfaite cette fille ou quoi ? Tout lui va...

« Appelle-moi juste Hatori… D’ailleurs tu es magnifique. Je crois bien que finalement c’est trois nuits qu’il va me falloir. »

Oui trois nuits par semaine c’est sa peau contre ma peau et je suis avec elle. Oui je pompe du Indochine mais ce n’est pas grave, on ne m’en voudra pas. Et puis… C’est finit… Déjà ? Je savais que j’aurais dû choisir beaucoup plus de tenues. Ça m’apprendra à ne pas savoir prendre mon temps. Ah… Elle prend tout et… Elle sort sa carte bleu? M’avançant vers elle à pas rapide, je tendais finalement ma carte à la vendeuse. Regardant Min Yeon, j’ouvrir mon portefeuille et sortit quatre autres cartes de la mêmes couleur.

« Banque chinoise, japonaise, coréenne, américaine. Tu préfères que je paye avec laquelle ? Range ça tout de suite, tu m’insulte là. J’ai dit que je paye tout que ce soit ici ou ailleurs. »

Non mais faut pas déconner… je payais donc avant d’apposer ma signature sur le ticket de caisse. Bon et bien let’s go aways… J’avais eu un défilé. Avec de la chance, j’aurais le droit à plus la prochaine fois. Prenant tous ses sacs, je sortais avec elle et déposa l’espace d’une seconde ma main sur ses fesses. Ah oui, j’avais dit que je le ferai mais disons que là au moins, ça a l’air d’un accident… C’est alors que nous arrivâmes devant la boutique Dior.

« Ne me fais pas honte, je suis connu ici. Prend une dizaines de robes. Sinon je vais passer pour un radin. Tu es ma muse et j’aime te voir revêtir tout ce que je t’offre. »

Bon c’est peut-être un peu pompeux mais cette fille fait chavirer mon cœur… Elle est parfaite et tout ce qui est parfait je le veux !

Ah mais c'est quoi toute ces cartes, les vendeuses et moi avions la même tête et en plus il me dit de choisir avec laquelle il veut payer, je pointe le l'index vers les cartes et commence à chanter :

« Am, stram, gram c'est toi qui va payer »

Et voilà une chose de faite, il paya mes courses, je devrais vraiment faire de lui mon mari, non mais franchement vous avez vu toute ces cartes et la fashion week arrive très bientôt, ben ouai, j'ai reçu ma carte VIP, premier rang et avantage, d'ailleurs faudrait que je demande pourquoi je fais partie des privilégié, enfin bref, revenons à mon très cher ami que je commence à aimer beaucoup beaucoup avec toute ces cartes, je commençais déjà à m'imaginer et surtout à imaginer le super dressing qui aura la taille d'une boutique.

Bon il venait de payer mes achats chez Victoria Secret et il prend même mes sacs, oh mais il est adorable lui, je peux pas le détesté, on sortant de chez Victoria Secret, il me tapota les fesses se qui me fît sursauter. Bon on avait largement dépasser les convivialité d'inconnu à inconnu et quand se comportais quasiment comme un couple.

La prochaine étapes était la boutique Dior, une fois arriver j'étais totalement absorbé par le dorée de la boutique à l'image du parfum « J'adore » trop magnifique comme endroit, je pourrais dormir dans cette boutique tellement elle est magnifique, perdu dans mes pensée, la voix d'Hatori m'en sortit, il venait de dire de ne pas lui faire honte dans cette boutique parce-qu'il était bien connu et qu'il ne voulait pas passer pour un radin, décidément je l'aimais de plus en plus.

« Tu veux pas m'épouser ? »

Je dis ça tellement naturellement, ben oui il est riche, beau et achète tout se que je veux, c'est le mari idéal pour Min Yeon, je lui souris.

« Bon ne tardons pas non plus, allez en entre »

Oh il y avait des portier maintenant à l'entrée et il t'ouvre même la porte, un homme arriva, le fixant il s’arrêta net devant nous et de manière très poli il dit :

« Monsieur Hatori et Mademoiselle Min Yeon, mes deux meilleurs client ensemble »

Je lui souris et regardai ensuite Hatori et lui sussura à l'oreille :

« Ouai très connu, je vois ça et toi ta pas non plus intérêts à me faire honte prends que se qui se fait de mieux et pas c'est espèce de machin tout moche, là-bas au fond, ok »

Ouai autant mieux jouer le jeu du couple qui font du shopping, je vis Hatori poser tout les sacs avec la caissière pendant que je me dirigeai vers les rayons, observant un peu de tout suivie d'une vendeuse, l'autre était bien trop occupé avec Hatori, je vis tout de suite se qui me plaît.

« Je vais prendre ça et ça et ça, ça, ça aussi»

Passant toute les robes avec la vendeuse, je me dirigeai vers Hatori et lui tira le bras.

« Voilà, je vais toute les essayer et tu diras se que tu en pense »

Entrant dans la cabine je me déshabilla vite, pour enfiler une robe et le montrer à Hatori et tout répéta le même scénario, plusieurs fois quand une fermeture éclair ne s'enlever pas, j’entrouvris une petite fente par la porte de la cabine et regardai si quelqu'un pouvait venir et évidemment toute les vendeuse y compris le gérant était occupé à ranger je ne sais quoi.

« Psssttt Hatori, regarde un peu par là »

Je lui souris et le fis signe de se rapprocher, une fois rapprocher, je l'entraîna dans la cabine d'essayage habituellement grande, les robes prenait toute la place et ne laisser qu'un tout petit espace.

« Tiens essaie un peu d'enlever cette robe, je crois que la fermeture est cassé et va pas dire que je suis grosse parce-que je te fou un poing dans la tronche »

Il s’exécuta et enleva la fermeture, la robe tomba à mes pieds, je me retrouvais en sous-vêtements j'entendis la vendeuse demander si tout se passer bien, je la rassura mais ne lui informa pas que nous étions deux dans la cabine c'est interdit. Je me retournais vers Hatori et lui fît face, nos visage était très proche, plus proche que d'habitude, je posais un doigt sur ces lèvres pour qu'il ne dise pas un mot.

Tirer à courte paille concernant la carte que je vais utiliser. Je ne veux pas dire mais ça fait vraiment fille superficielle. Quoi ? Sortir toutes mes cartes de crédits ? Ben ça fait mec superficiel pourquoi ? Ben alors on est un couple de gens qui ne servent à rien et ce n’est pas plus mal au final. Bref, il était temps pour nous de quitter la lingerie de luxe pour les robes hors de prix. A peine avions nous mis les pieds dans ce qui semblait être la version matérielle du parfum « J’adore ». Voilà que je lui demande de prendre beaucoup de choses car beaucoup de gens me connaissent, elle me demande quoi ? De l’épouser ? Ola…

« Et pourquoi pas ? Après tout, t’acheter des vêtements la journée pour te les enlever le soir, quel homme pourrait rêver à mieux ? »

Ben oui je sais, je suis un simplet mais qu’est-ce que je peux lui dire d’autre ? Je suis Monsieur Carte de Crédits et vu qu’elle semble venir du même monde que moi, je ne vais pas la choquer. En fait, c’est étrange j’ai l’impression d’avoir trouvé mon double féminin et si maintenant, sous son impulsion nous sommes entrés, voilà que le vendeur connait à la fois son nom et le mien. Bon ben si je voulais être discret c’est raté. Bon je ne retire pas ce que j’ai dit… Ok c’est mon pendant féminin. Voilà que maintenant, elle me faisait des remontrances sur la façon dont je devais agir. Non mais on croit rêver. C’est à moi de lui ça, pas l’inverse…

« Non mais je sais, ne me prend pas pour un demeuré, j’ai du gout moi. Puis de toute façon, je ne prends que les produits les plus chères. La collection passée, ça ne m’intéresse pas. »

Ah ben oui, on est riche ou on ne l’est pas. Toi quand tu vas acheter un costume Cerutti, tu t’en fout qu’il soit de l’année d’avant tant qu’il n’est pas chère…Ben pas moi. Moi je veux le top, je veux la classe et qu’importe si la fille ne le porte jamais. L’important c’est de claquer le pognon de papa et maman. Bon… En l’espace de quelques minutes, elle avait choisi pas mal de robes et partait les essayer. Mouais…. Tout d’un coup ça avait l’air beaucoup moins sexy de voir une femme aussi belle soit elle dans une robe… J’avais manqué ma chance et si j’avais réussi à lui toucher les fesses, ça n’avait pas été assez long pour que j’en garde un souvenir mémorable.

Bref, je devais encore attendre, cette fois ci j’avais de la chance, je n’avais pas à porter ses sacs, les remettant à la caissière immédiatement. J’attendis donc un instant avant de voir sa tête passer au travers du rideau. Ben quoi ? On n’a pas acheté de masque, pourquoi elle sort déjà ? Oh… Elle veut que je vienne. Y aurait-il un souci ? Apparemment… Oui. Je la suivit donc et me retrouvait moi aussi dans la cabine d’essayage. C’est fou ce que c’est grand. Enfin pas vraiment mais disons que ce n’est pas Vétimarché avec leurs cabines de 1m². Bon en même temps, avec tout ce qu’elle a pris, il n’y a pas tant de place que ça.

Alors comme ça elle a réussir à bloquer la fermeture éclair d’une robe à plus de 12 000€ Ben c’est malin ça… Faut que je l’aide en plus de ça ? Non mais elle ne pouvait pas demander à l’une des vendeuses ? Je suis porteur et en plus je dois jouer l’habilleur ? Non mais ça ne va pas du tout. Je l’écoute parler et hausse les épaules. Avec tous les compliments que je lui ai fait juste avant, elle ne va pas râler et me sortir son fameux « non mais je suis grosse ». Enfin….elle me menaçait quand même d’un poing dans la tronche… Hu elle ne rigole pas la jeune demoiselle.

« Mais j’ai rien dit moi, c’est cette conne de vendeuse qui t’as vendu une taille en dessous. Enfin en même temps vu la taille de poitrine elle aurait dû savoir… »

Ah ben oui, elle a de gros seins, il n’y a pas à dire. Oui, je sais c’est un peu cru mais vous voulez que je le dise comment ? Bref, j’obtempérais et après quelques secondes, je réussis enfin à lui abaisser cette fermeture éclair rebelle. Le morceau de tissu tomba alors au sol, je découvrir alors ses sous-vêtements et là…. Le choc. Une guêpière lassée façon corsé, des portes jarretelles et un string. Non mais si elle veut que je l’épouse, qu’elle le dise maintenant, là c’est… Comment dire… Juste parfait. Je ne bouge pas, la fixant, me disant que très clairement on n’a acheté des trucs qui ne servent à rien chez Victoria Secret. J’entendis alors la vendeuse lui parler et Min Yeon lui répondre. Bon j’étais bien trop occupé à mater pour écouter ce qui se disait. C’est alors que la jeune fille se rapprocha de moi. Non, elle n’était pas collée mais nos deux visages n’étaient pas loin l’un de l’autre.

« Si je te dis que cette fois je ne vais pas pouvoir résister, tu vas me prendre pour un pervers ? »

Et ni une ni deux j’avançais de deux pas, histoire de la plaquer contre le miroir de la cabine avant de poser mes lèvres contre les siennes, forçant la barrière de ses dents avec ma langue pour lui offrir un baiser bien plus poussé que le précédent. Déposant mes mains sur ses épaules, je décent le long de ses côtes jusqu’à poser celles-ci sur ces fameuses fesses dont je rêvais tant depuis quelques temps.

« Ferme également, agréables au toucher… On est fait l’un pour l’autre je crois… Mais… Tu penses qu’on a combien de temps avant que la vendeuse ne risque d’entrer ? »

Ah non, ça ne m’inquiète pas, ça me rendrait surtout fière de dire au monde entier que cette fille était avec moi mais quand même, elle avait peut-être peur… Une petite pression supplémentaire et je prends son fessier dans mes mains, le massant avec grand plaisir. Mais je ne dois pas oublier le reste. Ah j’ai la tête qui tourne, il y a trop de choses à découvrir !

Maintenant on avait largement dépasser le stade des rendez-vous préliminaire en amoureux, déjà quand les mêmes pas des amoureux surtout avec « t'acheter les vêtements le jour pour te les enlever la nuit » niveau rendez-vous en amoureux c'est très loin mais alors très loin des petits flirt d’adolescent et des conversation timide. Le notre c'est du rentre dedans pur et sans chemin de traverse.

Une fois la boutique Victoria Secret quitter, nous nous étions dirigeaient vers la boutique Dior, je vais vous éviter se que j'ai déjà dit, mais se que lui dit, m’enthousiasma, il avait du goût et surtout ne prenais jamais ceux de la collection précédente, ah je devrais faire de lui mon mari.

« Parfait, on est pareil, les anciennes collection que j'ai, une fois la tendance démodée, je vends tout sur E-Bay et parfois je suis généreuse, je les donnes au centre pour les démunies, même si se faire de l'argent est mieux, donner un peu n'est pas non plus mauvais, enfin bref revenons au plus essentiel »

M'étant dirigeai vers les rayons et pris des robes, j'avais pris place dans la cabine d'essayage et enfiler toute robes les unes après les autres, j'étais vraiment au nirvana, toute ces robes était parfaite enfin presque, jusqu'à se qu'une me fasse sentir ridicule, la fermeture était coincée et il y avait pas de vendeuse pour venir m'aider à la retiré, et c'est sur Hatori que cela tomber, en quelque seconde il se retrouvais dans la même cabine que moi à m'aider à enlever cette robe. Maintenant qu'elle était au sol, la robe évidemment, je me retrouvais en guêpière et tout le reste se déroula vite, la vendeuse qui demande si tout va bien, je lui disais que oui, puis je m'étais retournée vers lui faisant un face à face et là il me dit qu'il ne pourra plus résister et que je le prendrais pour un pervers.

« Et si je te disais que non ? »

Sans faire de chichi, il s'avança de deux pas, me faisant reculer vers le miroir se trouvant à mon dos et m'embrassa, non pas comme le baiser ridicule précèdent, mais vraiment le baisers fougueux et excitant. Déposant c'est mains sur mes épaules puis descendis vers mes côtes pour finir ça course sur mes fesses, il rajouta qu'elle était bien ferme et agréable au toucher, je posais mes miens sur ces fesses à lui, il dit que nous étions fait l'un pour l'autre, un petit sourire coquin et il demanda combien de temps avions nous encore avant que la vendeuse n'entre dans la cabine.

« Umh vu les nombreuses robes que j'ai pris, je crois qu'on à largement le temps »

Je le fixais désormais dans les yeux et mordillant l'index, je lui fis un clin d’œil et commença à lui enlever le t-shirt.

« Umh... J'avais raison, tu as une musculature très intéressante »

Me rapprochant de lui, j’enroulai sa nuque avec mes bras et sauta sur lui, ses mains tenais mes fesses pendant que j'étais occupé à lécher son visage puis à l'embrasser, jouons avec ces cheveux. Tout se déroula si vite, je redescendis et me retrouva debout, je voudrais bien voir se qu'il prévoyait pour la suite, j'attrapai ses mains et les mis sur mon dos,

« Et si tu m'aidais à enlever également ça, tu dis quoi ? »

Si mes intentions n'avait pas été clair, s'était soit je n'avais pas été assez explicite, soit il avait des neurones en moins. Mais rien, il avait compris se que je voulais, je lui souris. La voix de la vendeuse résonna à nouveau et à nouveau je lui répondis que tout allez bien, qu'il y avait un problème avec une robe, elle se proposa d'entrée mais d'une douce et calme je dis :

« Ne vous inquiété pas, rien de très grave, si j'ai besoin d'aide je vous ferais signe, occupée vous des autres clientes pour le moment »

Évidemment pendant le temps ou j'avais rassuré la vendeuse, Hatori de ses mains très agiles avait retiré le surplus de tissus que je portais du haut, il ne restait plus que le bas et tout sera entièrement enlever. Me mordillant l'oreille que je trouvais fort excitant, il redescendis de plus en plus, vers la nuque puis vers les seins et c'est là que tout commença à devenir intéressent, je sentais ses lèvres sur mes seins, lâchant un soupir d'extase et un vrai pas une simulation comme je le faisais souvent, il savait jouer de ses lèvres. Mes mains alla trouver refuge sur ses fesses et pas sur le pantalon, je les avais soigneusement glisser à l'intérieur de son pantalon et lui pinça les fesses, j'entendis un bouton de pantalon se détacher et vu qu'il était le seul à posséder un vêtements avec des boutons, je supposer qu'il venait de lâcher prise.

« Umh... Je crois bien que ton bouton est défait »

Il releva la tête et me sourit, il enleva son pantalon.

« Fantastic Baby »

On peut dire des fois que les chosent peuvent aller relativement vite quand on s’en donne la peine. Bon, bien évidemment, je ne parle pas de sa remarque concernant sa façon de traiter les anciennes collections de Dior mais ce qu’il se passa ensuite. Oui tout cela à cause d’une poitrine un peu trop volumineuse… Je devais finalement remercier la vendeuse de lui avoir donné une robe qu’elle était incapable de refermer. Je devais également la remercier de ne pas être dans les parages après cela, obligeant la jeune femme à faire appel à mon aide. A Moins que c’était ce qu’elle voulait depuis le début. Après avoir utilisé ma force Herculéenne, voilà que j’arrivais enfin à faire descendre le dit tissu pour enfin découvrir sa lingerie. Rien dire… C’était parfait. Ah si, je me souviens, j’ai dit quelque chose. Je lui ait expliqué que je ne pourrais probablement pas résister, lui demandant si cela faisait de moi un pervers.

Non ? Elle vient de dire non là ? Que c’était normal ? Mais elle ‘n’était pas bien celle-là ou quoi ? Bon et bien, cette fois, je ne compte rien regretter et je m’avancer vers elle, l’obligeant à reculer contre le miroir de la cabine. Lui offrant tout d’abord un baiser des plus sensuels, je décide finalement de venir caresser ses fesses. J’en aie rêvé, du moins ces trente dernières minutes. Elles sont fermes, douces et tout ce qu’il faut. J’aimerai lui dire à cet instant précis que j’ai envie de ne jamais retirer es mais de là…. Je ne sais pas ce qu’elle dirait. Mais que puis-je vous dire, normalement les coréennes sont de véritables planches à pains et là…. Je tombe sur les plus belles fesses du pays. Que puis-je faire d’autre ?

Bon voilà que maintenant je retrouvais ses mains à elle, venir caresser mon fessier tandis qu’elle m’annonçait que nous avions largement le temps. Hum… Alors elle avait fait exprès d’en prendre autant et de bloquer l’une d’elle. Difficile à choisir mais la nouvelle était loin de me déplaire. Donc j’allais pouvoir me faire plaisir ? Elle comptait aller plus loin ? Ben décidément j’avais bien fait de la bousculer. Enfin ce n’était pas plutôt l’inverse ? Je la regardais alors, elle était le symbole de la luxure et je ne comprenais pas bien comment j’avais finis par devenir sa proie. Mordillant son index avec sensualité, Elle m’enlevait mon teeshirt, admirant apparemment ma musculature.

« Intéressant ? Ah oui ? Et que puis-je dire de toi ? C’est tout ton corps qui m’attire. »

C’était désormais au tour de Min Yeon de se faire entendre ou plutôt, de décider ce qu’il allait de passer désormais. J’avais probablement réveillée la maitresse qui sommeillait en elle. Elle était désormais loin la jeune fille innocente. J’avais devant moi une femme voulant clairement ce que moi je voulais quelques minutes auparavant. Voilà qu’elle me léchait le visage comme s’il s’agissait d’une question de vie ou de mort pour elle. Je la laissais bien évidement faire me disant encore une fois que j’avais clairement attisé son appétit sexuel. Finalement ses lèvres vinrent rejoindre les miennes, m’offrant un baiser enflammé alors qu’elle jouait avec mes cheveux. Elle vint alors poser mes mains sur son dos, me demandant de l’aide.

« Alors je dirais que je suis le plus heureux des hommes. »

Alors que je m’afférais à trouver les nœuds me permettant de détacher sa guêpière, j’entendis la vendeuse poser une question. J’étais assez surpris de la réaction de Min Yeon qui l’air de rien, lui répondait, lui demandant de la laisser essayer ses tenues et de s’occuper de ses autres clients. Woaw moi je serais incapable de faire ça en pleine action. J’ai comme l’impression que je suis face à une professionnelle des cabines d’essayages. Bon une fois qu’on a fini je lui demanderai lesquelles sont les mieux. Je trouvais rapidement le lacet, lui enlevant tout son haut et le soutient gorge avec. Oui, c’était plus facile ainsi mais qu’elle rassure, je serais rendre hommages à cette poitrine si parfaite. Ses formes sont dignes de déesses grecques et désormais, j’ai envie de mourir étouffée entre ses seins. Pourtant je décidais de m’attaquer à ses oreilles, lui mordillant le lobe de l’oreille, passant ma langue parfois pour la faire réagir.

L’instant d’après, ma bouche se posa sur ses seins, tout d’abord sur les tétons de la jeune femme. Je ne me gênais pas pour mordiller cette partie que j’aimais tant. Désormais ma bouche, ma langue et mes dents, cherchaient à jouer avec ses seins. J’en avais tant rêvé que je ne comptais pas abandonner cette partie de son anatomie aussi rapidement. Mes mains vinrent rapidement prendre la suite, massant ceux-ci, pinçant les extrémités de cette magnifique poitrine tandis que je lui collais quelques suçons au-dessus de ses seins. Si désormais elle voulait remettre un décolleté, elle devrait mettre un paquet de fond de teint car je suis du genre à marquer vite les dames. Ma camarade ne semblait pas mécontentant et le soupir qu’elle lâcha me donna envie d’en découvrir plus tandis qu’elle revenait jouer avec mon fessier jusqu’à arriver à défaire le principal bouton de mon jean. Voilà qu’elle le remarquait. Normalement j’aurais dit un truc stupide mais cette fois là…. J’avais bien trop envie d’elle.

« Alors le chemin est tracé, déshabilles moi et montre-moi combien tu sais faire naitre le désir chez un homme. »

Oui, une fois encore, c’était peut-être un peu abrupt mais après tout, nous étions loin d’être des enfants de cœurs. Pour lui faire comprendre ce que je voulais, je glissais une main dans son string, ne le lui enlevant pas, insérant simplement un doigt en elle. Commençant à faire quelques allers retours, je répondais à son compliment.

« You are the fantastic baby too…Mais… Je veux t’entendre crier »

Que l’on m’entende ? Ou qu’on l’entende ? Je m’en fichais royalement, elle serait probablement capable de trouver une excuse à tout cela… Oui elle est douée pour mentir aux vendeuses je crois bien…

La cabine d'essayage était vraiment se qu'il y a de plus fantasmatique, déjà quand on regarde les films, il y a beaucoup de scène avec les cabines d'essayage et non se n'est pas des films pornos, j'ai été clair, là. C'est pas pour me répéter mais les choses allait à une vitesse grand V. Si j'avais été en couple, je passerais pour une femme infidèle, est-ce qu'on Corée du Sud la polygamie est autoriser ? Bonne question, en sait jamais se qui peut arriver, bien que celui-là, je pourrais être fidèle déjà parce-qu'il est riche et oui j'ai des tendances superficielle et en plus il à l'air bon au lit enfin plutôt en cabine mais bon c'est la même chose dans des positions différentes et moins confortable, le lit c'est confortable et on peut dormir s'allonger et dormir après des ébats sexuel intense.
Sérieusement, cette partie de jambe en l'air dans les cabines d'essayage était plutôt amusant, pour une première fois dans les cabines s'était plutôt réussi, j'ai trouvé le bon partenaire de cabine la prochaine fois je sais avec qui je vais faire du shopping amusant.

Je l'avais proposer de retirer le haut de ma guêpière, se qu'il fît assez facilement, il avait des abdos à vous faire tomber dans les pommes, tout ça avait le don de rendre la chose encore plus excitante et surtout à me rendre toute émoustillée, notre petit jeu commençais à devenir plus chaud que je ne le pensais.

Le bouton de son pantalon avait lâché, je lui avais fait la remarque en même temps qu'il laissa des marques sur ma poitrine, bon prochain achat, fond de teint, les marques de suçon qui laissa était un peu trop visible, un seul de sera peut-être pas visible, je devrais prendre deux voir trois, c'est à réfléchir pour l'instant il y a plus intéressent à faire. Il ne lui restait presque plus rien de ses vêtements. Il venait dire que je pouvais le déshabillé et puis quoi, que je lui montre combien je peux faire naître en lui un désir, oooohhhh d'accord je vois ou il veut en venir.

« Il ne reste pas beaucoup de chose à enlever »

Lorsque le pantalon était enlever, j'avais laisser une sorte de commentaire en anglais, je pouvais dire n'importe quoi quand j'étais en pleine action et là il glissa une main dans mon string, il inséra un doigt en moi, je me retins de lâcher un soupir, il y fit des mouvements de va et viens en continue, ah non là j'en pouvais plus, il fallait que ça sorte, je me fichais royalement que les vendeuses m'entende gémir ou quoi que ce soit, là s'en était trop :

« Aaaaahhhhhhhh »

D'une voix aiguë, j'avais crié, comme il avait demandé, au début je ne prenais sa que pour un jeu mais là j'en voulais encore, il venait de réveiller l'excitation qui était passer de 4 à 10, j'en avais besoin, je devenais peut-être nymphomane d'un coup mais Hatori était ceux qui provoqua se délire de nymphomane.

« Umh....vas-y Hatori, encore, encore,encore »

Plus jil devenait rapide et plus je gémissais, à cette allure c'est toute la boutique m'entendras et pas seulement se qui passait devant la cabine mais aussi se que allait entrée dans la boutique. S'en était trop maintenant c'est à mon tour, je me mis à genoux, lui retira son boxer et commença à faire une fellation, des mouvements de va et viens continuel, si je devais gémir, pourquoi lui ne fera pas non plus, c'est pas une raison.

Bon ok, ça a été relativement vite. Disons qu’au départ on a été vite en apprenant à se connaitre et en me faisant passer pour gay, pour ensuite faire du shopping avec elle avant de me retrouver dans une cabine d’essayage avec elle. A la base, je crois bien que j’étais venu sans la moindre pensée perverse, si j’en avais eu une, c’était bel et bien chez Victoria Secret, non pas ici. Mais là… L’accident, la fermeture qui coince et me voilà à la rescousse. Le souci ce n’est pas l’acte en lui-même, c’est ce qui en découle et forcement, quand vous détacher une robe, vous retrouvez surement la jeune fille en petite tenue et vu ce qu’elle portait à cet instant, je ne pouvais plus résister mais au moins, j’avais le courage de le lui dire.

Puis tout s’enchaine… Les baisers, la vendeuse qui pose sa question, le rapprochement, mon teeshirt qui disparait, la guêpière qui tombe, mes lèvres sur ses seins et nous voilà bel et bien décidé à tenter une partie de jambe en l’air dans une cabine d’essayage du magasin Dior. J’étais du genre à normalement ne pas brusquer ma partenaire mais cette fois, j’étais bel et bien tombé sur mon âme sœur. Je ne savais pas pourquoi, mais elle me ressemblait. Peut-être était-ce le fait que rien ne semblait la gêner et qu’elle était là uniquement dans le but de s’amuser avec moi, peu importe les positions ou autres, tant que cela lui faisait du bien. Je détestais ces nanas prudes qui en dehors de la position de tortue, vous demandait de vous arrêter si vous essayez autre chose. Et bien là non, Min Yeon était probablement, du moins, à ce que je vois actuellement : un super bon coup.

Je lui demandais alors, quand je sentis le bouton de mon jean sauter, de me déshabiller. Après tout, n’avais-je pas fait tout le travail ? C’était à son tour de bosser. J’avais d’ailleurs précisé que j’étais certains qu’elle saurait faire naitre le désir chez moi. Je savais très bien qu’allait probablement commencer les hostilités mais je fus plus rapide qu’elle, plongeant ma main dans son string pour insérer l’un de mes doigts en elle. Si au départ, cela ne sembla pas spécialement la faire réagir il ne fallut franchement pas longtemps pour qu’à ma demande, elle lâche un cri aigue. Bon apparemment les vas et viens et que je faisais en elle, ne la laissait pas insensible, bien au contraire.

« Min Yeon….ça te plait ? J’espère, parce que ce n’est qu’un début ma belle. »

A mesure que mes doigts la pénétraient, j’accélérais le rythme, comme pour lui montrer qu’elle et moi, allions passé un bon moment. C’est là qu’elle se lâcha vraiment, m’en demandant encore. J’accélérais donc, répondant à sa demande alors que j’aimais l’entendre me supplier de la sorte. Pourtant, elle se détacha de moi rapidement pour venir s’agenouille et m’enlever mon boxer. Apparemment je l’avais assez chauffée et elle ne se priait pas se lâcher. Prenant mon membre entre ses lèvres, elle débuta une fellation. Je ne m’attendais franchement pas à ça, elle était clairement passée à la vitesse au-dessus et tandis qu’elle mêlait ses mouvements de mains et de bouche, je posais ma main dans ses cheveux, l’incitant à aller encore plus loin.

« Min Yeon, c’est tellement bon… Ne t’arrête pas… Tu me rends dingue. »

Oh ça oui, elle se débrouillait vraiment bien et pourtant, je ressentais l’envie de ne faire plus qu’un avec elle. Oui peut être mais… Hors de question de quitter ce délice. Ma respiration tendait à s’accélérer et je me sentais bruler de partout. D’un geste presque surhumain, je me levais pour la regarder, l’embrasser et l’assoir sur le siège de la cabine d’essayage. Décidée toujours à ne pas lui enlever son string, je le décalage légèrement pour insérer de nouveau un doigt en elle. Sauf que cette fois ci, il est accompagné par ma langue qui d’abord s’occupe des contours avant d’y aller vraiment, caressant cet endroit qui chez la femme, peut provoquer un plaisir sans nom quand on y passe un peu trop de temps. M’arrêtant un instant, relevant légèrement la tête je murmure sensuellement.

« Comme pour le shopping, demandez moi ce que vous voulez, je vous l’offre. »

Puis je repris mes caresses, jouant à la fois avec mes mains et ma langue à l’intérieur de sa féminité. Je voulais la voir telle qu’elle était réellement. Je voulais qu’elle me désire plus que tout et qu’elle ne soit jamais capable d’oublier cet instant que nous avions passés tous les deux.

Je gémissais tellement que je commençais à être exciter, comme il pouvait bien jouer de ses doigt et faire monter mon plaisir, chose rare, il avait un doigté extrêmement habille, bon je devrais peut-être faire de lui mon mari, j'aurais un mari et un amant formidable, je serais doublement satisfaite. Non je serais triplement heureuse parce-qu'il à plein de carte platinium alors que moi j'en avais qu'une , et elle me suffit largement, mais je dois avouer qu'avoir une personne plein au as comme mari n'est pas si mal non plus. Oups je crois que je venais de crier, oui je viens de crier d'un son assez aiguë mais au point ou nous en somme cela n'avait plus vraiment d'importance, nous étions arriver à un stade largement supérieur des simple connaissance et plus il allait vite et plus je sentais monter en moi un orgasme.

J'espère bien que c'est un début, cette parti n'est que l'entrée, et je prenais de plus en plus de plaisir à rester dans cette cabine et avoir cette parti de jambe en l'air rajouter à ça que je le faisais dans une cabine d'essayage Dior, qui peut me dire qui à déjà fait ça dans une cabine Dior. Qui aurait pu croire qu'un simple shopping à la base pourrait se terminer comme ça, j’imagine déjà se qui m'attend, allait-il être se que je j’espère voir mieux peut-être, j'attendais de voir ça.

Il avait demander de faire naître en lui un désir, je m'étais exécuter on lui faisant une fellation, il en était tout exciter, je pouvais êtres bonne dans se que j’entreprenais que se soit mon futur métier ou mes relations sexuel, la perfection même, non je ne suis pas narcissique mais c'est la vérité.

Il en réclamer encore, l'entendre le dire et j'accélérai, mais pourquoi ce besoin de tenir mes cheveux, ahlàlà en plus de remettre les vêtements une fois fini, je devais aussi me recoiffer, ma belle chevelure devra être refaite, rien qu'à cette idée, je ne m'en réjouie pas. Brusquement il me releva, m'embrassa et me mis assise sur le siège de la cabine d'essayage, mais qu'allait-il faire ? Je laisser faire, attendant se qu'il aller faire, je sentis qu'il décala légèrement mon string, il inséra en moi se fameux doigt, je ne pus m'empêcher de lâcher léger cri, si son intention était de me rendre accro à lui, il était sur la bonne voie. Tenant les murs de la cabine d'essayage avec mes mains, je n'en pouvais plus, s'était trop bon, penchant ma tête en arrière, je me mordis la lèvres inférieure, retenons se crie bien trop fort qui risquer que l'on nous découvre et voir l'apparition de tout les employés de la boutique et j'étais bien trop excité à se moment pour qu'il s'arrête d'un coup. Ah mais en plus de son doigt je sentais sa langue.

« Mmmmmmhhhhh, Hatori »

Que pouvais-je dire d'autre que ça, rien, il était excellent, je n'avais rien à lui reprochais, mais maintenant j'en voulais plus, tout était de sa faute, je voulais en connaître encore plus, quitte à mettre fin à se shopping et aller ailleurs. Il fait quoi là, mais il s'arrête, il se fou de moi, il n'allait quand même pas s'arrêter, je le regardais lever sa tête et me murmurant qu'il m'offre tout se que j'en ai envie comme pour le shopping et retourna à ses caresses, jouant avec sa langue et sa main, je ne pensais à rien d'autre qu'à lui et à se qui si passe en ce moment et à se qui se passera une fois fini, allais-je retrouver un amants comme lui, de toute façon je pourrais toujours l'avoir, je n'aurais qu'à lui demander son numéro et l’appeler quand j'avais besoin de lui et de sa langue, de ses doigt, de tout son corps en fait.

« Haaaattttooorrrriiii »

Désormais c'est clair, il n'allait certainement pas se débarrasser de moi aussi facilement, il m'avait donner envie de lui et tout ça ne s'arrêtera pas là. J'attrapai sa nuque et l'attira vers moi, tenant son visage et je le regardant dans les yeux, je lui souris.

« Je veux que tu sois à moi et rien qu'à moi »

Je l'embrassa avec fougue, je sentais son torse contre ma poitrine, tout son corps était à une distance assez proche de la mienne, j'étais devenue accro à lui et je ne pouvais pensée à rien d'autre qu'à lui, je n'allais pas l'oublier et encore moins oublier se que nous étions entrain de vivre.

L’entendre gémir était comme entendre une chanson que l’on apprécie au-delà du possible. C’était si agréable à l’écoute, je voulais en entendre toujours plus, que cela commence comme cela ou que ça aille plus loin, j’étais désormais dépendant de ce qu’elle pouvait me donner. Mes doigts se faisaient de plus en plus pressant tandis qu’elle en réclamait encore. Je n’étais jamais tombé sur une partenaire comme elle, après cette séance de plaisir dans une simple cabine d’essayage, il était évident que je ne la laisserais pas filer et il était certain désormais qu’elle partagerait mes draps ce soir. A moins que ce ne soit les siens ? Question difficile mais finalement, je savais qu’elle saurait calmer toutes mes envies les plus perverses. Nous étions pareilles et la voir ne pas se retenir était un délice. Elle avait su m’avoir avec ses sous-vêtements, j’espérais qu’elle en avait d’autres à me montrer.

Soudainement, comme prise par une fougue insoupçonnée, elle se détacha de moi avant de se mettre à genoux pour me faire une fellation. Elle n’avait même as pris le temps d’observer ce qui faisait de moi un homme, non, elle l’avait immédiatement glissé entre ses lèvres, comme pour bien me faire comprendre qu’à présent, c’était à mon tour de gémir. Je la regardais faire et cette vision m’excitait au plus haut point tandis que le contact de ses lèvres sur mo membre me faisait pousser des soupirs de plaisirs. Je ne pus alors m’empêcher de poser mes mains dans ses cheveux pour la forcer à continuer et surtout, à aller plus loin. Cela ne semblait pas vraiment la déranger, elle semblait comme… Dénuée de toute retenue et c’est ça qui me plaisait chez elle.

Soudainement, sans rien dire, je l’arrêtais, la forçait à s’assoir avant de venir l’embrasser pour finalement me mettre à mon tour à genoux face à elle. De nouveau, j’insérai un doigt, elle devait y être habituée et pourtant, elle poussa de nouveau un cri. Heureusement que le magasin Dior mettait sa musique relativement fort mais je doutais que cela puisse couvrir ses gémissements. En même temps, nous étions des clients privilégiés, nous virer leur ferait perdre un paquet d’argent. J’ajoutais alors ma langue, comme pour lui offrir un plaisir encore plus soudain tandis qu’elle criait mon nom.

« Hum, t’entendre gémir comme cela m’excite au plus haut point. Je vais t’en donner encore et encore ma déesse. »

Je continuais donc, jouant avec les contours de sa féminité avant de lui demander ce qu’elle voulait réellement. Elle sembla me regarder comme surprise. Apparemment elle n’était pas prête à accepter que je m’arrête la…Oh que non. Une fois que j’eu terminé de lui dire que je ferai ce qu’elle voulait, je passais enfin aux choses sérieuses, jouant cette fois autant avec mes doigts qu’avec ma langue en elle. Cette fois, ce fut mon nom dans son entier qu’elle cria. Je ne pouvais plus m’en passer, j’en voulais encore. C’était comme si cette fois, je me fichais de mon plaisir personnel tant qu’elle continuait à être aussi communicative.

« Min Yeon… Tu es parfaite. »

Oui c’était une contestation, tandis que je reprenais mes caresses contre le point le plus sensible de ma partenaire. C’est alors qu’elle fit comme moi précédemment, m’obligeant à me relever. Je savais qu’elle aurait aimé que je continue mais elle en voulait beaucoup plus. Désormais, il fallait que l’on avance, que l’on fasse encore progresser cette envie que nous avions en nous. C’est alors qu’elle me demanda quelque chose, d’être à elle… Intéressant.

« Je n’ai jamais ressenti pareille envie, je suis à toi princesse, je veux partager tes nuits et tes jours, tu n’as qu’à m’appeler si tu as envie de moi. Que ce soit pour une nouvelle journée shopping ou ailleurs, je veux t’entendre gémir encore et encore. »

Oui c’était peut-être un peu cru mais nous n’étions pas, l’un comme l’autre à être choqué par une phrase ou par une expression un peu trop osé. Après tous, les mots pouvaient être les plus violents des aphrodisiaques et j’étais du genre à aimer les femmes aussi expressives. Sentir ses seins nus contre mon torse me faisait beaucoup d’effet et si elle m’avait enlevé tous mes vêtements, j’aimais la voir encore porter sa lingerie. Pourtant, nous ne pouvions point rester comme cela. Je passa mes mains sur ses cuisses les caressant sensuellement avant que je ne le lui enlève son string, le faisant glisser le long de ses jambes jusqu’à ce qu’il n’atteigne le sol. Insérant de nouveaux mon doigt en elle, je vins lui mordiller l’oreille avant de lui susurrer doucement.

« Qu’est-ce que tu veux maintenant ? »

Je rêvais qu’elle me réponde quelque chose d’assez cru, je voulais qu’elle me dise clairement qu’elle voulait me sentir en elle. Une fois sa réponse obtenu, je la soulevais, lui intimant l’ordre d’enrouler ses jambes autour de mon buste. Il ne fallut alors pas longtemps pour que mon sexe ne vienne la pénétrer. De cette manière, c’est moi qui détenais les reines et à chaque fois que je la soulevais, je ressentais encore plus l’envie de la voir perdre totalement ses moyens. C’était extraordinairement bon et il était hors de question que nous finissions ainsi. Elle m’avait dit que nous avions tout notre temps, je n’allais pas manquer de le prendre tandis que je venais coller mes lèvres aux siennes, lui offrant un baiser enflammé.

M'entendre gémir était se qu'il l'exciter au plus au point, il avait bien intérêt de m'en donner encore et encore, il croyait quoi, que je n'allais me contenter que de ça, qu'il essaie et il regrettera s'en mordra les doigts. Je n'avais en tête que lui, imaginant se qu'il faisait avec sa langue, comme il pouvait être si entreprenant, pourquoi ne l'avais-je trouvée avant que je ne me trouve des sex-friends , à lui tout seul il avait réussi à faire se qu'aucun de mes sex-friends n'avait réussi à faire jusqu'à présent, me donner envie de lui encore et encore mais aussi que cela ne s'arrête pas. Il était bon et je ne pensais plus qu'à lui.

J'avais crié son nom, il me faisait sentir toute chose avec sa langue et ses doigt jouant avec ma féminité.

« Vas y encore, ahhhhhhhh Haaaatttooorrriiii, je t'en prie encore, ne t'arrête surtout pas »

Mmmhhhh oh oui vas-y Hatori, encore, encore ahhhh mais c'est qu'il est généreux, je ne voulais pas que sa s'arrête même pas pour aller ailleurs, je me sentais bien dans cette cabine, qui me paraissait être l'endroit le plus merveilleux qui existe, comment vouloir arrêter se plaisir, la boutique pouvais fermer que je m'en fichais, ils pouvaient tous nous laissez là, ce plaisir intense que je ressentais ne doit pas être interrompu. Je suis parfaite, mais jusqu'à présent je n'avais rien fait à part, me perdre avec lui, c'est lui qui me faisait sentir que j'étais aimée, comment pouvait-il dire que j'étais parfaite.

« Tu es bien plus parfait que je ne le suis..... »

Et là, il venait de toucher un point sensible.

« AAAAAAHHHHHHHHHHHHHHH »

Je venais de lâcher le crie le plus fort que j'avais eu jusqu'à présent, je remercie que la musique qui passait était Heavy Cross de Gossip et plus précisément le moment ou elle chantait plus fort, au même moment j'avais lâcher se cris strident. J'en voulais beaucoup plus, je vous voulez qu'il ne fasse qu'un avec, qu'il pénètre en moi, les préliminaire devait prendre fin, je voulais passer au chose sérieuse, je ininterrompue et l'avait remontée pour pouvoir l'embrasser et surtout lui dire qu'il était à moi et rien qu'à moi se à quoi il m'avait répondu qu'il était à moi, nuit et jour, pour n'importe quoi, je pouvais l’appeler.

« Hatori »

Je l'embrassai, je le voulais lui et plus personne d'autre que lui, rien à voir avec ces cartes bancaire, mais je le voulais avec moi dans mon lit, dans ma vie, est-ce là se que l'on ressent lorsque l'on prend son pied au lit ou dans notre cas, dans une cabine d'essayage. Je sentis ses mains me caresser les cuisses et enlevais mon string. Il me demanda se que je voulais maintenant, mais je ne voulais qu'une seul chose :

« Te sentir en moi, que tu me fasse l'amour, j'ai envie d'être tienne et que tu sois mien »

Il ne se fît pas attendre, il me souleva, m'ordonna d'enrouler les jambes autour de son buste. Je n'attendis pas l'entends pour sentir que son sexe entra en moi.

« AAAHHHHH »

Oh oui, s'était bon, la façon dont il me fait l'amour, ses mouvements de va et viens provoquer en moi cette sensation de pur bonheur. Le baiser du début était ridicule comparé à celui-là, il comprenais se que je voulais et je ne me faisais pas prier pour accepter tout se qu'il me demandais. Je descendis les lèvres vers son cou, l'embrasser jusqu'à remonter à son menton et entrepris de le lécher le menton avec lenteur jusque-au lèvres et me remis à l'embrasser avec furie, me détacha, j'avais une envie de crié.

« Encore, encore, plus fort Hatori, plus fort, Haaaatttooooorrrrrriiiiiiii »

Min Yeon… A coup sûr, ce prénom resterait dans ma mémoire pour toujours. C’était comme si nos deux corps s’attiraient, comme si, sans la connaitre réellement, je savais ce qui la mènerai jusqu’à l’orgasme et ce qui l’ennuierait. Avec mes doigts, comme avec ma langue, je continuais à avancer, à la découvrir, écoutant avec attention ses gémissements. Elle avait compris que j’aimais cela et pourtant, elle ne semblait pas simuler. Cette femme semblait avoir eu beaucoup d’amants mais aucun capable de lui donner ce qu’elle attendait réellement. Elle en redemandait encore et encore, je pensais immédiatement que si nous avions été dans un lit, j’aurais pu continuer cela le restant de la nuit. Plus elle m’en demandait et plus j’essayais d’aller loin. Désormais ma bouche était clairement entre ses cuisses et je faisais de mon mieux pour qu’elle continue à prendre son pied.

« Je ne compte pas m’arrêter, je veux que tu prennes ton pied bébé. »

Une seconde, c’est le temps qu’il m’avait fallu pour lui parler et déjà, je reprenais, me montrant plus pressant, taquinant son intimité, faisant de mon mieux pour la faire réagir. Il ne s’agissait pas là de remplacer mes doigts par ma langue, non, il faisait faire cohabiter ces deux entités, qu’elle puisse sentir à la fois le plaisir de ressentir quelque chose en elle, tout en appréciant un camarade de jeux, chargé de ne pas mettre en sommeil son excitation. Les deux étaient importants et je savais que personne n’avait été capable de lui offrir quelque chose du genre. Pourtant, rien ne semblait assez bien pour elle et malgré ses cris et ses envies d’en voir plus, je n’abandonnais jamais, cherchant à ce qu’elle me dise après cela que désormais, il n’y avait plus personne d’autre, que les autres hommes n’étaient pas capable de la rendre heureuse, de lui donner du plaisir. Elle me renvoya alors mon compliment, avant de pousser un nouveau cri.

« Ton corps est un appel à la luxure, tu es tellement parfaite, je sens que l’on est fait l’un pour l’autre. »

J’avais eu de très nombreuses maitresses mais aucune ne m’avait fait ressentir tant de plaisir et d’envie. Je ne mis donc pas longtemps à lui demander ce qu’elle voulait tandis qu’elle me stoppait dans mon action. D’abord elle m’appela par mon prénom tandis que je caressais ses cuisses pour lui enlever son ultime sous-vêtement. Elle n’était pas du genre à se cacher, elle était claire et net. Elle voulait me sentir en elle et que je lui fasse l’amour ? Très bien, cela ne me dérangeait pas et j’allais lui donner à la fois ce qu’elle voulait mais surtout, ce que je désirais également.

« Je suis à toi, aujourd’hui mais aussi demain et les jours que tu voudras. Promet moi juste que ce n’est pas la dernière fois. »

Oui, c’était important pour moi, bon ok, je pensais déjà à la fois suivante alors que rien n’avais encore commencé mais j’étais comme cela, j’avais compris que rien ne serait aussi bon que le sexe avec elle. Je la soulevai, lui demanda d’enrouler ses jambes autour de moi tandis que je la pénétrais. De nouveau, elle poussa un cri, elle était plutôt sensible à cet endroit et c’était un véritable plaisir que de l’entendre de nouveau. Je vins alors l’embrasser de nouveau tandis que je commençais mes mouvements de vas et viens. Mes mains, coller sur son fessier, la soulevait parfois un peu violemment pour qu’elle puisse à certain moment, me sentir plus profondément en elle. Ses lèvres se détachèrent alors des miennes, venant embrasser puis lécher mon menton. Elle était sauvage et j’aimais cela, elle savait y faire et quand elle me demanda d’y aller plus fort ja la fixais avant de la décoller de moi. Je l’assit alors là où elle avait pris son pied quelques secondes avant pour revenir la pénétrer de nouveau. Cette fois, je pouvais voir tout son corps et surtout ses seins qui bougeaient au rythme de mes coups de riens. Je ne pouvais rien faire d’autre, j’étais attiré par eux et alors que je continuais mes vas et viens, je vins lui lécher la poitrine, m’attardant sur les extrémités de celle-ci que je mordillais avec plaisir.

« Tes seins… Ton corps…Tes lèvres… »

Je ne pus terminer ma phrase tant le plaisir était important. J’appréciais tout ce qu’il se passait et j’avais repris mon attaque sur sa poitrine, la couvrant de nouveau suçon, comme si je ressentais le besoin de la marquer, de lui montrer qu’à partir de maintenant, il n’y aurait plus qu’elle et moi. Pourtant, je ne pus m’empêcher de lui demander.

« Chevauche-moi, je ne peux plus attendre…Maintenant. »

Oui c’était peut-être un ordre mais désormais c’est elle qui détenais le pouvoir et elle était libre d’en profiter ou non. Dans tous els cas, j’étais clairement dépendant d’elle à n’en plus douter.

Qui aurais pu croire qu'un jour je dirais qu'un mec est adorable et le pensée, il était adorable de vouloir me donner mon pied, et oui je le trouvais adorable,mignon et tout les mots gentils qui existent, oui je le trouvais adorable d'être attentionnée à mon égard pendant une partie de jambe en l'air, je ne simuler pas avec lui depuis le début.

Mon corps était un appel à la luxure, que j'étais parfaite, mais je ne me trouvais pas parfaite, bien au contraire, il était parfait à mes yeux, je ne doutais pas que nous étions fait l'un pour l'autre. Lorsqu'il m'avait demandé se que je voulais, c'est sans retenu que je lui dis que je voulais le sentir en moi, qu'il me fasse l'amour, que j'étais siennes et lui miens. Je ne désirais que lui, lorsqu'il me dit qu'il m'appartenais aujourd'hui, demain et les jours qui suivait, non je ne rêver pas, il ne désirais que moi autant que je ne le désires que lui.

« Je serais à toi, aujourd'hui, demain, après-demain et les jours suivant, Hatori, je ne peux plus me passer de toi, tu seras entièrement responsable de se que je fais, je te promets que cela ne serait pas la dernière fois »

Si je ne l'avais pas bousculée, rien de tout çà, ne se serait passer, je n'aurais jamais connu Hatori et encore moins arrivée jusqu'à cette instant précis, il pénétrait en moi, j'aimais ça, j'étais vraiment au bords de l'orgasme, il ne me manquer que ce petit truc qui la provoquera réellement.

« mmmmhhhhhhhhh..... »

Gémir, je passais mon temps à gémir avec ces mouvements de va et viens, comment pourrais-je mettre un terme à tout ça, non je pouvais pas, pourquoi étions nous dans une cabine d’essayage ? Et pas dans un lit ? Nous serions bien obliger de nous arrêter à un moment alors que je voulais pas que tout cela s'arrête, je veux que ça dure, je comprenais mieux les nymphomanes qui ont tout le temps besoin de sexe, j'étais exactement entrain de ressentir se qu'ils ressentaient. Quand je lui demandais d'aller encore plus fort, nos corps ne faisaient plus qu'un mais deux, il lui prenait quoi là, ne me dites pas qu'il a envie de s'arrêter mais cela ne dura que quelque seconde, seconde qui m'avait paru longue. Il me déposa sur le siège et pénétra à nouveau, nous étions désormais face à face, pendant qu'il faisait ses mouvements de va et viens, je sentis mes seins bouger, il se pencha vers mes seins et se mît à les lécher, il ne voyait pas mon expression d'euphorie, je lui caressa le dose et là au moment ou il mordit les extrémité de mes seins je sentais cette chose qu'on appel orgasme. Mes cris redoubler de volumes, désormais je fichais que tout les employés ne m'entende gémir et je doute qu'ils disent quoi que ce soit, nous étions se que j'en avait compris à notre arriver, les meilleurs clients et à moins de perdre ces fameux clients, qui achète non pas une ni deux mais plusieurs de leurs collections n'étais pas rentable.

Mes lèvres, mon corps et mes seins il savait en prendre soin et ses marques qu'il laissera sur ma poitrine ne me dérangerais pas bien au contraire, s'était la preuve que désormais s'était lui et moi.

Le chevaucher n'était pas un problème, je le retournais et me mis à califourchon sur lui et le mis en position allongé, attrapant ses mains et les mis sur mes mes seins, sans attendre, je fis des mouvements de va et viens doucement puis accélérai au fur et à mesure que ses main sur mes seins m'excitai, déjà que le sentir en moi m'excitai à un haut niveau mais la sensation qu'il me posséder était un plaisir, il pouvait se qu'il voulais de moi, je lui appartenais.

«  Hatori, je t'appartiens »

Je me pencher vers ses lèvres et l'embrassa avec passion, sentant sa langue à l'intérieur de ma bouche, son membre à l'intérieur de moi, je savais désormais que je ne voulais que lui.

Cette étrange relation ou plutôt cet acte semblant dicté uniquement par nos pulsions nymphomanes étaient assez étrange. Autant nous nous expliquions clairement ce que nous attendions de l’autre, autant, l’on se parlait comme un couple, se disant exactement ce que nous voulions réellement, nous promettant de nouvelles rencontres comme pour renforcer un amour naissant. Finalement, tout cela était paradoxal étant donné que nous étions dans une cabine d’essayage et non dans des draps de soie. Pourtant, elle m’avait demandée de lui faire l’amour, n’utilisant pas de mot plus cru, comme si notre étrange relation était réellement basée sur ce sentiment d’amour que nous semblions chercher l’un et l’autre.

Mes lèvres toujours collés contre son entre jambe, elle me faisait une sorte de déclaration, me disant qu’elle serait disponible pour moi à tout moment et que finalement, nous étions loin d’en être à notre dernière fois. La jeune femme alla même jusqu’à dire qu’elle ne pouvait plus se passer de moi et que j’étais responsable de tout ce qu’elle pourrait faire par le futur. Enfonçant donc mon doigt plus profondément en elle, comme pour qu’elle se souvienne de mes mots, je lui répondais doucement.

« Alors dans ce cas, promet moi de partager mon lit chaque jours qui passent. Je ne pourrais jamais ressentir cela avec une autre. Min Yeon, donne toi à moi, donne-moi tout, je veux te posséder. »

Tout alla très vite ensuite, après sa demande, nous avions enfin fait corps l’un et l’autre. Pour ce début, j’avais fait assez fort en la soulevant et en jouant avec elle comme une poupée de chiffon mais j’avais simplement envie qu’elle oublie le présent et quelle se laisse tout simplement faire. Apparemment cela semblait fonctionnait tant ces gémissements se faisaient plus nombreux. Et dire qu’on avait failli se rater si je n’avais pas insisté un peu… Finalement ça aurait été dommage mais j’appréciais très clairement ce que j’avais à présent et pas question de la laisser filer. Je continuais donc, tandis qu’elle m’offrait de nouveaux baisers enflammer.

Puis, sans crier gare, je la détachai de son petit paradis pour l’assoir. Elle semblait perdu, comme si elle avait perdu quelque chose d’essentiel. Heureusement, je ne tardai pas à entrer de nouveau en elle dans cette position qui ne nécessitait pas autant d’efforts que la précédente, me permettant probablement de lui offrir encore plus de plaisirs. Pourtant ce n’est pas spécialement la vitesse qui changea mais plutôt ce que je fis de ma bouche, venant prendre ses seins en bouche, mordillant les extrémités tandis que je la continuais à la pénétrer d’une manière presque sauvage. C’est alors qu’elle poussa un cri bien plus puissant que les autres. Elle venait d’avoir son premier orgasme et il était hors de question que ce soit le dernier, j’avais envie qu’il soit le premier d’une très longue série. Pourtant, je ne pouvais pas ne pas lui en parler.

« Je t’en offrirai d’autres Min Yeon, beaucoup d’autres, ce n’est que le début. »

Oui c’était toujours une sorte de fierté pour un homme de savoir qu’il avait réussi à faire jouir une femme. Pourtant, cela ne semblait pas à la portée de tous et très rapidement, bien que je lui avais donné ce qu’elle voulait, c’est moi qui lui fis une demande, celle de me chevaucher. Je n’en pouvais plus, je voulais la voir dominer un peu cet ébats, me montrer combien elle appréciait cet instant que nous passions ensembles. Ainsi, elle m’allongea sur le sol avant de se mettre à califourchon sur moi. Heureusement que les cabines étaient plutôt grandes… Elle vint elle-même insérer mo sexe en elle tandis qu’elle posait mes mains sur ses seins, m’incitant à m’en servir comme pour accélérer les choses. Plus son bassin bougeait, mieux je caressais sa poitrine, la massant, la malaxant, la prenant entre mes mains tout en pinçant les extrémités.

« Hum tu es divines comme ça… Déchaines toi, donne-moi ce que tu n’as jamais donné à aucun autre. »

C’était peut-être présomptueux de dire cela alors que finalement nous ne connaissions que très peu mais finalement… Nous étions pareils et c’était comme si nous avions toujours été l’un avec l’autre tant nos corps se comprenaient. Alors qu’elle se penchait vers moi pour m’embrasser, elle mentionna le fait que je lui appartient. Cela réveilla en moi comme une sorte de fougue insoupçonnée et c’était dormais mon bassin qui accompagnait ses mouvements à elle, se calquant sur celui pour lui permettre de me ressentir beaucoup plus en elle.

« Oui Min Yeon…Tu m’appartiens alors continue… Oui comme ça… dis-moi que tu aimes ça encore et encore. »

J’avais donc gardé la même position, cherchant avant tout à la provoquer et surtout, à ce qu’elle se décide à prendre la main pour me montrer ce qu’elle aimait particulièrement. Je n’avais aucun complexe, elle pouvait choisir ce qu’elle voulait tant qu’elle continuait à me donner du plaisir.

Partager son lit, chaque jour je ne demandais que ça, rien que l'idée de penser qu'une autre pourrait être avec lui commençais vraiment à être insupportable, qu'il n'est que moi dans sa vie, que je sois à lui, mais surtout que lui m'appartiens et à personne d'autre que moi, je devenais jalouse rien que de penser à ça, je chasser cette penser et lui répondis ;

« Chaque nuit, chaque jour autant que tu voudras »

Bon pas vraiment toutes les nuits parce-que j'avais aussi un appartements et j'aimais ma chambre et les modifications que j'ai apporter à cette chambre.

Nous faisions désormais corps l'un et l'autre, je le sentais en moi, l'euphorie en moi augmenter de plus en plus que ses mouvements de va et viens était rapide, mmmmhhh c'est trop bon, je me mordis la lèvres et puis comme ça sans prévenir il changea de position, pendant un moment j'avais cru que s'était fini mais non il venait encore de me pénétré, je sentis encore plus de plaisir dans cette position, ummmhhhh qu'il était bon de le sentir en moi, encore et encore s'en s'arrêter à tels points que j'eus un orgasme, se qui doubla mes gémissement, il comprit de suite que je venais d'avoir un orgasme et promis qu'il m'en offrira d'autre que se n'était que le début, je ne pouvais répondre tellement j'étais en transe avec c'est mouvements, apprécier était la seule chose que je pouvais faire et gémir aussi :

« Mmmmhhh....mmhhhh...mmmhhhh »

Il me demanda de le chevaucher, je ne m'étais pas fait prier et exécuta la chevauchée, insérant son sexe à l'intérieur de moi, des mouvements de va et viens tout en le laissant me malaxai les seins, il jouai avec, me les pinçant de temps en temps. Je lui informais que je lui appartenais , un changement venait de faire place, désormais il suivait mes mouvements, je le sentais encore plus.

« AAAAAAAHHHHHHHHH »

Je l'entendis me parler, me disant que je lui appartenais, que je devais continuer, comme un ordre, je continuai encore et encore, je n'avais certainement pas l'intention de m'arrêter là.

« J'aime ça Hatori, j'aime que tu me fasse l'amour, que tu sois en moi »

Comble de l'excitation, soit je l'aimais soit s'était le sexe qui me donner envie de lui encore plus que je ne le voulais au tout début de notre rencontre, j'attrapai ses cheveu et le tira vers moi, toujours avec ses mouvements de basin de plus en plus accéléré, comme un vampire, je m'attaqua à sa nuque et le mordis comme pour laisser une marque, comme il l'avait fait avec mes seins, quelque goûte de sang coula de cette morsure, goûte que je lécha immédiatement.

«  Voilà la preuve qu'Hatori est la propriété de Min Yeon et seulement de Min Yeon, ai-je été clair ? »

Oui il était à moi, il m'appartenais comme je lui appartenais, aucune autre n'avait le droit de le toucher comme je le faisais, ce corps tout entier m'appartenais.

« Tout se qui est sur ce corps est à moi »