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 La vie se passe tout entière à désirer... feat Yeon Hee (-18)

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MessageSujet: La vie se passe tout entière à désirer... feat Yeon Hee (-18)   La vie se passe tout entière à désirer...  feat Yeon Hee (-18) EmptyLun 14 Mai - 22:43

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Yeon Hee et Mikio → ‟ La vie se passe tout entière à désirer „



    Un jour comme les autres ? Oui et non on pouvait dire cela car je devais voir Yeon Hee, un peu plus tard ce soir. Je lui avais envoyé un texto après être sorti de la salle d’eau nu comme un vers, la serviette sur l’épaule pour terminer de me sécher le haut du corps alors que le bas avait été bien frotté, je passais un boxer noir à l’élastique blanche mon jeans bleu et un t-shirt blanc tout ce qu’il y a de plus classique. Quand je passais dans le salon habillé mon chat qui restait dans la maison à cause de mes dobermans, vint réclamer un peu d’attention, il était presque dix heure du matin et j’allais être en retard au rendez vous que j’avais fixé avec des représentants qui me proposaient de nouveaux alcools, tant pis je serais vite là si je roulais plus vite que d‘habitude. A Ulsan la moto seraient une fois de plus la bienvenue mais je voulais ramener quelques caisses de vin du bar. Je me préparais un sérieux petit déjeuner avec jus d’orange, barre de céréale et grand verre de lait, le tout avalé, je pris ma veste de cuir ainsi que mes clef et des contrats d’exclusivité que j’avais sorti de la nuit. Je voulais signer avec eux mais il ne devraient faire affaire qu’avec moi. C’était ma condition ! Je prenais finalement le Hummer et lançait le gros bourdonnement. Voyant la lenteur qu’il avait et surtout le vacarme qu’il faisait, j’étais décidé à le revendre, je voulais plutôt un véhicule moins couteux en essence et moins tape à l’œil. Si je voulais séduire, j’avais la Ferrari. J’avais vu sur internet la marque allemande BMW et plus particulièrement leur série 4x4, je m’étais intéressé surtout au modèle X6, mon choix serait doute celui là. J’arrivais finalement avec dix minutes de retard au rendez vous …

    Les négociations étaient un peu tendue, chacun voulait sa part du gâteau, je ne pliais pas. J’y mis un terme, j’avais mis pas mal d’eau dans mon vin et ma dernière proposition était à prendre ou à laisser. Je quittais mes possibles associés tout en laissant ma carte avec mon numéro de cellulaire, celui de la boite et mon email. J’allais fermer derrière eux et je poussais un gros soupir, j’étais un peu fatigué mentalement car ces hommes étaient les pires requins que j’avais pu trouver sur terre … Bref je me poussais un hurlement pour me soulager et j’allais voir dans la réserve ce que je pouvais prendre comme vin pour ce soir. Je trouvais exactement ce que je voulais et pris la caisse. Je sortais du bar et la mis dans mon coffre. Je partis ensuite au centre commercial pour acheter quelques fruits, légumes, ainsi que de la viande et du poisson pour un barbecue coréen. Je prenais aussi quelques serviettes et payais le tout à la caisse. Je reparti ensuite à la voiture pour placer les courses à coté du vin. Je remontais dans mon véhicule et repartais directement en direction de ma villa. Ma filleule n’était pas là ce soir, la maison était juste à nous, drogue alcool sexe seraient au menu en plus du plat de viande mais qui après tout n’avait guerre d’importance. Yeon Hee et moi on ne se voyaient pas pour manger ou déguster du vin, on se voyait pour des sensation plus fortes que ça. On n’était pas un couple mais on était se retrouver et partager des moments très libertins tout les deux. Le langage corporel était bien intense que la parole entre nous.

    Je finissais les préparatif, en plaçant des préservatif un peu partout dans la maison, quand je regardais l’heure qu’il était, j’avais encore juste le temps de me préparer en changeant de chemise et en passant un pantalon noir. J’étais prêt à recevoir la jeune femme qui ne tardait pas à sonner. Je dévalais à vitesse grand V. Je lui ouvrais la porte et un large sourire se dessinait sur mon visage.

    «Bonsoir belle demoiselle. Entre je t’en prie. »

    D’un pas je me reculais et appuyais mon dos contre le mur, je la laissais entrer comme une princesse dans mon humble demeure. J’en profitais pour la regarder un peu et me dire que Dieu seul savais que j’avais envie déjà de la déshabiller et de lui montrer combien j’avais envie d’elle après qu’on se soit un peu éclaté dans les paradis artificiels. La soirée promettais d’être torride. Encore cette fois j’avais envie de dire …


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Min Yeon Hee

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MessageSujet: Re: La vie se passe tout entière à désirer... feat Yeon Hee (-18)   La vie se passe tout entière à désirer...  feat Yeon Hee (-18) EmptyMar 5 Juin - 3:29

Le son de mon téléphone qui vibrait contre le bois de ma table de chevet m’extirpa du sommeil. Je commençai par rouler sur le côté dans mon grand lit où je me trouvais seule, pour une fois. Ce n’est pas pour autant que j’avais été sage cette nuit. Hier, en rentrant des cours, je m’étais tout de suite mise à la recherche d’un endroit où faire la fête pour la nuit. Faute de fête organisée dans un appartement ou une maison, je m’étais finalement retrouvée dans ma deuxième maison, soit le Cima avec des amis. Le doorman me connaissait bien depuis le temps que j’y allais et les barmans m’appelaient même par mon prénom. J’adorais cet endroit! J’avais bu à profusion et j’avais dansé pendant une partie de la soirée. J’avais même rencontré une bande de mecs et j’avais fini par partir à 2h du matin avec l’un d’entre eux dont le nom m’échappait ce matin. Il embrassait bien au bar et il était beau, mais sa performance au lit avait été très décevante. C’était peut-être à cause de l’alcool, mais ça ne me donnait pas envie de recommencer. Une fois qu’il avait été bien endormi et assommé par l’alcool, je m’étais discrètement éclipsée sans lui laisser ni mon nom complet, ni mon numéro de téléphone, et j’avais pris un taxi qui m’avait ramenée chez moi. J’avais fini la nuit toute seule dans mon lit et un peu frustrée de ne pas été satisfaite sexuellement.

J’ouvris lentement les yeux et je vis les chiffres rouges de mon cadran qui indiquaient 9h37. C’était trop tôt pour que je sorte du lit, mais j’étirai le bras quand même pour voir qui est-ce qui m’avait réveillée, un peu agacée que quelqu’un pense que j’étais debout à cette heure. Je pris mon téléphone et consultai mon nouveau message. Je fus bien heureuse de voir le nom de Mikio s’afficher sur mon écran. Un message de sa part ne me dérangeait pas de si bon matin quand c’était une invitation à passer la soirée en sa compagnie. Il n’y avait rien de mieux pour oublier ma nuit pas très satisfaisante que d’aller passer la soirée avec lui. Je savais que j’allais être pleinement comblée et je m’en réjouissais déjà. Je lui répondis que j’allais y être et me rendormit presque aussitôt.

Quand j’ouvris à nouveau les yeux, il était 13 heures passées. Ça me semblait une bonne heure pour se lever. Je n’avais rien de prévu de ma journée, mais il ne me restait que quelques heures à occuper avant d’aller chez Mikio. Je pris tout d’abord une douche et m’assura que chaque parcelle de ma peau était bien douce avant d’enfiler rapidement une paire de short et un grand t-shirt que je n’allais porter que cet après-midi. Je ne pouvais pas passer la journée à glander et j’allai plutôt jeter un coup d’œil sur mon site web pour voir les commandes. J’en avais quelques nouvelles et je mis tout de suite au travail. Je passai les heures suivantes à coudre différents vêtements et j’en perdrais facilement le fil du temps. Je devais m’assurer d’avoir une alarme sur mon téléphone pour me rappeler de m'arrêter!

Quarante cinq minutes avant l’heure du rendez-vous, je me coiffai et me maquillai. J’enfilai ensuite de jolis sous-vêtements, une robe en dentelles et des escarpins. Comme je n’avais pas de voiture, le temps que le taxi arrive et m’emmène chez Mikio, j’allais être pile à l’heure. En effet, quand je fus devant la porte de mon dealer préféré, j’avais même quelques minutes d’avance. Je sonnai à sa porte et il ne tarda pas à venir m’ouvrir. Son visage s’illumina d’un sourire quand il me vit et je fis de même.

- Bonsoir belle demoiselle. Entre je t’en prie.

Il m’ouvrit la porte et se recula pour que je puisse entrer. Je laissai mon sac à main et ma veste dans l’entrée et le suivit à la cuisine où nous n’avons pas tardé à commencer la soirée avec un peu de vin. Il me servit ma coupe et je me suis assise sur son comptoir sans aucune gêne. Ce n’était pas comme si c’était la première fois que je venais chez lui et nous savions tous les deux comment cette soirée allait se terminer.

- Je ne sais pas si tu avais l’intention de préparer le repas tout de suite, mais je n’ai pas faim maintenant. Je continuai avec une voix sensuelle : Mais j’ai quelques idées de trucs que l’on pourrait faire pour se divertir.

Mikio se rapprocha de moi et semblait curieux de savoir ce que j’avais à proposer. Ses doigts sur ma cuisse me donnèrent des idées déplacées que je voulais garder pour un peu plus tard. Je n’avais peut-être pas envie de manger, mais j’avais très envie de lui et je l’aurais bien laissé me prendre dès maintenant sur le comptoir, mais c’était bien aussi de se faire désirer un peu.

Je proposai donc de commencer la soirée avec un peu de drogue d’abord. Et puis fumer un joint ouvrait toujours l’appétit. Ce qui était bien avec Mikio, c’est qu’en plus d’avoir du sexe plus que satisfaisant, c’est qu’il avait toujours la meilleure drogue en ville et que je n’avais pas besoin de la payer. Je la payais en nature et ça me plaisait comme façon de faire. Nous y trouvions tous les deux notre compte. Je suis descendue du comptoir pour le regarder nous rouler un joint et pendant qu’il le faisait, je me plaçai derrière lui et passai mes bras autour de lui pour détacher sa chemise. Quand les mains de mon compagnon ne furent plus occupées à rouler notre joint, je lui enlevai sa chemise en prétextant que je préférais le voir vêtu de cette façon. Je ne me suis pas empêchée de baisser les yeux vers ses abdos bien dessinés.

J’allai cette fois m’asseoir sur l’îlot de la cuisine et Mikio, en gentleman qu’il était, me laissa fumer la première. Je m’étendis sur l’îlot en prenant appui sur mes coudes et laissai tomber ma tête vers l’arrière pour souffler un joli nuage de fumée puis je tendis le joint à Mikio. Quand il me le redonna, je me redressai plutôt légèrement pour passer ma main sur sa nuque et l’attirer vers moi pour lui voler un fougueux baiser. J’y mis fin brusquement sans lui donner plus d'explication pour lui reprendre le joint. Je repris appui sur mes coudes, offrant à mon partenaire le droit de glisser ses mains où il le désirait sur mon corps. Toutefois, ce ne fut que quand nous avons eu fini de fumer le premier joint de la soirée que je repris le baiser là où nous l’avions laissé. Il ne fut pas difficile pour Mikio, qui s’était positionné entre mes cuisses, de trouver l’attache de ma robe et de la défaire. Après tout si je lui avais enlevé un vêtement, il était normal qu’il en fasse de même. Mikio me prit dans ses bras musclés. Je passai mes jambes autour de sa taille et il me souleva pour me déposer sur le plancher. De cette façon, ma robe était plus facile à enlever et il la fit glisser le long de mon corps jusqu’à ce qu’elle tombe à mes pieds, révélant mes sous-vêtements noirs et affriolants. J’éloignai ma robe d’un coup de pied et collai mon bassin contre celui de mon amant. Nous nous embrassions avec ardeur et je le poussai pour que son dos soit appuyé contre l’îlot sur lequel je me trouvais quelques secondes plus tôt. Mes mains descendirent lentement le long de son torse et s’activèrent à détacher ses pantalons. Mikio n’eut pas d’objections à ce que je glisse mes doigts sous son boxer. Je voulais sentir son membre se durcir entre mes doigts puis le prendre dans ma bouche pour lui procurer encore plus de plaisir. Mon partenaire me connaissait assez bien maintenant pour savoir qu’il pouvait me laisser faire et qu’il n’allait pas être déçu.

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MessageSujet: Re: La vie se passe tout entière à désirer... feat Yeon Hee (-18)   La vie se passe tout entière à désirer...  feat Yeon Hee (-18) EmptyLun 24 Sep - 8:52

    Je venais d’ouvrir la porte à Yeon Hee que j’avais invité chez moi pour une partie de jambes en l’air et pour fumer un peu avec elle. En me reculant, je ne pouvais m’empêcher de la regarder, surtout quand elle enlevait sa petite veste et la déposait avec son sac à main sur un petit porte manteau que je laissais à cet endroit. Nous partions assez vite vers la cuisine ou je lui servis un verre de vin je la laissais s’asseoir sur le comptoir avant de lui donner.

    «Je ne sais pas si tu avais l’intention de préparer le repas tout de suite, mais je n’ai pas faim maintenant.

    Je n’eus pas le temps de répondre, qu’elle enchainait avec une voix des plus sensuelles.»

    « Mais j’ai quelques idées de trucs que l’on pourrait faire pour se divertir. »

    C’est à ce moment que je me rapprochais d’elle, curieux de savoir ce qu’elle voulait dire par là, j’avais des idées aussi, mais je dis aucun mots, je me contentais de gestes, je posais doucement mes doigts sur sa cuisse, lui montrant ce que j’avais en tête.

    « Non je n’ai pas très faim non plus, mais j’ai bien envie de quelque chose de plus … Torride dirais je … Qu'as tu en tête toi ?»

    Lui glissais je doucement à l’oreille, elle me proposait de commencer cette belle soirée avec un peu de drogue, j’aimais cette idée et ouvrais le tiroir qui contenait les feuilles à rouler, le tabac et l’herbe. Doucement pour me faire tenter, je prenais mes ingrédients et commençais à rouler le joint. Je vis ma sexfriend descendre de son siège et s’approcher de moi, et se positionner dans mon dos, et quand j’eus terminé ma petite préparation, elle me défit les boutons de ma chemise et me la retirait doucement, pour tout motif elle m’annonçait qu’elle préférait me voir vêtu de cette façon. Je sentais en effet son regard posé sur moi et j’avoue que cela ne déplaisais pas du tout, de toute façon c’était nu qu’elle me voyait le plus souvent. Elle retourna s’asseoir et je lui tendis le joint qu’elle fumait en premier, je la laissais commencer en parfait gentleman. Je la vis s’étendre et c’est tête en arrière qu’elle crachait la fumée, j’en profitais pour détailler du regard son corps que je connaissais déjà sous toutes les coutures mais que je désirais encore et toujours. Je fumais à mon tour et après quelques bouffées chacun, alors que je lui rendais la ganja, elle passait sa main libre sur ma nuque et m’attirait vers elle pour un fougueux baiser auquel elle mit fin sans explication sauf une qui me paraissait évidente, pour fumer. C’est à ce moment là qu’elle prit de nouveau position sur ses coudes alors qu’elle fumait. Je me privais pas pour aller lui caresser les seins encore caché par du tissu, avant de passer mes mains sous sa robe histoire de l’émoustiller un peu. Nous terminions de fumer notre premier joint de la soirée, quand j’eus envie de la voir un peu plus déshabillée, observer son corps magnifique que j’allais une fois de plus couvrir de baiser, de caresse. Il faut dire que j’étais très bien placé entre ces cuisses que je voulais encore plus écarter pour aller y savourer les plaisirs interdits, mais cela serait pour plus tard ce genre de choses. Nous terminions le joint tranquillement alors que je restais dans la même position. Doucement je trouvais l’attache de sa robe et lui défis, après tout elle m’avait enlevé ma chemise alors pourquoi moi je ne pouvais pas lui ôter un vêtement ? Je la pris dans mes bras et elle enroula ses jambes autour de ma taille, je la soulevais doucement mes mains sur ces fesses et la déposais doucement sur le plancher, ses talons claquèrent légèrement pour me signaler qu’elle venait de toucher le sol, j’étais trop occuper à l’embrasser pour regarder à ce moment là. Je fis glisser son tissu noir le long de son joli corps pour qu’elle tombe à ses pieds qui frappaient le malheureux chiffon qui allait valdinguer ailleurs dans la pièce. Je pouvais voir ainsi ses sous vêtements assez affriolants mais qui allaient eux aussi disparaitre plus tard.

    Nous étions collés l’un à l’autre en nous embrassant comme des fous, quand elle me poussait contre l’ilot pour m’y défaire mes pantalons. Ces mains descendirent doucement sur mon torse en s’attardant à mes abdos, puis elles glissèrent sous mon boxer. J’avais le bas sur les chevilles et les doigts de la belle s’enroulèrent autour de mon sexe qui commençait à doucement durcir, je comptais bien sur elle pour me rendre dingue, je savais que je ne serais pas déçu bien au contraire. Ces premiers va et vient étaient lents et firent affluer le sang au bon endroit, quand je fus bien dur qu’elle se mit à genoux pour me baisser mon boxer et me prendre dans sa bouche, je lui caressais les cheveux et lui écartais une mèche pour mieux apprécier le spectacle de mon membre qui disparaissait en elle. La belle était une gourmande car elle alternait coup de langues et généreux va et viens entre ses lèvres. Je soufflais de plaisir sous ses caresses buccales. Ma main libre allait vers son soutient gorge et malaxait tendrement le sein que le tissu cachait Quand elle eut fini, je l’attrapais par les hanches et la plaçais délicatement ou elle s’était assise pour fumer et je me repositionnais nu entre ses cuisses. Il était pour moi de la remercier d’une telle attention à ma manière. Je l’embrassais fougueusement alors que mes mains se dirigeaient dans son dos et d’une manière experte, je défis son soutient gorge que j’envoyais valser je ne sais ou dans la pièce. Mes lèvres quittèrent les siennes pour se diriger ses seins enfin dévoilés, doucement je passais d’abord sur sa nuque lui aspirant un petit bout de peau et lui laissant une marque avant d’y glisser ma langue que je laissais glisser vers ses seins. J’attrapais le gauche avec ma main droite et commençais à embrasser le gauche, ma langue allait titiller son mamelon dressé, je le mordillais également, je changeais les positions, ma main gauche passait sur son sein droit et ma langue jouait sur l’autre.

    Avec elle c’était toujours l’extase quand nous couchions ensemble. Nous n’étions pas un couple mais nous aimions le sexe tout les deux et c’est ce qui faisait que nous nous entendions si bien. J’avais envie d’aller plus bas encore mais ses seins me tentaient tant que je m’y attardais longuement.

    «Chérie j’espère que t’as rien prévu d’autres car j’ai envie de te prendre dans toute la maison mais avant ça ton sexe appelle ma bouche. »

    J’étais cru mais Yeon Hee avait l’habitude avec moi, elle savait que je la lécherai comme je le faisais toujours avant de la pénétrer et de lui autant de plaisir qu’elle le méritait.
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MessageSujet: Re: La vie se passe tout entière à désirer... feat Yeon Hee (-18)   La vie se passe tout entière à désirer...  feat Yeon Hee (-18) EmptyDim 2 Déc - 23:56

Je n’étais pas arrivée chez Mikio depuis longtemps, mais c’était rapidement devenu très chaud entre nous. J’étais en sous-vêtements devant lui et nous nous embrassions fougueusement. Son dos était appuyé contre le rebord de l’ilôt de la cuisine et je venais tout juste de détacher ses pantalons. Ma main ne tarda pas à se glisser sous son boxer. Je caressai d’abord lentement son membre proéminent qui devint dur sous mes va-et-vient. Ce n’était pas tout ce que je réservais à mon partenaire et ce dernier s’en doutait bien. Quand j’étais avec lui, je savais qu’il allait me donner du plaisir, mais je m’occupais personnellement de lui en donner à lui aussi. C’est pourquoi je me mis ensuite à genou devant lui. Je descendis le boxer de Mikio qui allait rejoindre son pantalon autour de ses chevilles. Ma main entoura son membre à la base, je commençai par lécher son membre du bas vers le haut. Mikio caressa mes cheveux et dégagea les mèches qui me cachaient le visage. Je levai les yeux vers lui pour croiser son regard quand je pris son membre dans ma bouche. Le pénis de Mikio était trop gros pour que je puisse le prendre entièrement dans ma bouche, mais j’étais tout de même assez douée avec ma langue pour que mon partenaire soit satisfait de mes performances orales. J’alternais entre les coups de langue et les va-et-vient en variant le rythme et la pression tout en caressant doucement ses testicules. Pendant que je le suçais, Mikio caressait mes seins à travers mon soutien-gorge.

Après un moment, je me relevai et mon partenaire me prit par les hanches pour me soulever et que je me rassois sur le comptoir. Il m’embrassa ardemment et détacha mon soutien-gorge. Il ne me restait plus que ma culotte brésilienne noire. Ses lèvres quittèrent les miennes et descendirent dans mon cou. Il suçota ma peau et je sus qu’il venait de me laisser une jolie marque. Sa langue continua sa descente jusqu’à ma poitrine. Mikio me soutira un premier gémissement lorsque sa langue titilla mon mamelon. Mon partenaire s’occupa longuement de ma poitrine et je devenais de plus en plus impatiente d’aller plus loin avec lui. Ses caresses m’excitaient au plus haut point et il savait exactement comment me rendre folle. Il délaissa ma poitrine au bout d’un moment, mais il n’avait pas fini de se faire désirer.

    - Chérie j’espère que t’as rien prévu d’autres car j’ai envie de te prendre dans toute la maison mais avant ça ton sexe appelle ma bouche.

J’avais exactement la même envie que lui. Mikio savait très bien que je n’allais pas me contenter que d’une seule fois, ce soir. Nous avions encore toute la soirée et la nuit pour s’amuser ensemble. Ce devait être pour cela qu’il prenait tout son temps et qu’il me faisait languir. Cette fois, mon partenaire voulait s’occuper d’une autre partie sensible de mon anatomie féminine. Je lui laissai le champ libre et me penchant vers l’arrière et en prenant appui sur mes coudes.

Mikio retira tout d’abord le dernier bout de tissu qu’il me restait et l’envoya rejoindre le reste de nos vêtements. Je n’offris aucune résistance quand il agrippa mes cuisses pour les écarter et se pencher entre elles. Il me fit tout d’abord languir en embrassant l’intérieur de mes cuisses et en se rapprochant lentement de mon sexe. Je fermai les yeux lorsque sa langue rencontra finalement mon clitoris. Je penchai la tête vers l’arrière en soupirant de plaisir. C’est ce qui différenciait Mikio de la majorité de ceux qui passaient dans mon lit : il avait de l’expérience. Il savait exactement quoi faire avec sa langue me faire du bien. Je me couchai complètement sur le comptoir et me mordillai la lèvre pour m’empêcher de gémir. Je ne pus toutefois pas me retenir lorsqu’il introduisit deux doigts en moi et je poussai un premier gémissement tout en me cambrant. Mikio continua de me lécher tout en faisant des mouvements de va-et-vient avec ses doigts. Il pouvait comprendre assez facilement que j’aimais ce qu’il me faisait avec les bruits qui sortaient de ma bouche. Mes mains ne savaient plus où s’agripper et je n’arrivais pas à contenir mes gémissements. Au bout de quelques minutes, je sentis le plaisir devenir trop intense et je décidai d’y mettre fin brusquement.

    - Mikio, prends moi maintenant!

Je n’en pouvais plus. Je ne pouvais pas attendre plus longtemps. Je voulais le sentir en moi. Je me redressai et l’attirai vers moi, enserrant sa taille de mes cuisses. Ma langue alla chercher la sienne et nous lia dans un fougueux baiser. Je passai mes bras autour de ses épaules, rapprochant ainsi nos deux corps. J’ondulai mon bassin contre le sien. Sauf qu’avant d’aller plus loin, il fallait un préservatif. Mikio et moi avions tous les deux trop de partenaires sexuels pour prendre des risques, mais je me doutais bien que le propriétaire du Pink Aphrodisia devait en avoir sous la main. Il en avait tout le temps à portée de main. Cependant, je ne savais pas où il les avait caché, cette fois. Eh oui, j’étais peut-être une dépravée, mais j’étais une dépravée qui assumait les responsabilités de ses actes et le préservatif n’était pas une option.
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