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 Et si je te disais tout ?

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Baek Chin Hwa

Baek Chin Hwa



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MessageSujet: Et si je te disais tout ?    Et si je te disais tout ?  EmptyDim 16 Sep - 18:10

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Entre Baek ★★★


Nous étions encore dans la voiture en direction de la salle de danse que la compagnie avait réserve quand j'avais demandé à Na Hee si elle voulait savoir comment j'ai fait pour la retrouver alors que mon emploi du temps est chargé et que je n'ai pas une minute à m'accorder. Elle voulait le savoir, puisqu'elle hocha de la tête et demanda où nous allions.

« On va à la salle de danse. »

Une fois arrivée, je n'étais pas vraiment étonné de voir qu'on nous avez suivie, c'est donc une fois de plus que je cachai Na Hee avec mon blouson, jusqu'à l'intérieur de l'immeuble. Une fois entrée à l'intérieur, je retirai le blouson de la tête de Na Hee et lui attrapa lui tendis la main, il fallait que nous montions à l'étage, les danseurs avec qui je répétai été descendu voir ce qui se passait, Ashley avait précipitamment quitté la salle, après mon deuxième coups de fil. Je leurs souris et leur expliqua que j'allais tout leur raconter plus tard, que pour l'instant j'avais quelque chose d'important à faire avec Na Hee, aucun d'eux ne protesta, entre mes danseurs et moi, il y avait véritablement un respect mutuel, s'était en quelque sorte ma deuxième famille, je m'étais attaché à eux. Ils ne demandaient pas plus et s'écarta du chemin.

La porte de la salle de danse étant ouverte, nous entrions à l'intérieur, lâcha Na Hee et alla récupéré deux chaises. Je m'installai face à Na Hee, me mordillant la lèvre inférieure avant de parler, je regardai Na Hee, elle était fatiguée, elle venait de vivre pour la première fois ce que je vivais tous les jours à la différence que j'en avais l'habitude et pas elle. Respirant un bon coup avant la révélation, je lui souris et dit :

« Na Hee, au moment de ta fugue, se n'ai pas des passants qui avaient informé la police que tu étais entre deux blocs d'appartement, je t'ai cherché pendant quatre jours dans tout Ulsan, lorsque je t'ai trouvée, tu dormais, j'ai appelé la police et j'ai attendu caché qu'il arrive, je leur avais également demandé de ne pas te dire que c'est moi qui t'ai trouvé. Ils ont accepté de dire que des passants t'avait retrouvé. »

Voilà, le début de l'histoire étant dit, il ne restait que le reste de l'histoire, mais j'attendis sa réaction, si elle allait me frapper, si elle allait s'évanouir, je m'attendais au pire, un truc qui pourrait me rendre coupable, j'imaginais toujours le pire au sujet de la révélation, elle est peut-être muette, mais qui sai, elle cache peut-être une force insoupçonnée, me jeter la chaise en plein visage, enfin s'était plutôt pour la suite de l'histoire, je craignais pour mon magnifique visage.
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MessageSujet: Re: Et si je te disais tout ?    Et si je te disais tout ?  EmptyMer 19 Sep - 3:04

Spoiler:



    Je manquai de m’endormir dans la voiture. C’est dingue comment cette sensation a le don d’endormir les gens dès qu’ils ont une pointe de fatigue dans le corps. En cette situation, c’était beaucoup plus qu’une pointe de fatigue que j’avais. Beaucoup trop d’émotions en si peu de temps. J’avais d’abord été super contente de voir Chin Hwa. Dès que les paparazzis sont arrivés, tout s’est gâté. J’avais été stressée tout le long du repas, même si je faisais dos à tous ces gens. Puis, un d’entre eux eu le courage et surtout la mauvaise idée d’entrer dans le Whitecoffee. Dit comme ça, ça parait normal et tout à fait correct. Sauf que ce paparazzi a décidé de venir trop près de notre table. De moi. Avec son arme qu’était son appareil photo. Tout avait mal tourné quand je vis Chin Hwa se lever, rouge de colère, pour donner un de ses coups de poing à cet imbécile de paparazzi qui a voulu me prendre en photo. Devant autant de violence, la seule chose que je pu faire, c’était évidemment de figer et de pleurer. C’est comme si j’étais allergique à la violence. C’était devenu une phobie, je ne pouvais pas me tenir là, devant autant de violence sans que ça fasse surgir dans ma tête toute la violence que j’avais vécue dans ma vie. C’était un gros mélange de sentiments. De la peur, surtout. Des mauvais souvenirs, un gros coup de tristesse en revoyant toutes ces images. Des images de moi, des images des autres. Puis la police arriva, l’ambulance. Tout cela était stressant. Alors il ne faut pas s’étonner de me voir, la mine ressemblant presque à un zombie. Mais être un zombie n’était pas une bonne excuse pour ne pas entendre l’histoire de ma vie. Je savais, par un des policiers, que Chin Hwa a toujours été dans ma vie, et jamais je ne m’en étais rendue compte. Je savais qu’il avait entraîné la police près de mon lycée, je savais qu’il avait menacé des élèves de ne pas m’approcher. D’une quelconque façon, il savait tout ce que j’avais vécu après ma fugue. Je n’avais aucune espèce d’idée du comment et du pourquoi. Du où et toute ces choses là. Jamais je n’aurais su. J’étais prête à combattre le coup de fatigue que j’avais pour tout savoir. Même si ça allait probablement me faire mal. De retourner comme ça dans mon passé. Je voulais savoir. Je voulais tout savoir maintenant.

    Chin Hwa répondit à ma question. La voiture nous dirigeait à la salle de danse. Quelques minutes plus tard, le blouson de mon grand frère me servi encore pour me cacher, car figurez-vous qu’on avait été suivi. Rendu à ce stade, cela ne me surprenait aucunement. Chin Hwa me tenait toujours fortement, jusqu’à l’entrée intérieur du bâtiment. Il enleva son blouson de mon visage et attrapa ma main, avant même que je replace correctement mes cheveux. Mais de toute façon, ce détail n’était plus important. Nous croisâmes des collègues de Chin Hwa qui lui demandèrent ce qu’il se passait, mais tout de suite, mon grand frère rétorqua qu’il n’avait pas le temps et qu’il allait leur expliquer plus tard. C’est avec un sourire qu’il leur avait répondu, et ils ont vite compris, nous laissant aller à l’étage. Puis, nous entrâmes dans la salle de danse. Elle était vraiment gigantesque, j’étais étonnée de voir ça. Chin Hwa lâcha ma main pour aller chercher deux chaises. Il les installa une en face de l’autre. Je pris place, et il fit de même, se mordillant la lèvre. Je savais que ça n’allait pas être évident pour lui, ni pour moi. Ce n’était pas étonnant de voir que j’avais une main collée à la bouche. Cette manie de me ronger les ongles, même quand je n’en ai plus, me prenait toujours lorsque j’étais stressée, et là, en ce moment, Dieu sait comment j’étais stressée. Je ne savais plus trop comment décrire ce que je ressentais. C’est comme s’il y avait une énorme boule qui partait de mon estomac pour monter jusqu’à mon cœur. À croire que j’allais faire une crise cardiaque. Mais tout allait bien, tout allait bien, il fallait que je me le convaincs. Chin Hwa respira un bon coup avant de commencer. Il me sourit, comme s’il voulait me rassurer d’avance. Je sentais battre mon cœur si fort tellement j’étais stressée. J’avais peur, je ne savais aucunement à quoi m’attendre. Et ça commençait bien la conversation, j’avais déjà les yeux pleins d’eau.

    « Na Hee, au moment de ta fugue, ce n'est pas des passants qui avaient informé la police que tu étais entre deux blocs d'appartement, je t'ai cherché pendant quatre jours dans tout Ulsan. Lorsque je t'ai trouvée, tu dormais… »

    Dans ma tête, je me disais « Une chose à la fois ». Je craignais que ça soit trop lourd pour mon mental, et j’y tenais à mon mental, un peu brisé, mais quand même, il fonctionnait. Le récit commençait au moment de ma fugue. Je me souvenais comme si c’était hier. J’avais 16 ans. J’avais décidé de partir, car je n’arrivais plus à vivre à la maison. Ni même à l’école. C’était beaucoup trop. Je me souviens encore comment j’avais organisé mon sac à dos, laid et garnis de trous. De ce que j’avais mit à l’intérieur. Le strict minimum. Quelques morceaux de vêtements, un peu de nourriture, question de survivre un peu en attendant de me trouver un quelque part. De l’eau aussi, évidemment. Oui, j’avais volé tout ça dans la maison, et j’avais même abusé de la nourriture, parce que je n’en avais jamais assez. Une panoplie de crayon et un cahier, un petit cahier plein de gribouillis et de petits dessins que j’avais fait dans mes temps perdus. Je n’avais pas oublié de mettre mon couteau dans la plus petite des pochettes de mon sac. C’était à la fois une arme, car on ne sait jamais, fuguer, c’était dangereux, et j’étais au courant dès le départ. Le couteau, le couteau que je n’ai jamais revu après, car on me l’avait enlevé rendu au poste de police. Tout ça, je m’en rappelais. Postée devant mon grand frère, je le regardais, toujours les doigts dans la bouche. Les larmes avaient décidées de couler. C’était lui qui m’avait retrouvé pendant que je dormais, épuisée par ces quatre jours en enfer.

    « … J'ai appelé la police et j'ai attendu, caché, qu'il arrive. Je leur avais également demandé de ne pas te dire que c'est moi qui t'ai trouvé. Ils ont accepté de dire que des passants t’avaient retrouvé. »

    C’était Chin Hwa qui m’avait sauvé de l’enfer de la rue. J’ai toujours cru que c’était des passants, des purs inconnus qui avaient trouvé une jeune adolescente couchée là, entre deux appartements derrière son sac et tout les vieux débris qui se trouvaient là. Non, c’était Chin Hwa. Il avait demandé aux policiers d’inventer un mensonge, et ils ont acceptés. Pourquoi ? Pourquoi avait-il demandé aux policiers de dire que c’était des passants qui m’avaient retrouvée ? Pourquoi il n’a pas voulu que je sache que j’étais lui ? Quand j’y repense, je ne sais pas du tout comment j’aurais réagi si à mon réveil, j’avais vu Chin Hwa assis là, à côté de moi. Il avait été un entre tous. Il m’avait embêté, il s’était moqué de moi, comme tous les autres. Moins, ça je lui accorde, mais il avait quand même mit son grain de sel. Je ne me souviens plus à partir de quel moment, à partir de quelle insulte, à partir de quel bleu, de quelle marque, j’ai décidé de partir. Je ne peux pas dire qui a dit la connerie qui a fait déborder mon verre. Par contre, je me souvenais exactement de tout ce qu’on m’a dit, toutes les insultes qui m’ont été dites. Je sais qu’on disait que j’étais une bonne à rien et que les gens handicapés comme moi ne méritaient pas d’exister. Comme si je n’allais jamais apporter quelque chose de bien à la vie. Comme si tous les autres muets, sourds, aveugles, amputés et tous les autres catégorisés comme étant handicapés n’allaient rien apporté de bon dans la vie. Me dire que je n'avais aucun avenir alors qu'au fond de moi se trouvait une réelle passion pour l'art, la seule chose qui me restait, c'était une des pires insultes. À côté de ça, me traiter de laide, de mal habillée, d'anorexique, de grosse même, tout ça juste pour me faire de la peine, ne m'en faisait pas autant que si on me disait que j'étais une bonne à rien. Ils en profitaient du fait que je ne pouvais pas me défendre. Personne ne m'avait appris à me défendre, même par écrit. Personne. J'ai toujours été toute seule. C'était Baek Na Hee contre le monde. Quoi que je peux dire que moi-même, j'étais contre moi, quand j'ai commencé à me faire mal, comme si je pouvais oublié et faire passer mes émotions par ça. Les gens ne savent pas à quel point une simple insulte balancée comme ça peut faire mal.

    N’ayant même pas la force de faire des signes, je sortis mon téléphone de mes poches. Je ne savais même pas quoi répondre à tout ça. Je ne sais pas pourquoi j’avais sortis mon téléphone de mes poches, mais je l’avais laissé là, sur ma cuisse, alors que j’essuyais mes larmes qui avaient coulées. J’étais définitivement traumatisée par mon passé. J’en avais même mal au cœur. Je revoyais mon histoire, je voyais les images, j’entendais même des voix, à croire que j’étais devenue schizophrène. Personne ne pouvait savoir comment mon passé n’a pas eu une seule goutte de rose.

    Ne supportant plus le regard de Chin Hwa qui attendait ma réaction, je fixai le sol, essayant de trouver quelque chose à dire. J’avais tant de questions pourtant, mais rien ne voulait sortir, apparemment. Je voulais savoir pourquoi il n’a pas voulu que je sache que c’était lui qui m’avait retrouvé. Je voulais savoir s’il avait rapport avec ma famille d’accueil actuel, car oui, pour moi, c’est ma nouvelle famille, et ça le restera toujours. Ils ont été si compréhensifs, jamais je n’aurais cru que des gens comme ça existaient. Encore aujourd’hui, mes «parents», disons le comme ça, m’aident encore à bien vivre, en m’envoyant de l’argent, car je n’ai aucun job, ni rien. Si j’arrive à bien vivre, c’est grâce à eux. Ce n’étaient pas mes seules questions. Je voulais en savoir plus sur les menaces que Chin Hwa avait faites aux élèves qui m’embêtaient. D’ailleurs, comment il a su ? Comment il a pu s’arranger avec la police pour qu’ils fassent de la surveillance ? Pourquoi toute cette histoire est restée comme un secret ? On n’aurait pas pu me prendre à part et m’expliquer, quitte à m’envoyer ailleurs dans le pays, carrément ? Je ne comprenais pas. Je ne comprenais pas et je voulais absolument savoir. Est-ce que Chin Hwa avait été le seul a être parti à ma recherche depuis ma fugue ? Pourquoi tout d’un coup il a voulu me retrouver alors qu’il s’était bien moqué de moi ?

    Je me décidai à prendre mon téléphone portable, toujours sur ma cuisse. Je ne savais toujours pas quoi répondre, mais je sentais que Chin Hwa attendait une quelconque réaction de ma part. J’avais pleuré, je m’étais rongé les ongles, j’avais pensé, peut-être même trop que j’avais oublié pendant une seconde où je me trouvais. La seule chose que je pu écrire fut :

    Pourquoi…

    Après ça, j’avais totalement perdu le contrôle de mes mains. Comme si tout d’un coup j’avais oublié comment tenir un téléphone. Paf, par terre. Et ce n’était même pas drôle, j’étais même découragée de l’avoir fait tomber. Je ne sais pas ce qu’il s’est passé avec moi à cette seconde, mais mon Stitchphone était maintenant ami avec le plancher. Je n’avais même pas eu le temps de faire une phrase complète, même si je ne savais pas par quelle question commencer. Je voulais tant savoir. Je voulais tout savoir. Après tout, ça me concernait, j’étais en droit de savoir. Peut-être que ce n’était pas le meilleur moment pour me faire retourner dans le passé pour m’expliquer tout ce que je n’ai jamais su, tout ce que je n’ai jamais compris. Entêtée comme je suis, rien n’aurait été une bonne excuse pour ne pas connaître la vraie histoire. S’il le fallait, j’allais m’endormir ici et attendre au lendemain pour connaître la suite. Je sais que je n’allais pas tenir très longtemps. Déjà, tout ce que je voulais faire, c’était de me coucher en boule au sol. Rejoindre mon téléphone portable. Il n’était pas blessé, ni rien, contrairement à moi. Quand je l’avais échappé, j’avais levé les yeux, mes yeux plein d’eau, découragée. Je n’avais pas la force de me pencher pour le reprendre. J’avais l’impression que j’allais vomir si je me penchais. Et puis, je ne saurai quoi rajouter à ma phrase. Elle voulait tout dire en même temps.


Dernière édition par Baek Na Hee le Ven 5 Oct - 14:10, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Et si je te disais tout ?    Et si je te disais tout ?  EmptyDim 30 Sep - 18:47

Lui avouer ça, devait être un choc pour Na Hee, apprendre que se n'était pas des passants qui l'avait trouvés mais l'horrible frère de Chin Hwa devait être un choc, surtout qu'elle venait en même temps que j'avais menacé les élèves de son lycée, cela devait être un choc pour elle, mais hélas, cela n'est que le début de l'histoire. Toute ces émotions en une seuls soirée et en moins de deux heures, ça devait beaucoup trop pour elle. Je l'observai, attendant une quelconque réaction, elle pleurait ses mains tremblait à tels point que lorsqu'elle prit son téléphone pour écrire, il tomba quelque seconde après avoir tapoter un mot ou je ne sais quoi d'autre. Son téléphone se retrouva à terre, je posais un pied un genou à terre, ramassa son téléphone et y lit se qui était écris, un simple mot :

Pourquoi...

Rien d'autre que ça, un mot qui voulait dire beaucoup de chose, elle voulait certainement savoir pourquoi j'avais fait ça et pourquoi je ne lui en ai jamais parler auparavant, tout ça était bien trop compliquer, comment lui expliquer que je savais dans quel nouvelle famille d’accueil elle avait été placée, lui expliquer aussi que j'ai toujours était là, sans l'être vraiment, les menaces, en plus de l'argent que touché la famille d'accueil pour subvenir au besoin de Na Hee, je leurs en envoyait suffisamment pour que Na Hee ne manque de rien, les frais de scolarité, les frais médicaux, s'il y avait des voyages scolaires, ils n'avaient juste qu'à passer un coup de téléphone et la minute suivante , il recevait un virement.

« Na Hee, je t'ai cherché dans toute la ville car ce qui est arrivé était entièrement de ma faute, je suis l'aînée, j'aurais pu empêcher tout le monde de te faire du mal, mais non je ne pensais qu'à ma carrière, c'est lors de ta fugue que je me suis rendu compte que tu vivais très mal, chez les Baek, tu nous détestez et je doutes que tu aurais voulue me voir à ton réveil alors j'ai préféré rester en retrait. »

Laissant échapper un soupir, je restais à genoux face à Na Hee, je la regardai et maintenant que les révélation avait commençait, il fallait continuer dans ma lancer, Na Hee pleurait, je me sentais encore plus coupable et pourtant je m’étais fait la promesse de ne jamais la rendre triste.

« Na Hee, il y a autre chose aussi, j'ai toujours été en contact avec ta famille d'accueil, j'ai toujours su où tu étais, il ni y a pas un jour depuis ta fugue où je n'étais pas là, de façon indirect. Aurais-tu jamais remarquer que dans des endroit tu avais plus de faciliter que d'autre personne, ne t'ai tu jamais demander, comment tes parents réussissaient à payer tout ce qui te concerner, ta santé, ton école, ton argent de poche, tu en avais plus que les autres de cette famille. »

Je m'étais improviser banque de Na Hee par l’intermédiaire de la famille d'accueil, ils refusaient à chaque fois que je l'ai aide pour ce qui concerner Na Hee, ils considéraient Na Hee comme leur propre et je trouvais ça très bien, mais dans une famille d'accueil, je sais que les ressources financière pouvaient être importante, je venais aussi d'une famille d'accueil, nous avions accueillis beaucoup d'enfant et certain mois, l'apport financier prenait du retard. Je devais m'assurer que la famille d'accueil de Na Hee ne manque de rien, j'en avais les moyens.
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MessageSujet: Re: Et si je te disais tout ?    Et si je te disais tout ?  EmptySam 6 Oct - 21:01


    Ce n’était peut-être pas la meilleure des idées que j’ai eu. De vouloir savoir tout de suite. Mais il était trop tard, au Whitecoffee je me posais déjà des questions. Je sais, je suis vraiment cruche, mais il fallait que je le sache, même si j’étais déjà assez épuisée par les évènements. Je suis beaucoup trop curieuse, surtout quand ça me concerne et que ça semble important. Là, c’était carrément l’histoire de ma vie qu’on m’étalait. Toute ma vie, on m’avait menti. Je n’étais quand même pas bête, je savais qu’au fond, ce n’était pas pour me faire du mal, bien au contraire. C’est toujours choquant de savoir la vérité… mais cette vérité là, elle était beaucoup plus choquante que n’importe quelle autre. De savoir qu’en fait, c’était un de mes grands frères, Chin Hwa, qui m’avait retrouvé parce qu’il m’avait cherché et pas des passants comme on m’avait toujours dit était un choc. Ça semble tout banal comme ça, mais je savais qu’au fond il n’y avait pas juste ça. Toute ma vie, il avait été là sans même que je le sache. Ce n’est pas assez choquant ça ? J’ai toujours cru que j’étais toute seule à partir de ce moment, que personne de la famille Baek n’avait cherché à me retrouver. J’étais même très bien dans ma nouvelle famille, mais Chin Hwa avait toujours été là et je ne l’ai jamais remarqué. Le premier mot de toutes les questions qui tournoyaient dans ma tête : Pourquoi ? Pourquoi Chin Hwa m’avait retrouvé ? Pourquoi pas les autres ? Pourquoi juste lui ? Pourquoi il s’est arrangé avec les policiers pour dire que c’était des passants qui m’avaient retrouvé ? Pourquoi pourquoi pourquoi ? Je voulais tout savoir. En larmes, j’eus finalement le courage de lui répondre, mais avec toutes ces émotions, mon téléphone tomba bien vite au sol après avoir écrit un seul mot. Beaucoup trop découragée pour le reprendre toute seule, j’avais regardé Chin Hwa en faisant une expression si… découragée. Je devais avoir l’air d’un zombie. J’étais si fatiguée, je n’avais pas vraiment de force. Alors Chin Hwa, voyant aucune réaction de ma part, mis un genou au sol et ramassa mon Stitchphone. Il lit le seul et unique mot qui était affiché sur l’écran. Ça ne devait pas lui dire grand-chose, un simple pourquoi, un pourquoi qui disait tout. J’étais là, assise sur ma chaise, à me ronger les ongles. Ou plutôt la peau à l’entour, parce que je n’avais plus d’ongle. C’était une habitude que j’avais toujours eu, c’était impossible pour moi d’arrêter, même d’y penser. Chin Hwa était resté à genoux, au sol, devant moi, et continua :

    « Na Hee, je t'ai cherché dans toute la ville, car ce qui est arrivé était entièrement de ma faute, je suis l'aîné, j'aurais pu empêcher tout le monde de te faire du mal, mais non je ne pensais qu'à ma carrière, c'est lors de ta fugue que je me suis rendu compte que tu vivais très mal, chez les Baek, tu nous détestais et je doute que tu aurais voulu me voir à ton réveil alors j'ai préféré rester en retrait. »

    Les larmes coulaient toujours. Quand je l’entendis dire que tout ce qui était arrivé était entièrement de sa faute, je fronçai les sourcils. Non, ce n’est pas vrai, ce n’est pas entièrement de sa faute. C’était tout le monde, les parents qui ne faisaient pas leur job de parents avec moi, mes frères, mes sœurs. Les gens à l’école aussi s’y étaient mis. Comme si ce n’était pas assez. Bien rapidement, je fis quelques signes voulant dire : Ce n’est pas entièrement de ta faute. Non, en effet, ce n’était pas entièrement de sa faute, il avait quand même mis son grain de sel dans toute l’histoire, mais un de plus ou de moins, qu’est-ce que ça changeait ? Il n’avait pas été le dernier à me balancer une insulte, ça je sais, je sais que ce n’est pas lui. Ça ne pouvait pas être lui, Chin Hwa avait été le moins pire à me causer du trouble, c’est bien pourquoi j’avais réussi à le pardonner. Ce n’est pas toujours évident, mais maintenant, je sais qu’il s’en veut énormément, même si ce n’est pas de sa faute. C’est vrai que si je l’avais vu à mon réveil, je n’aurais pas été contente. J’aurais probablement penser qu’il m’aurait balancer une insulte comme ça, une insulte d’itinérant où un truc dans le genre.

    « Na Hee, il y a autre chose aussi, j'ai toujours été en contact avec ta famille d'accueil, j'ai toujours su où tu étais, il ni y a pas un jour depuis ta fugue où je n'étais pas là, de façon indirecte. Aurais-tu jamais remarqué que dans des endroits tu avais plus de faciliter que d'autre personne, ne t'ai tu jamais demandé, comment tes parents réussissaient à payer tout ce qui te concerner, ta santé, ton école, ton argent de poche, tu en avais plus que les autres de cette famille. »

    Le fait qu’il avait toujours été en contact avec ma nouvelle famille d’accueil ne m’étonnait pas. Je savais qu’il avait toujours été là, à quelque part, je ne sais pas où. S’il avait tout fait pour me retrouver, il était bien évident qu’il savait dans quelle famille je m’étais retrouvé. Chin Hwa venait d’ouvrir une autre porte, d’autres questions. Il me demandait si je ne m’étais jamais demandé comment mes nouveaux parents d’accueil réussissaient à payer pour moi. Je n’avais jamais remarqué que dans certains endroits, j’avais plus de faciliter que d’autres personnes, jamais je n’avais eu cette impression. Oui, c’est sûr, parfois les gens ont pitié de moi parce que je suis muette, mais ce n’est quand même pas la fin du monde, je vois, j’entends, je marche, je peux courir même ! Avec tant de points d’interrogation dans les yeux, je regardais Chin Hwa. Je me demandais où il voulait en venir. J’essuyais les larmes qui coulaient du revers de ma main. Elles coulaient, elles ne voulaient pas s’arrêter. C’était des larmes de tristesse, de fatigue et d’incompréhension, de confusion. Je repris tranquillement mon téléphone des mains de Chin Hwa. J’effaçai rapidement le seul mot que j’avais écrit dans la note pour écrire rapidement ceci :

    Qu’est-ce que tu veux dire… ? Tu as fournis de l’argent à mes parents d’accueil ?

    Je lui tendis mon stitchphone afin qu’il puisse lire.
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MessageSujet: Re: Et si je te disais tout ?    Et si je te disais tout ?  EmptyDim 14 Oct - 13:32

Ce n'était certainement pas la soirée calme que j'avais espéré, tout est en partie de ma faute, pourquoi avoir dîner dans un café public et n'avoir pas réserver dans un restaurant privée, là où les paparazzi n'auraient jamais pu entrer et harcelé Na Hee. S'était stupide de ma part, je sais pourtant que me montrer en public avec une personne inconnu du public attire l'attention, j'imaginais les questions que les minis chin se poseront demain « Qui est la fille avec Chin Hwa ? » , « Elle à de la chance. », « Pourquoi c'est elle et pas moi avec Oppa ? » et les minis chin hystérique qui sont parfois effrayante, mais j'en avais moins peur que les antis fan, eux sont doué pour lancé des paroles très méchante, jusqu'à vouloir la mort d'une personne, combien de fois j'avais reçu de nourriture empoisonné ? Il y a bien longtemps que je ne l'ai compte plus, tout cadeau alimentaire envoyer est désormais soumis à contrôle, la company on reçoit de plus en plus chaque année, je ne comprendrais jamais les gens qui veulent la mort d'une quelconque personne et s'était pour toute ces raison que j'avais décidé de ne pas reprendre contact avec Na Hee, je ne voulais pas qu'elle pense que je reprenais contact avec elle pour lui faire encore plus de mal que je n'avais déjà fait, elle déteste la famille Baek pour toute les horribles choses que nous avions faits dans le passé contre elle.

Je l'observais, elle essuya ses larmes, elle devait me détesté, peut être que je n'aurais pas du lui révéler la vérité tout de suite et attendre un plus tard dans la semaine, s'était pas malin de ma part. Je restais toujours genoux à terre, je fixai le sol. Je me détesté de lui faire endurer ça, pourquoi n’étais-je pas rester dans mon monde et la laisser tranquille ? Pourquoi avoir voulu qu’elle me pardonne ? Elle aurait eu une vie tellement mieux sans moi, j’aurais toujours été là sans qu’elle le sache, j’aurais du rester dans l’ombre, il aurait été préférable qu’elle me déteste toute sa vie. Refaire surface était la plus mauvaise décision que j’avais prise, sa vie aurait été plus tranquille sans moi, sans les paparazzi qui chercheront à savoir que représente cette fille pour la superstar Chin Hwa, est elle sa petite amie, parce qu’on a jamais vue Chin Hwa si protecteur avec une fille, il y avait une solution à ça, dire que la fille est ma petite sœur, laisser le doute planer sur la relation que j’entretiens avec Na Hee serait plus stupide car connaissant les tabloïds, ils risqueraient de m’inventer un truc qui risque de m’énerver encore plus que d’habitude. Elle repris son stichphone tranquillement de ma main. Des larmes coulaient encore et encore, je me sentais coupable, cela me fît rappeler lorsqu’elle était chez les Baek, tout le mal qu’elle avait du subir dans cette famille qu’elle déteste, toute les larmes versé à cause de nous, parce que j’avais aussi fait partie des bourreaux, j’en étais pas fière. Elle me tendit son stichphone avec écrit :

Qu’est-ce que tu veux dire… ? Tu as fournis de l’argent à mes parents d’accueil ?

Je me relevai, j’avais fournis de l’argent, je leurs avais payer des vacances et bien d’autre chose d’en je ne m’en rappelle plus. Me dirigeant vers l’immense miroir de salle de danse et regarder ma tête dans se miroir, j’avais l’air si con. Aiiisssshhhhh, autant le lui dire toute l’histoire en une seule fois, cette aller être marquer dans nos esprit.

« Na Hee, j’ai donner de l’argent, j’ai payer t’ai frais de scolarité, j’ai payer des vacances à ta famille d’accueil pour que tu te sentes bien dans ta famille et d’autre chose encore, mais j’ai toujours était présent dans ta vie depuis ta fugue.... »

Je retournai vers Na Hee en position accroupie, je détestais la voir pleurer à cause de moi, j’attrapai ses mains, les serrant fort dans les miennes. A cette instant, j’avais peur, peur qu’elle dise que j’avais fait ça par pitié, qu’elle me dise aussi que j’avais fait ça pour racheter les erreurs que la famille Baek lui avait fait subir pendant des années, j’avais encore plus peur qu’elle pense que tout ce que j’avais entrepris pour reprendre contacte avec elle était en fait une stratégie pour qu’elle retourne chez la famille Baek, que je m’étais rapprocher d’elle pour des raisons autres que renouer un lien avec elle. J’avais tout ça en tête, qu’elle pense que tout est un plan des Baek.

« J’ai même forcé ta famille d’accueil à accepter tout ce que je leurs donner, ils t’aiment vraiment, ils ne voulaient par recevoir d’aide financière de ma part. »


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MessageSujet: Re: Et si je te disais tout ?    Et si je te disais tout ?  EmptySam 20 Oct - 20:33


    Je passais mon temps à essuyer mes larmes. Apprendre tout ça était un choc, mais c’était nécessaire. Je devais le savoir, c’était mieux ainsi. De toute façon, j’allais probablement finir par la savoir un jour où l’autre. Je ne savais pas trop quoi penser de tout ça. Je ne sais pas si ça me faisait… plaisir ? de savoir qu’un de mes frères m’a retrouvé par choix, pas par obligation. Devais-je être flattée d’avoir toujours été protégée sans même le savoir ? C’était juste… troublant. Je voulais comprendre pour toute l’histoire était un secret avant aujourd’hui. Aujourd’hui, j’avais la preuve que j’aurais eu tort de me fâcher contre Chin Hwa si je l’avais su dans ce temps. Je savais maintenant qu’il n’a jamais voulu me faire de mal, mais si je l’avais vu ce matin là quand on m’a retrouvé, j’aurais probablement cru qu’il allait me balancer d’autres conneries. Mon grand frère m’expliqua qu’il avait toujours été en contact avec ma nouvelle famille. Il me demanda si je ne m’étais jamais questionné à propos des revenus de ma famille. Je ne comprenais pas trop ce qu’il voulait dire, mais après quelques secondes de réflexion, je tapai quelques mots sur mon téléphone que j’avais délicatement repris des mains de Chin Hwa. Où est-ce qu’il voulait en venir ? Il avait fourni de l’argent à mes parents d’accueil ?!

    Après avoir lu mes quelques mots qui lui était destiné, Chin Hwa se releva et se dirigea vers les grands miroirs. Je ne bougeai pas de ma chaise, je ne faisais que le suivre du regard, attendant une réponse.

    « Na Hee, j’ai donné de l’argent, j’ai payé tes frais de scolarité, j’ai payé des vacances à ta famille pour que tu te sentes bien dans ta famille, et d’autres choses encore, mais j’ai toujours été présent dans ta vie depuis ta fugue… »

    Je sais qu’on n’était pas très riche, ni très pauvre «chez moi» mais jamais je n’avais pensé à ça. Je n’avais jamais réfléchi à propos de l’argent de ma famille. J’avais tout ce qu’il fallait pour bien vivre, ce n’était pas un problème pour moi. Aussi, nous n’étions pas autant que chez la famille Baek. Je réfléchissais à tout ça alors que Chin Hwa revenait vers moi. Il s’accroupie devant moi et attrapa mes mains pour les serrer fort dans les siennes. N’ayant aucun moyen pour faire passer mon stress, maintenant que mes mains étaient prisonnières de celle de Chin Hwa, je mordis ma lèvre inférieure en détournant de temps en temps mon regard. Je n’avais pas la force de garder le contact visuel avec Chin Hwa. Ça me rendait quelque peu mal à l’aise.

    « J’ai même forcé ta famille d’accueil à accepter tout ce que je leur donnais, ils t’aiment vraiment, ils ne voulaient pas recevoir d’aide financière de ma part. » continua-t-il sans lâcher mes mains.

    J’étais un peu surprise de savoir que mon grand frère a dû forcer mes parents d’accueil pour accepter cette aide financière. Chin Hwa était bien placé pour savoir qu’une famille d’accueil n’a pas toujours le revenu souhaité, mais je ne savais pas qu’il s’était impliqué dans ma nouvelle famille. Je dégageai seulement ma main droite, doucement, en souriant un petit peu pour faire comprendre à Chin Hwa de ne pas la serrer encore plus. Je repris mon téléphone, sagement posé sur ma cuisse droite. J’avais quelque chose à répondre, j’avais une autre question à poser. J’étais bien concentrée, car écrire un message avec une main, ce n’est pas l’idéal. Quand je finis, d’un geste habile dû à l’habitude, je retournai mon stitchphone pour que mon grand frère puisse lire.

    Mais pourquoi tu as fait tout ça ? Et pourquoi avoir resté en retrait si longtemps ?

    Je m’attendais un peu à la même réponse que j’ai eue quand je me suis en quelque sorte réconcilié avec lui, quand il est revenu à Ulsan pour reprendre contact avec moi. Logiquement, avec ce que je sais à présent, il a toujours été en contact avec moi, de façon indirecte. Je sais qu’il s’était senti mal depuis ma fugue, car il me l’avait bien dit. Et je l’ai pardonné. Je ne regrette pas de l’avoir fait. Je suis maintenant devenue dépendante de lui. Si je venais à le perdre, je ne saurai quoi faire de ma vie. Oui, j’ai des amis, mais personne ne pourra remplacer mon grand frère. Je n’ai aucun lien de sang avec lui, mais c’est comme si ce l’était. Je me demandais pourquoi il avait fait tout ça pour ma famille, pour moi. Je me demandais aussi pourquoi il était resté en retrait si longtemps… Quatre ans, quand même, c’est beaucoup… c’était assez. Quand je l’ai revu, je ne ressentais pas autant de haine que je ressentais auparavant. Encore moins quand il m’a expliqué qu’il se sentait atrocement mal. Finalement, la haine a complètement disparu et j’ai su le pardonner, et maintenant, je ne pourrais pas vivre sans lui.
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MessageSujet: Re: Et si je te disais tout ?    Et si je te disais tout ?  EmptyLun 19 Nov - 19:12

A cette instant précis, voyant Na Hee pleurer à cause de moi, je me trouvais mauvais comme grand frère, ne suis-je pas censé la protégeai de chose triste ? Ou de la taquiner pour une raison stupide ? C’est ce qu’un frère normal aurait, sauf que nous n’étions pas issue d’une famille normale, depuis sa naissance les Baek ne cesse de la martyriser et je recommençai ça et un Baek en plus de cela. Une famille de déranger.

« Na Hee, j’ai fait ça parce que je me sentais coupable, je suis l’aînée des Baek, j’étais censé te protéger. »

Cette soirée allait être la pire de ma vie, lui raconter que j’avais toujours été présent dans sa vie alors que je voulais garder ça secret, mais non, il a fallut que cette abrutit de policier qui m’aimait pas (sentiments réciproque d’ailleurs) raconte cette histoire de plainte, mais celui qui ma le plus énervé est mon idiot de manager, elle en avait pas eu assez de toute cette violence « MADE IN CHIN HWA » il a fallut qu’il rajoute que j’avais été là dans sa vie.

Mais pourquoi tu as fait tout ça ? Et pourquoi avoir resté en retrait si longtemps ?

Il y avait plusieurs raisons pour laquelle j’étais resté en retrait, la raison principale étant qu’elle devait me détester, si j’avais essayer de prendre contact avec elle après sa fugue, je suis pas sur que notre relation serait au même point qu’il est aujourd’hui. Entre autre cette raison j’avais aussi des raisons professionnelle, j’étais au début de ma carrière, la compagnie était très exigent sur les relations que j’avais avec les fangirls, j’avais ordre de me concentrer sur ma carrière. Les seuls choses que je pouvais faire à cette époque était de payer tout ce que Na Hee avait besoin dans sa nouvelle famille. Je connaissais très bien les difficultés financière qu’une famille d’accueil peut avoir, je faisais partie d’une famille d’accueil, nous avions accueillit beaucoup d’enfant et pour les mauvaises raison, les Baek qui me servent de parents, ne pensaient qu’à avoir plus d’argent, bien que mon père travailler comme vendeur chez Hyundai et que ma mère passait son temps à s’occuper ou au moins faire semblant de s’occuper des enfants qui entrer et s’en allait de chez nous. On pourrait croire qu’ils les ont aimé, mais non, eux ne pensaient qu’à l’argent et c’est également pour cette raison « l’argent » qu’ils m’avaient foutu dans une agence pour devenir une idole. Enfin bref, je m’étais efforcer à satisfaire leur attentes et maintenant que je suis devenu la superstar la plus rentable de la hallyu, l’idole la mieux payer de la Corée, ils se la coule douce dans un manoir quelque part en Corée du Sud, parce qu’Ulsan n’était plus, selon eux une ville pour eux, cela m’arrangeai aussi qu’ils soit plus à Ulsan. Être riche avait de très bon côté, éloigner les Baek de Na Hee, subvenir au besoin financier de Na Hee et d’aider aussi mes autres frères et sœurs un peu partout dans la Corée. Trop racontage de life là XD

« Je préférais rester en retrait parce que tu me détestais, je suis le fils biologique des gens qui t’on fait souffrir, Na Hee. »

Long moment de pause….

« J’ai fait tout ça parce que j’étais coupable. J’aurais pu empêcher les autres enfants de te faire du mal, je voulais racheter mes fautes passées, sans que tu le saches, j’étais censé rester dans l’ombre, mais il a fallut que ce jour arrive... »

Repenser à ce jour, celui où l’un de mes nombreux frères de passage est mort tragiquement, je l’avais laissé de côté parce que je pensais qu’il allait bien et en plein showcase, je reçois un coup de fils m’apprenant qu’il venait de mourir d’une overdose. Je lui donnais de l’argent quand il le voulait, mais je n’étais jamais présent dans sa vie à part pour lui donner de l’argent, comme je le faisais avec Na Hee. Sa mort à été comme un déclic, je ne connaissais rien de sa vie et de ce qu’il faisait, je ne l’avais pas protéger comme j’aurais du le faire. C’est depuis que j’ai décider d’apprendre à connaître Na Hee et pas seulement à faire que ça vie soit parfaite, je m’en voudrais si je devais apprendre que Na Hee avait des problèmes alors que je pensais que l’argent que je donnais à sa famille d’accueil était suffisant pour qu’elle est une meilleure vie, loin des Baek, mais la mort de Dylan ma fait prendre conscience que l’argent ne résout pas tout dans la vie.

« Na Hee, j’ai décidé de reprendre contact avec toi après que Dylan soit mort, je faisais exactement la même chose qu’avec toi, sauf que lui me demander de l’argent et c’est tout, je pensais que l’argent pouvait résoudre vos problème, mais j’avais tords, lui je lui acheter tout ce qu’il voulait et toi je menacé les gens de ton école et vous donnez de l’argent, je pensais que tout ça été suffisant, mais Dylan est mort et j’ai pris conscience que l’argent n’écarter pas les dangers de la vie. »

Je retournai sur ma chaise, le regard fixé sur le sol environ dix minutes avant de refaire face à Na Hee.

« Na Hee si veux que je sorte de ta vie, après ça, je le ferais, tu ne me verra plus, mais jamais je ne te laisserais seule, tu pourras toujours m’appeler et je reviendrais quand tu voudras me voir. Je n’ai jamais fait sa par pitié. »
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MessageSujet: Re: Et si je te disais tout ?    Et si je te disais tout ?  EmptyDim 25 Nov - 21:47


    «Nous», les Baek, on a une histoire différente, et ça, personne ne le sait sauf «nous». Est-ce que c’était le Ciel qui avait décidé que j’aboutirais dans cette famille ? Que mes vrais parents m’abandonneraient ? Que je sois muette, carrément ? Pourquoi a-t-il fallu que je tombe dans cette famille savoir avoir eu «mon mot à dire», sans avoir eu le choix ? Le mieux à faire dans ce cas là, c’était d’espérer que plus tard, la vie me donne ce que je mérite vraiment, comme toute enfant, comme toute personne vivant sur cette planète, et peut-être même dans la galaxie (ouais, parce que peut-être, dans ce vaste monde, il y a une autre planète vivante… c’est là, que j’aurais voulu vivre. Partout, sauf chez les Baek.)

    Je me demandais toutes sortes de questions. Assez pour me donner mal à la tête. Toutes ces émotions me faisaient mal physiquement maintenant. Je me faisais si petite sur ma chaise. Soit je me rongeais les ongles, soit je me grattais les poignets sans même en avoir conscience. J’avais le dos rond, tout ce que j’aurais voulu à cet instant, c’était de me coucher en petite boule dans mon lit, ou sur mon divan devant la télévision. Mais je trouvai la force d’écrire mes questions sur mon téléphone et de les montrer à Chin Hwa. Je voulais savoir pourquoi il avait fait tout ça, et pourquoi il avait mit tant de temps avant de reprendre contact avec moi.

    « Na Hee, j’ai fait ça parce que je me sentais coupable, je suis l’aîné des Baek, j’étais censé te protéger. »

    Je ne sus rien répondre à ça. Les autres aussi, ils étaient tous plus âgés que moi, pourquoi n’ont-ils pas cherché à me protéger ? Si ça avait été le cas, personne ne m’aurait intimidé, ni rien. Rien de tout cela serait arrivé. Bien sûr, c’est si facile de s’attaquer à une petite fille muette, je ne dis pas que les remarques de mes camarades de classe n’auraient pas été existantes. Mais si au départ, je n’avais pas été maltraitée de la sorte, peut-être que ça aurait été mieux, mon passage à l’école. Il ne faut pas se demander pourquoi je n’ai pas voulu continuer mes études.

    Je croyais qu’à un certain moment donné, plus aucune larme n’allait couler sur mes joues. Il fallait bien que ça arrête un jour, mais non, elles coulaient toutes seules, et à ce point que je ne les sentais même plus. Repenser à toute cette partie de ma vie me plongeait dans un tel état que je pourrais facilement tomber de ma chaise. Tout cela prenait mon énergie. J’étais fatiguée, épuisée. Tout le monde sait bien que je ne suis pas très endurante. Je levai la tête alors que Chin Hwa répondait à ma deuxième question. J’étais toujours là, à me gratter les poignets sans m’en rendre compte, sans sentir que je pouvais me faire mal. Je ne saurais dire si j’étais mentalement présente, mais je comprenais tout ce que Chin Hwa me disait.

    « Je préférais rester en retrait parce que tu me détestais. Je suis le fils biologique des gens qui t’on fait souffrir, Na Hee. »

    Puis, il eut un long moment de silence. Puis mon grand frère continua.

    « J’ai fait tout ça parce que j’étais coupable. J’aurais pu empêcher les autres enfants de te faire du mal, je voulais racheter mes fautes passées, sans que tu le saches. J’étais censé rester dans l’ombre, mais il a fallut que ce jour arrive… »

    Je ne comprenais pas où est-ce qu’il voulait en venir. Je repris «vie» en le regardant. De quel jour parlait-il ? Considérant le fait que j’ai quitté la maison en fuguant quand j’avais 16 ans. Après ce jour, je n’ai plus jamais entendu parler de la famille Baek.

    « Na Hee, j’ai décidé de reprendre contact avec toi après que Dylan soit mort. Je faisais la même chose qu’avec toi, sauf que lui me demandait de l’argent, et c’est tout. Je pensais que l’argent pouvait résoudre vos problèmes, mais j’avais tord. Lui, je lui ai acheté tout ce qu’il voulait et toi, j’ai menacé les gens de ton école, et vous donniez de l’argent. Je pensais que tout ça était suffisant, mais Dylan est mort et j’ai pris conscience que l’argent n’écartais pas les dangers de la vie. »

    Chin Hwa retourna sur sa chaise en face de moi sans même jeter le regard sur moi. Je sentis tout de suite qu’il avait honte. Je sentis à quel point il se sentait mal. La mort de Dylan... je venais d'apprendre qu'il était mort, et est-ce que ça me faisait quelque chose ? Non. Pas vraiment. Et je ne me sentais même pas méchante. Il avait été un de mes nombreux frères, et aucuns d'eux avaient été gentils avec moi. Je ne les connaissais même pas, seulement de ce côté qui, à cette époque, me semblait être leurs seules facettes. Leurs seules facettes communes en plus. Pendant dix minutes de temps, rien. Aucun son ne sorti de la bouche de Chin Hwa Il était resté là à fixer le sol. C’était probablement le plus long moment de silence lourd que j’avais vécu dans ma vie, moi qui, habituée au silence, le perçoit plutôt bien, celui-ci était intense. Et je n’aimais pas ça. J’avais eu le temps de croiser, décroiser, croiser encore mes jambes, toujours en vivant toutes ces émotions qui «m’obligeaient» inconsciemment à gratter mes poignets, qui étaient devenus en quelques sortes le symbole de tout le malheur que j’ai pu vivre dans ma vie. En dix minutes, j’eus le temps de me perdre dans mes pensées, sans toute fois savoir à quoi je pensais. En ne pensant à rien, les larmes avaient arrêtées de couler. Je pensais, mais je ne pensais pas en même temps. C’est comme si à cet instant, je n’étais pas là. La voix de Chin Hwa me ramena à la réalité. Je relevai la tête et croisai son regard.

    « Na Hee, si tu veux que je sorte de ta vie après ça, je le ferai. Tu ne me verras plus, mais jamais je ne te laisserai seule, tu pourras toujours m’appeler et je viendrai quand tu voudras me voir. Je n’ai jamais fait sa par pitié. »

    Dès ses premiers mots, c’était comme si les chutes de Niagara coulaient de mes yeux. Non ! Non, je ne voulais pas ! Il n’était pas question que Chin Hwa sorte de ma vie ! Non, je ne voulais pas qu’il s’en aille. Depuis qu’il était revenu à Ulsan et que je l’avais pardonné, j’étais devenue dépendante de lui. Après tout, il est le seul lien qui retient mon enfance. J’ai beau vouloir oublier tous ces moments de ma jeunesse, mais pas entièrement. De toute façon, jamais je ne pourrai oublier tout ce que j’ai vécu. Mon grand frère est le seul qui voulu me retrouver, et après tout ce que je venais d’apprendre, il était évident que je voulais qu’il reste auprès de moi. Qu’allais-je faire toute seule moi ? Il m’était impossible de vivre sans mon grand frère. Je me mis à pleurer, pour de vrai, à sangloter. Non, je ne voulais pas que Chin Hwa sorte de ma vie. Et je lui faisais comprendre en répétant plusieurs fois le signe « non » avec la main. À la force, on pourrait me prendre pour une folle. Je pleurais là, sur ma chaise, de chaudes et grosses larmes en lui disant que je ne voulais pas qu’il s’en aille. Je ne sais pas où je prenais l’énergie pour pleurer comme ça, mais à un moment, je sentais que je ne pouvais plus rester assise sur ma chaise. J’avais mal à la tête, j’avais l’impression que tout tournait autour de moi, de tout ce que je pouvais voir à travers mes grosses larmes. J’en vins à poser mes fesses sur le sol, toujours en pleurant, avec le drôle de bruit qui sortait de moi quand je pleure comme ça. Puis je finis, sur le plancher, la tête couchée sur mon bras plié comme si c’était un oreiller. Et je pleurais. Et je n’allais pas bien. Je voulais rentrer chez moi. Me téléporter, parce que je n’avais plus la force de me déplacer d’un centimètre. Téléphone en main, j’arrivai à écrire quelque chose à Chin Hwa. Sur le côté, ça allait plutôt mal, je savais très bien que je faisais des fautes de tape, mais Chin Hwa allait comprendre. Je poussai mon téléphone près de lui.

    Ne ten cva paa

    Je suis un être faible, et j’en suis consciente. Après tout ce que j’ai vécu, c’est quelque chose de normal, de logique. Mon état le prouvait. Un rien me faisait réagir de la sorte. Après une journée bien complète et riche en émotions, c’est normal de constater que je n’ai plus beaucoup de force. J’avais développé des problèmes de cet ordre et j’étais prise avec toute ma vie. J’avais besoin de quelqu’un près de moi qui me comprendrais. Je ne voulais pas que Chin Hwa sorte de ma vie. Je ne voulais pas. Il était le seul qui pouvait comprendre ma condition. Il savait tout ce que j’ai vécu. Il est le genre de personne qu’on ne peut pas laisser partir comme ça. La première fois, c’est moi qui ai tout abandonné. Je ne voulais pas qu’à son tour, il m’abandonne. Je ne voulais pas perdre encore.
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MessageSujet: Re: Et si je te disais tout ?    Et si je te disais tout ?  EmptyJeu 6 Déc - 10:25

J’avais presque dit tout ce qu’il avait a dire, elle n’en avait pas besoin d’en apprendre encore d’avantage sur la famille Baek, elle les déteste et elle en avait raison, s’était une famille d’accueil horrible avec elle, nous étions horrible avec elle, moi y compris. J’en avais honte, frapper des paparazzi, je n’en avais aucun remords, ils le méritaient alors que Na Hee non, elle n’avait rien fait, les Baek pouvaient être comparer au Thénardier du roman « les misérables » de Victor Hugo. Maintenant que j’avais réussi à crée un lien avec Na Hee, un lien qu’elle n’avait pas eu lorsqu’elle était encore chez les Baek, je ne voulais pas le perdre, sauf si elle me le demander et ça, s’était mon pire cauchemar. Je m’étais bien trop attaché à ma sœur, retrouver mon ancienne vie où j’étais dans l’ombre à toujours la protéger de tout et de rien.

Coupable voilà exactement ce que je ressentais, les révélations lui ont fait bien plus de mal que le choc d’avoir vue un paparazzi se faire. La voir pleurer me faisait mal, j’étais un mauvais frère, la regardant s’effondrer en larme, mauvaise personne que je suis. Il y eu comme un long moment de silence, d’habitude j’aurais trouver ça normal avec Na Hee, elle était muette et ne communiquer qu’avec son portable ou en langage des signes, mais se silence était lourd il fallait rompre se silence à tout prix, mais je n’avais rien à dire de plus, lui raconter quoi d’autre, certainement pas que j’avais déjà des plaintes et que si je faisais encore un acte de violence sur autrui, je risquer la prison pour violence et destruction de bien matériel, mon avocat m’avait pourtant bien informer que tout autre acte de violence causera ma perte. Dans peu de temps j’allais certainement aller en prison, mais je faisais une confiance aveugle à mon avocat, il était bon dans son domaine, il avait intérêt d’être bon avec ce que je lui paie.

Assis sur ma chaise toujours aussi silencieux j’observai Na Hee la tête couchée sur son bras plié comme si c’était un oreiller. Elle devait sûrement s’en aller loin de cette pièce, loin de toute ces découvertes, loin de moi et je pouvais bien le comprendre, me fuir était peut être la meilleure des solutions. Loin de moi, serait aussi loin des paparazzi, loin du monde que je vivais. Baek Chin Hwa tu es stupide.

Ne ten cva paa

J’eu un léger sourire, comment pouvait-elle me demander de rester alors que je venais de lui avouer que j’avais toujours été là dans sa vie. Pourquoi ne pensait-elle pas que j’avais fait ça par pitié ? Pourquoi ne me déteste t’elle pas ? Je ne comprends rien et je ne comprendrais certainement jamais, mais j’étais heureux qu’elle me dise de rester près d’elle, j’avais juré de la protéger contre quiconque personne qui lui fera du mal. Je me relevai de ma chaise et attrapa Na Hee par les épaules, elle avait les yeux si rouges, des larmes coulaient encore de son visage, j’essuyais avec mes pouces les larmes qui coulait encore de ses yeux et la serra dans mes bras.

« Na Hee, je serais toujours là pour toi et te protéger, je ne laisserai plus personne te faire du mal. »

Elle resta dans mes bras pendant environ cinq minutes, le temps qu’elle sache que je ne serais toujours là pour elle qu’importe les obstacles que nous aurions, si elle voulait que je cache son identité au yeux des medias, je le ferra, personne ne saura que la fille du café est ma petite sœur, ils feront des suppositions et je m’arrangerais pour me faire voir avec une autre fille, ils arrêteront de chercher à savoir qui était la fille du café et l’image du bad boy restera intact, celui qui va voir ailleurs une fois qu’il ont a fini avec la précédente.

2 semaines plus tard………

JOURNAUX

« Baek Chin Hwa vient d’être transférer à la prison de Séoul. »
« La superstar Baek Chin Hwa, vient d’être inculper pour violence, destruction de matériel et consommation de drogue dans un lieu public »


KBS TÉLÉVISION

« C’est officiel, la superstar Baek Chin Hwa, idole la mieux payer de la hallyu vient d’être mis en prison pour une durée de 2 mois sans surcis, il passera 2 mois de prison ferme à la prison de Seodaemun, les millions de MINI CHIN dans sont triste, mais le soutien et l’attendra à sa sortie de prison, comme on peut le constater avec ses images. »


FIN D'UN RP DÉPRESIF ET MAINTENANT ON FAIT QUE DES RP JOYEUX Et si je te disais tout ?  832201
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