Han Min Yeon & Nam Eun Ji

J'étais étonnée, nous étions samedi et je n'avais rien à faire à la compagnie, aucun rendez-vous avec des partenaires de la compagnie pour tels ou tels publicités. Je n'avais pas non plus de réunion pour la « Han Electronic » ou des expositions à préparer pour « Le centre d'Art de Séoul » J'en étais choquée. Depuis que j'avais pris la direction de la Han entertainment à durée déterminer, car une fois mon frère de retour à Ulsan, il se chargera de diriger l'entreprise Han et toutes ses filiales. Je devais avouer que depuis que j'avais pris les commandes de la direction, j'étais très efficace. Je n'avais jamais étudié le fonctionnement d'une entreprise, j'avais tout appris sur tas, s'était peut-être dans les gênes d'avoir l'âme de dirigeante, car bien évidemment, je m'étais renseigné auprès des plus vieux employés de l'entreprise basée à Séoul et tous disaient que mon père était un excellent dirigeant, qu'il savait être juste et sévère. Il prenait les bonnes décisions au moment voulu et que ce n'était pas un hasard qu'il faisait partie des meilleurs entrepreneurs d'Asie. J'en étais fière, j'avais très peu connu mes parents, mais à ce qui se disait dans le monde des affaires, êtres les enfants du grand Han Dae Ho était un honneur, mais cela apportait aussi des inconvénient, on attendait de moi que je sois l'exacte reflet de mon père, une tâche qui peut s'avérer difficile, surtout lorsqu'on y connaît rien à ce monde. J'ai dû m'armer de beaucoup de personnes pour y arriver, d'un avocat très réputé, environ trois assistants très efficace. Je n'échangerais pour rien au monde mes assistants, même s'ils allaient être plus tard, les assistants de mon frère, on ne pouvait pas rêver mieux, même si, j’aimais vraiment mon job et que je me débrouillais dans ça, je n’avais pas fait des études d’architecture pour diriger une entreprise. Le poste de dirigeant d’entreprise était réservé à Ki Hyun, lui avait fait des études qui visaient à diriger une entreprise.

Je regardais l'heure qu'il était sur mon téléphone. Il était midi passé, aiiisshhh, je devais me rendre chez Joon Hee y changer mes affaires, car je ne rentrais plus dans ce que j'avais laissé chez lui. J'avais pris du volume au niveau du ventre et j'en prenais encore plus de jours en jour. Non, je n'étais pas grosse, j'étais enceinte. Il y avait ce petit être dans mon ventre que j'aimais déjà. En plus du ventre, mes seins prenaient aussi du volume, si je pouvais garder une fois que mon bébé sera naît, j'en serais ravie. Lâchant un soupir, je me regardais une dernière fois dans le miroir, j'admirais mon ventre parfait.

Je ne devais pas trop tarder devant mon miroir, déposer les quelques affaires chez Joon Hee et sa soeur. Il m'avait assuré qu'Eun Ji ne serait pas à l'appartement. Eun Ji, la soeur de Joon Hee qui ne m'aimait absolument pas. J'avais plusieurs fois tenter d'avoir une relation courtois avec elle, sans y arriver, elle était teigne comme fille. Hélas, je ne pouvais pas grand- chose contre elle, car il se trouvait qu'en plus d'être la petite soeur de Joon Hee, ils se considéraient comme des jumeaux, génial. Comme je le disais souvent, rester avec Joon Hee était un risque, une famille un peu trop, voir beaucoup même « je me mêle de ta vie » J'avais fait leur connaissance lors de mon voyage au USA, le père était le plus normal de tous, malgré l'incident du petit-déjeuner désastreux qui, m'avait fait rappeler de pleins fouets que mes parents étaient morts le jour de mon cinquième anniversaire. Les Nam étaient une famille que j’évitais le plus possible et sa sœur était celle que j’évitais encore plus.

Mes valises étaient déjà préparées depuis hier soir, Dun Woo m’avait même aidé à les porter jusque dans le salon. J’avais un colocataire très gentille et très beau aussi, si je ne m’étais pas déjà calmer lorsque je l’avais rencontré, il aurait été certain que j’aurais passer une nuit avec lui ou plusieurs, mais tout cela faisait désormais partie de mon passée. Désormais, j’étais une fille sage et bizarrement, je trouvais cette idée très plaisante. Le chauffeur venait d’arriver, sans poser de question, il attrapa mes deux grosses valises, à la tête qu’il affichait, j’eus un léger sourire d’excuse, car en plus d’être grosse, elles étaient lourdes.

●●●●●

Je sonnais l’interphone de l’immeuble, j’attendis quelques minutes, mais personne, je refis plusieurs tentatives, Joon Hee m’avait assuré qu’il serait présent. J’entendis la voix d’Eun Ji sortir de l’interphone, toujours avec ce ton si déplaisant qui avait le don de m’horripiler.

« Qu’est-ce que tu veux, Min Yeon ? »

Te foutre un bon poing dans la figure et t’apprendre à être plus courtois. C’est ce que j’avais envie de lui répondre, mais conne que je suis, je me devais de me comportais comme la fille aimable que, je suis à cinquante pourcent et pas comme la garce de première que j’aimais beaucoup. Mon bébé avait l’air du même avis que moi, j’eus un léger sourire, au moins pendant que je serais avec elle, j’aurais un soutien puissant qui m’aidera à bien me comporter avec sa « tante extrêmement détestable »

« Qui veux-tu que ce soit ? Qu’est-ce que tu viens faire ici ? »

Le pape très chère Eun Ji, j’aurais bien voulu que ce soit lui, mais hélas c’est toi et si c’est toi, ça veut aussi dire que, ton idiot de frère n’est pas là et qu’il ne t’a non plus informer de mon arriver. Je respirais un bon coup et lui répondit que je venais déposer mes affaires avec un ton beaucoup plus poli que le sien.

« … Je t’ouvre. »

Je n'en croyais pas mes oreilles, elle m'ouvrait, j'en étais choquée. J'aurais pensé qu'elle m'aurait laissé planter au bas de l'immeuble. Heureusement que le chauffeur était encore présent, il m'aida à porter les valises à l'étage. Ce n'était pas la peine de compter sur l'aide d'Eun Ji. Elle ouvrit la porte, mon samedi après midi n'allait pas être merveilleux. À la vue de son visage, je priais intérieurement pour que mon téléphone sonne et qu'un de mes assistants me disent que ma présence était requise. J'entrais dans l'appartement et aperçu un bordel pas possible, la chose que détestais le plus au monde. Je fronçais un sourcil, je vouais une haine au désordre, il suffisait de voir l'état de mon appartement, pour découvrir à quel point, j'étais maniaque, si l'on me connaissait, même un peu, on découvre très vite cette partie de ma personnalité. Cette fille devait vraiment apprendre à faire des choses utiles dans la vie ou au moins les règles de vie dans une maison ou dans son cas, un appartement. J’étais vraiment heureuse de ne pas vivre dans cet appartement. J’indiquais la chambre de Joon Hee au chauffeur, j’allais encore faire une tentative avec Eun Ji avant d’aller ranger mes affaires. Nouveau soupir, je me dirigeais vers le canapé et tenta un vrai sourire, un échec total. Sans prendre de gant ou même essayer de tâter le terrain, je lui proposais un armistice.

« Plutôt mourir. »

Si seulement, elle pouvait savoir qu’elle fera mon bonheur si, elle m’était un terme à sa vie, oui j’étais méchante, mais avec son attitude d’américaine irrespectueuse des mœurs coréenne, il y avait de quoi penser ainsi. Je n’avais jamais compris pourquoi elle me détestait, plusieurs fois, j’avais tenté de comprendre sans succès, mais j’en pouvais plus, Min Yeon la garce allait refaire surface.

« Tu devrais arrêter d’être tout le temps frustrée, ça devient énervant à force et tu devrais ranger ton bordel, sérieusement, c’est pas étonnant que tu sois encore seule à ton âge Eun Ji, faudrait penser à être une fille parfois et te trouver un gars pour satisfaire tes besoins primaires, tu sais ce qu’un gars et une fille font dans un lit.»

Je lui fis un sourire sarcastique. Depuis le temps que je me retenais d’être la pire des garces avec elle, cela me faisait un plaisir fou. J’exprimais enfin ma façon de penser, je n’allais plus chercher la raison du pourquoi elle me détestait, mais je savais aussi que je venais d’appuyer sur ce qui allait déclencher une dispute. Avec un sourire, je me dirigeais vers la chambre de Joon Hee.

« Min Ki, vous pouvez rentrer chez vous pour le moment, j’en ai pour un long moment. Je vous appellerai quand j’en aurais fini, merci. »

Min Ki, mon chauffeur me fît signe de la tête et sortie de l’appartement, nous étions désormais seules. Je me retournais pour faire face à Eun Ji et déclara :

« Si tu as des choses à me dire Eun Ji, je serais dans la chambre de ton frère. »

Tranquillement, je continuais ma route vers la chambre de Joon Hee avec un rire silencieux.

JE SUIS DESOLEE:

Eun Ji aurait beau être la petite sœur de Joon Hee, elle restera la personne la plus chiante qui existe sur cette terre, comment est-ce que les Nam ont fait pour supporter celle là ? Quoique les Nam sont assez bizarres, était-ce l’habitude d’avoir vécu la plus grande partie de mon enfance et la moitié de mon adolescence dans un orphelinat ? Certainement, les sœurs nous habituent à une certaine distance, une certaine retenue, l’attitude un peu trop famille des Nam étaient à l’extrême opposé de ce que j’étais habitué. La notion de famille nombreuse m’était totalement inconnu et surtout de famille nombreuse proche, je veux bien être proche d’un membre de la famille, mais pas de tous. Je trouvais ça sans intérêt, quel est l’intérêt de raconter la même chose à toute sa famille ? Pourquoi ne pas se contenter d’une personne, comme la relation que j’ai avec mon frère ? Des questions que je me posais depuis que j’avais fait la connaissance des Nam dans sa totalité. Enfin bref, je ne pouvais pas me permettre de les ignorer, surtout depuis cette soudaine grossesse, si j’avais su ce que j’allais me coltiner une famille tels que les Nam, je me serais contenté de la simple relation que nous avions. Enfin bref,  je ne devais pas penser au Nam, mais la garde robe que, je devais changer chez Joon Hee.

J’étais arrivé avec deux immenses valises, je m’attendais à me retrouver seule avec Joon Hee, puisqu’il m’avait assuré que sa sœur ne serait pas présente, mais hélas elle était bien là, en cher, en os, en cheveux, bref, en tout ce qui faisait qu’elle était là et pas Joon Hee. Je sentais que la journée n’allait pas être calme et harmonieux, rien qu’au son de la voix qu’elle avait prise pour m’accueillir. Je savais que la demoiselle qui me servait de belle-sœur pas si belle que ça, allait faire de ma visite une horreur. Les hostilités avaient déjà commencé à mon arrivée et je me trouvais particulièrement biatch, mais elle l’avait bien cherchée, j’avais fait de gros effort pour ne pas désagréable avec Eun Ji, mais elle ne prenait même pas la peine de faire la même chose. Méchanceté dite, je m’étais rendu directement dans la chambre de Joon Hee, lui informant au passage que si, elle me cherchait, je serais dans la chambre de son frère qui allait recevoir un message lui montrant à quel point je pouvais être une mauvaise personne.

Arrivé dans la chambre, j’étais assise en face du dressing, je sortis mon téléphone et écrivit un message à Joon Hee. « Tu n’es qu’un idiot fini, ta sœur n’était pas censé être là,  tu es censé être là, je ne suis en rien responsable des conséquences que, peut provoquer les hormones naturelles d’une femme enceinte, si malheur lui arriver. Voilà tu es prévenu » J’appuyais sur le bouton envoyer, une chose de faite, je devais me concentrer à  ma tâche du jour, remplacer de vieille chose, ranger dans les valises. Très facile, il fallait juste être organisé.  Je sentis que quelque chose coulais sur moi, mes cheveux, puis mes épaules, une chose assez froide, je passais mes doigts dans mes cheveux. C’était gluant, comme si l’on me renverser une sauce dessus. Je regardais mes doigts et vis de la sauce rouge. Je sentis et c’était de la sauce tomate qui n’était plus vraiment mangeable, l’odeur de la sauce me donner envie de vomir. Je me retins, il ni avait une personne pour faire cela, Eun Ji, cette peste aller me le payer.

« MAIS TU ES MALADE, TU SAIS ÇA, LA CHOSE QUI TE SERT DE CERVEAU VA BIEN ? »

Je m’étais relevée d’un bon, avec cette envie de vomir, lui gerber aurait été parfait, mais lui crier dessus était beaucoup plus classe, je n’allais pas m’abaisser à des gamineries comme renverser de la sauce tomate. C’était mauvais pour le bébé que, je m’énerve. Je devais me calmer, même si, je n’allais pas vraiment l’être, mais je devais au moins essayer de ne pas crier.

« Dit Eun Ji, tu as quel âge ? Non sérieusement, je suis entrain de me poser la question. Je ne sais pas, ça doit être de famille d’être aussi taré, entre la mère qui veut savoir si son fils est toujours puceau, la sœur qui veut tout savoir de ce que je fais, du père qui veut faire affaire avec les héritiers Han quand il appris qu’ils avaient repris la Han et maintenant l’autre sœur qui renverse de la sauce tomate, vous êtes des malades chez les Nam, faut vous faire soigner, ça devient grave. »

Toutes ses choses que je ne disais pas à Joon Hee, je le disais à Eun Ji. Ma franchise allait causer ma perte un jour. Je m’étais retenu de dire ce que je pensais des Nam à Joon Hee, car on ne cessait de me dire que trop de franchise tue la franchise, mais Eun Ji venait de dépasser les limites de ma patience. Les Nam étaient des tarés, après mon séjour au Etats-Unis dans la famille Nam, je n’avais qu’une envie, les voir le moins possible, même ne jamais les voir.  À peine j’étais arrivée chez les Nam, la mère m’avait questionnée sur la vie sexuelle de sa fille et me parlait comme si nous étions des amies de longue date. Un après midi horrible que je croyais être la pire dans cette maison, mais non, le lendemain matin, lors du petit déjeuner familiale des Nam, car évident chez les Nam tous le monde mange ensemble. Bref, lors de ce fameux petit déjeuner le père Nam parlait que dans les affaires, on ne parlait que des Han qui venaient de refaire surface et qu’ils étaient certainement les plus riches héritiers après la famille royale d’Angleterre. À partir de cette annonce tout était partie en cacahouète, il avait expliqué que Dae Ho, mon père, était un excellent chef d’entreprise qui, flairait les bonnes affaires, qu’il avait deux enfants avec Cho Hee dont la renommée dans le monde artistique n’était plus à faire. En bref, il avait raconté que de leur vivant, ils avaient bien placé leur argent, que leur enfant ne risquait pas d’être pauvre de sitôt, mais l’accident tragique arriva. Le monde des affaires était triste, il venait de perdre un grand dirigeant, sauf que ce monde des affaires savait que les Han allaient être les héritiers avec lequel ils fallait faire affaire dans l’avenir, mais hélas le père Han avait tout prévu, dans le cas ou un malheur venait  les frapper. Je me souviens encore de ce petit déjeuner qui était devenue un cauchemar et qui avait fait remonter le souvenir de l’accident, du téléphone qui avait sonner, de la collision qui tua mes parents. Je haïssais les Nam pour cette raison, j’en venais presque à haïr Joon Hee d’appartenir à cette famille.

« Je me demande ce que j’ai bien pu faire de mal pour être dans cette famille. Si j’avais su dans quoi je m’étais embarquer, j’aurais fait un mioche à ce mannequin Kim NichKhun. »

Spoiler:

lis<3:

Eun Ji me tapait sur le système, si le meurtre était autorisé en Corée du Sud, elle serait très certainement morte à l’heure actuelle. Je tentais de garder mon calme, mais je n’avais pas réussi, j’étais énervée, pourquoi ai-je atterri dans cette famille de malade ? Aiisshhhh je devais partir, elle avait le don de me mettre en nerf et c’était très mauvais pour le bébé. Je respirais un bon coup et lui répondit du tac au tac que j’aurais mieux fait d’aller faire un bébé au mannequin, mais ce à quoi je ne m’attendais pas c’était ce qu’elle allait me répondre.

«  De mon point de vue, je pense qui si tu déteste tellement ma famille, c’est parce que toi-même tu n’en as pas. C’est pas parce que tes parents sont morts que tu dois en dégoûter les autres. Ah ! Joon Hee a oublié de te dire ? Je sais que t’es orpheline. Au début, j’avais presque de la peine pour toi. Mais t’es comme les autres, t’es qu’une cagole qui utilise la mort de ses parents pour tout excuser ! Tu ne détestes pas ma famille, tu l’envies ! Parce que tu as beau faire la maline, tu n’en auras plus jamais ! »

Je sentis comme une balle qui me traverse en pleine poitrine, comment elle savait ça ? Comment savait-elle que mes parents étaient morts ? Joon Hee ? Pourquoi ? Je ne comprendrais jamais cette famille. J'avais confiance en lui, je lui ai raconté cette période de ma vie, la période la plus douloureuse entre l'accident, le placement en orphelinat, puis mon mutisme, pourquoi avait-il besoin de le raconter ? J'étais partagée entre deux sentiments, la colère, je haïssais vraiment Joon Hee, je haïssais Eun Ji, je haïssais les Nam en général, pourquoi avait-il fait ça ? J'ai la rage après lui, mais il y a aussi ce sentiment de peur qui revient, celui que les gens meurent par ma faute. Je restais assisse dos à Eun Ji, je ne voulais pas lui montrer qu'elle avait touché un point sensible de ma vie.

J’entendis son rire, elle semblait si fière de ce qu’elle venait de dire, la vengeance est un plat qui se mange froid Eun Ji, je suis peut être en position de faiblesse, mais elle va le regretter. J’attendis quelle sorte de la chambre pour envoyer un message à Joon Hee, montrons toute ma déception, je lui faisais confiance et la première chose qu’il a fait et d’aller raconter à sa famille ce que j’avais vécu. J’appuyais sur envoyer et attendit une réponse, mais rien, ce qui m’énerva encore plus. Je respirais un bon coup, il devait être en réunion ou un truc du genre. La rage était tellement forte que je n’avais pas entendu qu’elle était revenue avec un sceau d’eau qu’elle me renversa sur la tête. Un froid me parcourra tout le corps, comme une décharge électrique que l’on venait de me faire. Elle me déteste tellement qu’elle n’a pas pensée que ce qu’elle venait de faire était un risque pour le bébé et bien que j’avais du mal à le dire, c’était aussi une part d’elle qui se trouvait dans mon ventre. Elle sortie une nouvelle fois et était revenu, c’était une blague, elle avait encore l’intention de renverser quelque chose sur moi ? Je me préparais à contre attaquer, mais contre toute attente, elle me tendit une serviette en me disant de ne pas attrapais froid. Je fronçais des yeux. J’attrapais sa foutu serviette, mais pas pour m’essuyer.

« Tu te fous de qui là Eun Ji ? Tu te veux te donner bonne conscience au cas où je perds MON bébé ? Te dire que t’avais quand même essayer de minimiser les risques ? Oh non je sais pourquoi tu as peur que ton frère t’envoi à l’hôpital ? Avoue que c’est plus pour ça que pour le bébé, je suis même persuader que tu te fiche de mon bébé. »

Je la regardais droit dans les yeux et lui jeta la serviette en pleine tête, puis me rapprochant, je posais ma main sur la serviette encore présente sur sa tête et la fis reculer, jusqu’à la porte de la chambre, j’avais la rage, je voulais la frapper, la faire tomber dans les escaliers, la poignarder, qu’elle disparaisse de mon champs de vision. Une fois à l’extérieur de la chambre, je lâchais l’emprise que j’avais sur elle et lui claqua la porte au nez. Je devais me laver de toute urgence, heureusement que la chambre de Joon Hee était équipée d’une salle de bain individuelle.  Je me dirigeai vers la salle de bain en toute vitesse, je devais enlever la sauce tomate qui me rester sur le corps, car j’avais une envie de vomir à l’odeur de la sauce tomate, car bien évidemment elle était pourri.


Je ne devais pas rester plus longtemps dans cette appartement, ma douche fini, je composais le numéro de mon chauffeur et lui demanda de venir au plus vite.  Je sortie de la chambre quand mon chauffeur m’informa qu’il était arriver.  Je traversais tout le couloir en direction du salon et m’arrêta devant Eun Ji.

« Eun Ji, une chose que tu dois savoir, tu ne connaîtra jamais ma fille, car devine quoi, je vais engager une tentative d’éloignement contre toi et grâce à ça, Sae Hee ne connaîtra jamais cette famille de taré, pas de noël avec vous, pas de fête de fin d’année, rien. Adieu Eun Ji, au plaisir de ne jamais te revoir. »

Après ce magnifique petit discours, je sortis de la maison en direction de chez Tae Moo, j’avais du mal à dire et Tae Moo était la personne la plus adéquate pour ça.

Spoiler: