Raconte-nous ta vie.

Séoul, vingt-six années auparavant ; enfant né d'une union entre un père d'origine Coréenne et une mère d'origine Japonaise il naquit avec ces deux nationalités. Héritant d'un nom de famille Coréen et d'un prénom bien évidemment choisis par sa mère, japonais, il n'en est pas pour autant mécontent et prends plutôt cela comme une grande fierté. Il eut la possibilité de grandir durant toutes ses études dans la capitale de Corée du sud : Séoul. Famille assez aisée, il eut la chance de pouvoir vivre au grès de ses envies, fils unique, il fut la fierté de ses parents ; ceux-ci souhaitant bien évidemment le meilleur pour leur fils, ils ne lésinaient pas sur les moyens pour subvenir à ses besoins. - Celui-ci n'est malgré tout pas ce qu'on pourrait considérer comme un « fils à papa ». Il n'a jamais souhaité vivre ainsi, il se contentait du strict minimum, étudiant, jouant, écrivant, ses quinze premières années ne fus que très peu mouvementées, ou du moins, jusqu'à une certaine rencontre : Ayumi. Cette femme fus simplement le début d'une histoire assez farfelue et encore floue jusqu'à présent.
Âgé alors d'une vingtaine d'année, il était à présent en école de journalisme à Séoul, totalement indépendant. Ayumi, professeur principale de sa classe, stagiaire, elle portait toujours une grande attention à ce que tous ses élèves se sentent comme chez eux et puissent laisser libre cours à leurs imaginations sans porter une grande attention à ce que pouvait penser ou dire les autres.

Bien évidemment, celle-ci ne laissait pas Akihiko indifférent, au contraire, il se sentait comme attiré vers cette jeune femme, allez savoir pourquoi, il la voyait comme sa muse. Source de beauté et d'inspiration première, chacune de ses histoires recelaient quelques facettes de cette femme ; il n'avait alors jusqu'à présent jamais compris pourquoi, ni comment il en était arrivé jusque là. Mais il ne pouvait s'empêcher de suivre celle-ci après les cours. Notant et observant le moindre de ses faits et gestes, il savait éperdument que ce qu'il faisait était tout de même assez vicieux, voir même totalement immoral, mais malgré tout, il ne pouvait en aucun cas se contrôler. D'origine japonaise elle devait alors avoir une simple trentaine d'années tout au plus, sûrement célibataire, elle était du genre discrète et ne déviait jamais de son petit train-train habituel : épicerie, boutiques, retour chez elle.

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C'est alors qu'un vendredi soir comme les autres, il avait alors pris l'initiative de suivre cette jeune femme à nouveau, mais étrangement, ce soir-là, elle avait alors pris un chemin bien différent de son itinéraire initial et habituel, malgré tout, l'envie et la curiosité s'emparaient d'Akihiko et le poussa à suivre celle-ci encore une fois. Quelques ruelles sombres, des rues vides et enfin un carrefour qui lui semblait assez reconnaissable.. Evidemment ! Il l'empruntait chaque jour afin de se rendre à ses cours ;
pourquoi traînait-elle alors ici ? Peut-être allait-elle le chercher ? Faux. Elle avait simplement rendez-vous, mais alors, pourquoi ici ? - Cette question trottait dans sa tête, mais aucune réponse ne lui parvenait, le néant total.
Un homme se glissait alors à travers la pénombre qui plombait l'endroit et Akihiko quant à lui se contenta d'observer la scène de loin, planqué près d'un buisson : ils entamèrent une discussion qui finit par devenir automatiquement très houleuse, quelques cris, puis une langue encore méconnaissable parvins jusqu'à ses oreilles, du japonais, sûrement. Ils se bataillaient d'une manière assez violente, je devais bien l'avouer, mais quelque chose n'allait pas dans cette scène, c'était.. Dérangeant.
L'homme agrippa un bras d'Ayumi avant que la scène ne devienne d'autant plus violente, voir même trop violente, allez savoir pouvoir, Akihiko était comme bloqué sur place - ne pouvant même pas bouger le moindre petit doigt il ne pouvait qu'observer la scène et entendre les cris de la jeune femme qu'il avait jusqu'à présent admiré. Il déglutit difficilement, le souffle court, un air abasourdi collé sur le visage, il ne voulait même pas y croire pas une seule seconde. Un rêve, il essayait alors de se persuader qu'effectivement ce n'était qu'un simple rêve, un rêve pourtant bien réel puisque la réalité avait alors refait surface bien rapidement ; en un simple claquement de doigts, ou plutôt dans ce genre de scène : un simple cris.


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Nous voilà quelques bonnes années plus tard, Ulsan.
Akihiko, y résidait depuis déjà quelques temps seul et il eut le temps de prendre ses marques, ayant dégoté un bon travail dans un des journaux assez connu de la capitale, cette vie pourrait paraître des plus simples s'il n'avait pas ce lourd passé derrière lui. Cet homme avait alors disparu suite à cette fameuse nuit et avait pris soin de partir avec la vie d'Ayumi par la même occasion ; depuis ce jour-là les médias et la police avaient étouffés l'affaire et caché les moindres preuves de cette histoire. Akihiko, épris de rage, de dégoût et de désir de savoir ce qu'il s'est exactement passé. Il s'est épris d'amitié avec certaines personnes de la haute société dans le but de pouvoir découvrir le fin mot de l'histoire. Il avait bien évidemment eu le temps durant ces quelques années de se renseigner et de rassembler les plus d'informations possibles sur les organisations, problèmes et habitudes de ce monde qui lui étaient encore pratiquement inconnus, mais ce n'est pas pour autant qu'il se laissera abattre face à la première embûche qui se mettra sur le chemin de la vérité, il voulait tout savoir et pour cela, il n'hésitera pas à mettre sa propre identité et vie en péril.    

Parle-nous de toi.

Pour tout dire, c'est un homme assez simple, il se préoccupe bien évidemment de son corps, à sa façon et comme chacun des hommes peuplant cette planète d'ailleurs ; svelte, musclé, teint assez pâle et traits fins, il n'as sûrement rien à envier aux grands mannequins qui planent sur les podiums des plus grands défilés. Cet homme aime bien évidemment jouer de ses atouts physiques et n'hésiteras pas à miser d'autant plus sur son corps et son regard. Celui-ci joueras probablement un certain rôle face à ces situations dont il devra faire face, anthracites, profonds, ne laissant rien paraître, c'est la clé maîtresse de son petit jeu pour arriver à ses fins, après tout, il faut parfois savoir se donner corps et âmes pour son travail et ses idées. Tout ceci colle parfaitement à son caractère, jeune homme assez calmé, posé, silencieux, il a appris à être ainsi durant ses études de journalisme. Malgré tout, ce n'est qu'une simple apparence puisqu'il n'est, en dehors de ça, absolument pas de ce genre. - Enfin, simplement lorsqu'il est proche de la personne qu'il pourra côtoyer. -
Il n'est pas du genre à parler de sa personne en dehors de cela et il tient à garder une limite entre vie privée et travail, ce qui ne sera sûrement pas au goût de certaines personnes.

Par la suite ; ce jeune homme aime particulièrement passer son temps à déambuler dans les rues, le soir, afin de pouvoir trouver source à son imagination et ainsi rédiger ses articles qui ont réussi à faire monter sa côte de popularité aux grès des années, mais aussi pouvoir y passer du bon temps.


Petite anecdote : Akihiko possède par ailleurs un certain dons pour la musique, il pratique alors quelques instruments durant son passe-temps et c'est bel et bien la seule chose qui peut, à présent, lui procurer apaisement et sérénité en dehors de tout ce stress et ce remue-ménage qui rythme ses journées, ou plutôt, sa vie.  
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Toi, dans la vraie vie.

Pseudo/prénom : Hachi. / Jennifer.
Âge : Dix-neuf ans.
Présence : Pratiquement tout le temps.
Comment es-tu arrivé ici? : 20 Mai, 2014.
Célébrité :

Code:

Lee Chang Seon. (Joon.) | (MBLAQ) ▶ Lee Akihiko.

Groupe désiré : Je travaille.
Vous êtes un scénario ou un perso inventé : Inventé.
Code du règlement : Maître Yoda surfe sur sa baleine jedi.