« 14h. Tu n’y vas pas, t’es un homme mort Wu Moon compris ? » Quelle douce parole de mon manager. Monsieur avait eu une lubie complètement folle : me faire donner un cours à des gamins qui rêvent de gloire et strass mais qui ne font rien pour y arriver. Certaines rêvent de devenir des idoles alors qu’elles ne savent même pas danser et encore moins chanter. Pendant que les mecs rêvent de prestige avec leurs jeux surement mauvais au baseball. Ma grande question était : comment allais-je les supporté pendant une heure entière. Et aussi j’allais leur dire quoi ? Que si ils veulent réaliser leurs rêves, il serait peut être temps de bouger et de courir après leurs passions ? Et donc que ceux qui on aucune envie de devenir mannequin dégage. Si je fais ça à coup sûr mon manager va me tué. Car sous cette demande plutôt insolite de ça part doit se caché une belle somme d’argent pour nous deux. Donc dans d’autre terme une très bonne paye. Ma seul pensée fut que aucune de nous deux avait besoin de ce genre de truc pour avoir une très bonne paye. Avec ma popularité est tout mes shoot je gagnais gros et mon manager n’ayant pas que moi avait également un très bon salaire. Arg. Il lui est passé quoi par la tête… Il veut me punir ou quoi ? Il va me rendre fou y’a pas à dire. Assit sur le canapé, la tête entre les mains, mes yeux fixé sur mon portable qui afficher tout content 13h50. Il me restait dix minutes, non vingt avant la descente en enfer. Cette école aurait put demandais un mannequin moins demander comme ça il aurait moins dépensé et les gosses pourrait avoir une fête de fin d’année géniale.

Je finis par me levé à contre cœur pour aller dans ma minuscule salle de bain. Devants le miroir je n’hésita pas à me regarder sous tout les angles en me touchant la peau pour vérifié que le tout était parfait. Et apparemment c’était le cas, je m’approchais pour vérifié, et je fus obliger d’admettre que j’avais des léger poches qui c’était dessinait par mon manque de sommeil. Je grimaçais, puis sortit mon anticernes et ne tarda pas pour m’en mettre. Oui je faisais extrêmement attention à mon physique, surtout quand j’allais travailler. Avez-vous déjà vue une idol montait en jogging sur scène non. Donc trouverez-vous normal qu’un mannequin ne soit pas parfait lors de son service ? Après l’inspection du visage c’était au tour de ma coiffure, et je dois dire que j’hésitais à mettre de la laque pour me donner un côté plus dur. A cette pensée, un petit sourire apparut sur mon visage. Dur, quelle bonne idée. C’est sans attendre que j’attrape mon peigne d’une main et la bombe de laque de l’autre, et c’était partie pour dompter ma chevelure blonde, et aujourd’hui je pouvais même dire que j’adorais mes mèches plus cendre. Au début lors de la coloration, je n’étais pas convaincue, mais on me voulait tel quel, mais plus les jours passe et plus j’aime. Ca me donne un style plutôt solitaire, froid, distant. Et en sois cela n’était pas absolument faux. Après l’inspection du visage c’était partie pour celle des vêtements. Et ceux que je portais me plaisait absolument pas, elles sont idéale quand je ne sors pas. Je fit quelques pas pour retournait au salon et j’ouvris ma commode pour attrapé une chemise noir signé de Jean Paul Gaultier, en faite elle était légèrement tourné vers un style gotique très classe à cause de deux trois motif en dentelle sur l’encolure du col. Un style que nous pouvons abordait sans avoir honte. C’était très soft, j’adorais. Et mon manager aussi, mais pas pour les même raisons je pense. Depuis que je mets ce genre de vêtements la presse people ne le loupe pas, et ma popularité ne fait que d’augmenté. Par la suite je choisis un slim doré légèrement, celui-ci n’était pas de marque, mais je l’adorais. Après avoir enfilé mes vêtements je me regardai dans la glace en grimaçant… Il me manquait quelque chose. Mes yeux firent le tour de la pièce cherchent quelque chose à rajouter. Je finis par opter pour des bijoux. Deux colliers dans le même styles vestimentaire et mes bagues dont ma chevalière, étant renié de la famille Lee, je ne devrais plus la porté mais je ne peux pas, enfin je ne suis pas encore prêt à m’en séparer. J’allais partir quand je me rendis compte que j’avais oublié les boucles d’oreilles. Je lâchais un long soupire, je n’aimais pas les boucles d’oreilles… Comme à mon habitude je pris deux boucles différentes. Une pendante tandis que l’autre non. J’attrapai mon blouson, long bien entendu et également kaki pour accorder le tout et mit mes dock noir. Voilà, je pouvais y aller. Je regardais de nouveau l’heure : 14h. Je souris. J’étais en retard.

Une fois en bas de mon studio j’eu la joie d’avoir un coup de fil de mon manager, qui m’incendier sur le fait que je ne sois toujours pas présent. Et me fit entendre que en bas de chez moi m’attendais une voiture pour m’emmener. A ce moment-là je perdis mon sourire. Il était sérieux, il avait vraiment appelé quelqu’un ? Sans lui répondre je lui raccrochai, et m’avança et fut obliger de constater que oui. Le chauffeur était devant la voiture a m’attendre. Lorsqu’il me vit il s’inclina pendant que moi je pestais intérieurement contre ce fou qui était mon manager. Je détournais le regard agacé et montais dans la voiture sans un mot. Le trajet se déroula dans un silence de mort. Et part chance il n’y avait pas trop de circulation, quel joie ! Je suis chanceux… Le trajet fut malheureusement bouclé en même pas dix minutes. Lorsque je sortie de la voiture il était 14h12. Et mon manager m’attendait devant les grilles. Mon visage fermé comme une huitre le toisais du regard avant de lançais la conversation.

La conversation se termina ici. Je n’avais rien à dire, et lui non plus. Il avança légèrement en retrait de moi tout en m’indiquant le chemin. Les mains dans les poches je me préparais mentalement à passer plus de trois quart d’heure enfermé dans une salle. Une fois devants je regardai mon manager et hochai rapidement de la tête pour lui dire que j’étais prêt. Et donc, que j’allais faire mon taffe comme il se doit. Avec mon pied je poussais la porte et entra d’un marche assez vive. Mon manager derrière moi. Tout les regards était braqué sur moi. Quelques cris de fangirl se firent entendre. Une fois adossée contre le bureau j’avais une vue entière sur la classe, une classe qui était assez bouch bée à vraie dire. J’avais donc réussit mon petit effet. Toujours les mains dans les poches, dans une position décontracté. Je brisais la glace.

« Je suis Lee Wu Moon. Mais je pense que je n’ai pas vraiment besoin de me présenter. Je suis ici pour un cours de mannequinat. Logique n’est pas ? Bon qu’on en finisse posez vos questions stupide, et après on en reparle plus. »

Et c’était sans attendre que j’eu le droit à un « Oppa, tu es heureux d’être là ?! » Pour être une question stupide, elle l’était. J’ignorais la fille, et je l’entendis dire « Whoaaaa, trop classe ». Mon sourire apparut, elle était vraiment stupide à croire.

Tiens, quelqu’un était intelligent ici. Chose complètement incroyable. Je n’aurais jamais cru ça. Je veux dire, non en faite je vais rien dire ou pensée. Au risque d’être méchant. En plus les pauvres ils ont rien demandés. Bref. Un léger sourire apparut sur mes lèvres, Et je me contentais juste de dirigeais mon regard vers le manager Kim, tout en disant.

« Pour savoir ma raison ici, demandais à mon manager. Pour mes honoraires aussi. Sinon, levais-vous. Je pense que le speech de mannequin à était fait lors de mon arriver »

J’attendais que tout le monde se lève. Une fois cela fait, mon regard balayait la salle du regard. Ici, aucun n’avait vraiment la tenu pour être mannequin. Ils ne savent même pas se tenir droit. Et le charisme, je n’en parle même pas. Je suis sûr que si je voyais leurs démarches je m’étranglerais tellement qu’elle doit être horrible. Mais trêve de bavardage. Il faut que j’en choisisse un. L’un de mes doigts venait doucement tapotait ma lèvre tandis que je réfléchissais. Apparemment les filles étaient toutes émoustiller. Que c’était mignon… Non je déconne, en plus je sens venir qu’à la fin de l’heure je vais être retenu pour des autographes. Mon regard finis par se posé sur ton ami.

« Toi, là, au fond. Viens. Et prends ton ami avec toi »

Sans attendre ton ami se leva et te pris le bras pour que tu viennes également. Je souris. J’avais une petit envie de m’amusait avec vous, après tout sa serait mon seul loisir de l’heure. Je continuais de sélectionner quelque personne comme ça. Au final devant se trouvait, trois filles et trois garçons. Le petit Wu Moon était content, j’avais de quoi m’amusais. Alignés comme des petits soldats, je m’approchais de ton ami et le regardais de haut en bas.

« Toi, tu n’es pas assez musclés, tu n’es pas assez maigre, ton visage est trop marqué, ta coupe de cheveux cache tes yeux. Tes jambes ne sont pas assez grandes. Les bras ballant on arrête tout de suite. Tête haute, regard soutenue, et on se tient droit. »

Je souriais amusé. C’est dingue comme c’est amusant de torturait, ridiculisait des petits. Je sentais très bien le regard de mon manager qui était tout sauf agréable. Je suis sûr que je si je me retourne vers lui je verrais ses deux pupilles noirs me fusillait. Puis je passais à toi.

« Hum. Toi il aurait tout à refaire. Coupe de cheveux, le maintient, look. Bref la total. Essaye de sourire, voyant ton sourire forcer je grimaçais, en faite arrête, tu es pire comme ça. »

Je jubilais en faite. Peut être qu’après tout la journée allait être sympathique. Sans attendre je continuais avec les quatre autres victimes. L’une avait trop de cuisse, pas assez grande. Son amie avait un visage vraiment désagréable, je lui suggérais donc avec ma délicatesse légendaire d’essayer le maquillage à haute dose. Et malgré mes charmantes critiques ses demoiselles arrivaient encore à me dire des trucs du style « Ouiiiii Oppa, tu as raison, merci ! Tu es super ! » Je commence vraiment à croire qu’elles démunie de cerveau. Si quelqu’un me traitait comme ça, il le regretterait très longtemps. Il faut jamais m’énerver, après ses à ses risques et périls. Lorsque j’ai eu finis de faire mumuse avec vous. Je me retournais vers les autres élèves en expliquant que tout ce que je venais de dire, serait se que ont dirait à un casting. Et exactement comme je l’avais fait. Lors d’un défilait on cherche la perfection pour défiler. Un seul défaut et on dégage point barre. C’est donc pour cela que beaucoup mannequin on déjà eu recourt à la chirurgie esthétique, surtout les femmes. Les hommes moins, mais pour une seul raison, soyons franc nous point de poitrine nous.

Ensuite, je les fis sortir de la salle. Une fois cela fait, je sortis à mon tour suivit de mon manager et partie dehors avec les gamins. Une fois dehors au milieu d’une sorte de cours. Ils se mirent automatiquement devant moi en mode troupeau de mouton.

« Séparez-vous. Fille à droite, homme à gauche. Je suis sûr que nombreux ici sont ceux qui pensent que le mannequinat est un jeu d’enfant. Que défilait c’est facile, j’ai raison n’est pas ? Ce sont vos aprioris. Donc maintenant défilé chacun votre tour. Une fille, un garçon. Et vous vous arrêtais devant moi, prenez la pose puis repartez. »

Mon Manager me chuchotait que j’étais vraiment odieux avec eux. Mais c’est sans attendre que je lui fis remarquer que tout ce que je disais était complètement vrai, et que après tout, si il était là c’était pour le mannequinat donc autant leur faire vivre quelque instants du travail du mannequin. Mon manager acquis difficilement aimant pas du tout ma méthode. Adossé contre le mur je vous regardais soit disant défilais. Entre les bras ballants, les filles qui se déhanchant mille fois trop, les sourires complètement forcés et encore des millions de choses, j’avais qu’une seule envie : rire. Vous étiez pire que mauvais, et j’adorais ça. Vous étiez vraiment un très bon divertissement. Mais bon rapidement vous étiez ennuyant. Je finis par me redressais tout en vous affichant un visage dénué d’expression, je ne tardais pas à me mettre à la place du prochain qui allait défilait. Puis une fois tout les regard braqués sur moi je me mit à défilé avec une allure, un charme complètement parfait tout en disant.

« Vous êtes tout lamentablement raté. J’adore. Je pense que vous pouvez arrêter de croire que le mannequinat c’est simple. Il faut avoir de la classe, de la prestance, à ce moment-là je pris la pose en la tenant quelque instant puis je repartis, un charme indéniable, une bonne démarche, un corps de rêve et aussi avoir de la volonté. Défiler c’est tout un art, tout comme posé devant un appareil photo. Oui mes demoiselles faire des selcas ce n’est pas être mannequin »

J’avais finis j’avais même eu le temps de rejoindre les demoiselles, une fois devants elle je leur fis un sourire à tombé puis passais la main dans mes cheveux, puis repartis en entendant glousser. J’étais assez fière de moi. Je m’aime ! Une fois proche de mon manager, il annonça.

« Vous avez une pause… je dois parler à Wu Moon. »

Il me lança un regard meurtrier puis m’entraina dans le bâtiment à l’abris des regards indiscrets et commença à me sermonner.

« Aigo, Wu Moon, sérieux il t’arrives quoi, en général tu n’es pas aussi méchant, surtout avec tes fans !
-Ce coup de Wu Moon so cute, so adorable, c’est pas pour moi tu le sais très bien, et puis leur préjugé m’énervant, j’ai du bossais des années jours et soirs pour être ou j’en suis…
-Wu Moon, ils ont strictement rien dit ! »

Je le regardais dans les yeux. Oui j’avais rien dit, mais bien évidemment, qu’ici plein de moche le pensait, surtout ceux qui ne m’aimais pas, et pour cela j’avais juste du mépris pour eux. Juste parce que je fais partie de se cercle privé du showbiss, on se permet de me jugé. Ce que j’ai répondit d’ailleurs à mon manager. Il finit simplement par me dire. « Je sais… Mais fait un effort, pour ses demoiselles. Et soir je t’emmène au resto italien ! » Je souris, et lui donna une tape amicale sur l’épaule « Okey Jun Ki ! Mais je choisis lequel ! » Ensemble on se mit à rire puis on sortit, sans attendre une demoiselle m’apporta un café, je la remerciai vaguement puis commença à parler de tout et de rien avec mon bon vieux Jun Ki, mon ami, mon manager.