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Kwon Yi Jung

Kwon Yi Jung



■ messages : 98
■ à ulsan depuis : 27/02/2014
■ localisation : Sûrement dans sa boutique, endormie dans une cabine d'essayage.
■ occupation : Styliste / Directrice de Lady's Things
■ humeur : yeah ♥

■ all about me
dirty little secrets:
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MessageSujet: Like a paparazzi ?   Like a paparazzi ? EmptyJeu 6 Mar - 11:32

i'm the one in a million.

Tu plissas les yeux et passas ta tête sous ton coussin, en ce doux matin du mois de mars, chaque jours, depuis quatre années déjà, tu avais une nouvelle fois oubliée de baisser comme il fallait les volets de ta fenêtre. Résultat, les rayons du soleil étaient parvenus à t'embêter et gêner ton profond sommeil. Pauvre enfant.
Tu ouvris doucement les yeux, réveillée mais surtout aveuglée par ce fichu soleil dès le bon matin et t'étiras, prenant tout le temps de bailler et craquer chaque partie partie du corps que t'avais la possibilité de craquer, beaucoup de parties en somme, d'ailleurs le tout te pris deux bonnes minutes. Tu savais que ce n'était pas bien, d'ailleurs ta mère te le répétait souvent de ne pas le faire, mais ça offrait comme un sentiment de soulagement et de détente...
Tu te relevas tout en te frottant les yeux puis jetas un coup d'œil rapide à l'horloge pendu en haut du mur pile poil face à toi. Tu crus d'abord rêver pendant un petit moment, donc tu te levas sans grande pression, puis l'image de l'horloge te revint en tête. Et oui, à ton âge, 23 ans exactement, il t'arrivait encore de confondre la petite et la grande aiguille, comme les enfants de CE1. Tu étais en retard Yi Jung. Et pas qu'un peu, beaucoup de minutes s'étaient ajoutées à ton sommeil, mais si tu te pressais tu arriverais peut-être à l'heure, avec chance.

Tu t'exécutes alors, te précipitant dans la salle de bain à toute vitesse.  Pour aujourd'hui tu feras une impasse avec tes cheveux, tu te coifferas plus tard, du moins t'espérais, heureusement que tu avais les cheveux en carré, ça allait déjà te prendre moins de temps. Tu te déshabillas à vitesse grand V et te douchas. La serviette enroulée autour de ton corps, tu en profitas pour te brosser les dents puis le tout finit, tu retournas dans ta chambre te vêtir. Tu regardas à nouveau l'horloge et pris les premières chaussures qui tombèrent sous ta main, équipée de ton sac tu pus enfin sortir de chez toi, sans prendre la peine de manger, tu prendrais quelque chose sur le chemin ou là-bas, au pire tu grignoterais tes cheveux.
Dans l'immeuble, face à l'ascenseur depuis cinq bonnes minutes, tu te décidas à prendre les escaliers et tu te maudis au passage, vivre au dernier étage, c'était vraiment pas une bonne idée, bien que vivre dans un penthouse c'était la belle vie.
Voiture qui ne démarrait pas, métro finalement en retard -mais au moins tu pus te maquiller et te coiffer, bref tout un tas de péripéties t'arrivèrent comme si le tout était organisé afin que tu arrives en retard à ton travail. Pointilleuse comme tu étais, tu détestais ça... Être en retard.
Mais avec chance tu arrivas à l'heure avec un grand sourire, sous le regard choqué et étonné de tes collègues.

- Bah Madame..! Dit l'une. Vous savez on est samedi, d'habitude vous ne travaillez pas me semble-t-il ! Vous aviez oublié quelque chose ici ?

Puis à partir de ce moment là, tu eus la soudaine envie de te pendre avec les bretelles du soutien-gorge juste en face de toi. Tu venais à peine de te remettre du parcours que t'avais fait, t'étais encore essoufflée et transpirante, les pieds en feux car tu avais couru avec des talons.  Tout ce stress pour rien, t'avais l'impression d'avoir fait le parcours du combattant, ou encore Koh-Lanta, bref n'importe quelle épreuve, c'était digne des Jeux Olympiques pourtant... Aujourd'hui tu ne travaillais pas. Génial.
Tu sortis finalement de ta boutique, ennuyée, ne sachant quoi faire de ta journée. Tu n'avais rien de prévu à faire, rien d'organiser, tes amis travaillaient sûrement, eux, tu n'avais pas pris rendez-vous chez ton esthéticienne, pas renouveler ton abonnement à la salle de sport, la bibliothèque ouvrait dans deux heures, tu n'avais pas non plus visiter dernièrement le site web du cinéma de Ulsan. Rien à faire, tu étais toute seule, sans aucune activité. Toi qui tentais chaque jour de te battre contre l'ennui et la solitude, te voilà seule sans personne. Tu détestais le fait d'être seule, pourtant tu le restais souvent. Disons que tu avais appris à être copine avec la solitude... Mais pas avec l'ennui.
Tu te décidas alors, après quelques minutes de réflexion, d'aller au parc du coin, ça te ferait sûrement du bien de te détendre un peu, toi qui travaillais tout le temps sans répit.

Assise sur un banc, tu t'amusais à regarder les enfants faire de la balançoire et jouer entre eux, les amoureux exprimer leur amour au grand public et s'embrasser tels de grands acteurs américains, les jeunes papoter du dernier t-shirt qu'avait porté Zayn Malik sur la photo qu'il avait posté sur Instagram etc... Bref, tu ne faisais pas grand chose de bien intéressant.
Tu fouillas dans ton sac afin d'y sortir ton portable, prête à quitter ce banc et rentrer chez toi, mais finalement quelque chose te stoppa dans ton élan. Tu sortis ce quelque chose et fus surprise de voir un petit stock de photos venant sûrement de ton Polaroid.
Tu les regardas une par une, souriant comme une enfant. Ce qu'il était photogénique quand même, c'était un tel gâchis si il n'était pas mannequin ou quelque chose comme ça, puis il était plutôt jeune. Tu te demandais quel était son nom d'ailleurs. Ainsi, à prendre des photos d'inconnu, tu ressemblais à une fangirl, ou à une stalkeuse, mais tu t'en fichais plutôt pas mal.
D'ailleurs en parlant du loup, le jeune homme en question se baladait lui aussi dans le parc, regardant un peu partout autour de lui, tu n'allais bien évidemment pas rater cette occasion de le prendre en photo en cachette.
Tu te levas avant qu'il ne te remarque et courus vers le grand arbre en face de toi, arbre tellement haut que tu n'en voyais le bout, arbre qui te donna une idée plutôt farfelue.
L'âge était passée depuis plus d'une dizaine d'année de faire ça mais tu grimpas dessus, avec tes talons, sous le regard choqué de certains enfants qui te voyaient escaladés cet arbre à ton âge, sous le regard admiratif des femmes qui te voyaient faire ça... Avec des talons.

- Oh cet angle de vue n'est pas mal du tout... Si il pouvait bouger la tête plus vers la droite... Ah oui comme ça c'est parfait, magnifique ! Puis tu le photographias telle une paparazzi, tout en lançant des commentaires sur sa posture et l'expression du visage qu'il affichait... Bien qu'il ne t'endentait pas, il ne te voyait même pas, du moins pour l'instant. Cet air nostalgique était plus que parf...
Outch. Ça doit bien mal ça de tomber ainsi, d'un arbre en plus, devant tous ce monde qui sûrement se demandait ce qui t'avais pris de faire ça.
Tu posas une min sur ton front et le frotta pour apaiser la douleur, ça au moins c'était sûr, tu allais avoir l'honneur d'accueillir un invité se nommant bosse.
Tu regardas de droite à gauche, dans l'espoir que personne ne faisait trop attention à ta chute, puis soudainement tu eus un hoquet de surprise en voyant que le jeune homme de tout à l'heure, que tu t'amusais à prendre sans son autorisation, était finalement face à toi, avec tes photos... Qui étaient juste à ses pieds, comme ça, traînassant dans l'herbe. Tu t'empressas de les ramasser avant qu'il ait l'occasion d'en voir une. Après tout, à quoi allais-tu ressembler si en plus de ta chute plus que ridicule, il fallait le dire, il voyait des photos de lui-même ? T'allais passer pour une folle, oui c'est ça, pour une pauvre folle n'ayant aucune vie sociale, restant chez elle tous les jours, devant son ordinateur avec un paquet de chips et qui les seuls fois où elle pointe son nez dehors, suit les gens qu'elle trouve beau et les photographie. Non, tu ne voulais pas ressembler à ça.
Une fois que tu les avais toutes en mains, tu regardais le ciel bleu et te mis à siffloter, comme si de rien était...Comme si c'était normal qu'une femme avec des talons dans la vingtaine tombe d'un arbre comme les enfants, oui, c'est absolument normal.

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MessageSujet: Re: Like a paparazzi ?   Like a paparazzi ? EmptySam 8 Mar - 15:24

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On était déjà samedi, encore une semaine ennuyeuse de plus passée plus vite qu’un éclair. Pourquoi déjà ? Je devrais plutôt dire « enfin ». Le samedi est la seule bonne journée de ma routine quotidienne. Le travail que j’avais me donnait l’impression de bouffer mon temps inutilement. C’était le jour où je pouvais sortir, beaucoup de monde travaillent ce jour-là, et les autres font leur shopping ; le parc est donc assez tranquille pour moi. J’eus tout de même un mal fou à me réveiller. Moi qui ne suis pourtant pas de nature dormeuse, je n’ai pas réussi à me réveiller aussi tôt que d’habitude. Pourquoi tôt ? Tout simplement parce que je veux profiter du calme matinal du printemps et éviter la cohue de l’après-midi. Je me sortis difficilement de ma couette roulée en boule autour de moi, pendant que mon téléphone sonna une énième fois l’heure du réveil. Je le pris en main en me frottant les yeux, je n’avais pas perdu autant de temps que ça… enfin, une demi-heure quand même. Il faut se sortir du coma à présent, je balançai ma couverture accompagnée de mon portable sur le lit avant d’aller ouvrir les volets un peu brusquement. Il me fallait au moins ça pour pouvoir émerger un bon coup. Il faisait doux et clair grâce à quelques rayons de soleil, un peu humide, c’était agréable.

Je me dirigeai vers ma salle de bains glacée, pieds nus et n’attendis pas une seconde pour prendre une douche chaude afin de terminer en beauté mon atterrissage dans le monde réel. Après cela, brossage de dents, coiffage et séchage de mes mèches blondes rebelles, et enfin, direction vers mon bordel de fringue que j’appelle « dressing », histoire de rendre ça plus joli, même si c’était Bagdad là-dedans. Enfin, je m’y retrouvais, c’était le principal. Je choisis soigneusement mes vêtements, comme chaque jour, des fois que chaque nouvelle journée soit un miracle pour trouver un photographe qui se ballade par hasard dans les environs. Bref. Je ne pris pas le temps de déjeuner, je préférais avoir faim et ne pas louper ce moment privilégié.

Je me rendis donc rapidement au grand parc, passant d’abord par une pâtisserie pour m’acheter une gourmandise, histoire de se caler l’estomac jusqu’à midi. Comme prévu, il était calme et serein. Il y avait toujours les mêmes personnes âgées faisant leurs promenades ou des enfants déjà en train de chahuter dans l’aire de jeux bien sûr, mais à part cela, pas un bruit. La brume légère, la brise douce qui caresse le visage, les oiseaux qui chantonnent, les feuilles qui s’entrechoquent, c’était un moment parfait pour moi. J'avançais de façon paresseuse sur les sentiers secs, laissant le vent emmêler mes cheveux et frapper mon visage, les mains dans les poches et la musique dans les oreilles. « Lacrimosa ». La mélodie de cette chanson me permet de m'évader, de me détacher encore plus de ce monde et de retrouver ma sœur. J'avais besoin de la retrouver en moi par moment, j'avais choisi spécialement le samedi, où j'étais totalement seul pour m'autoriser à penser à elle et à prier pour elle. Toute la douleur remontait d'un coup, mon cœur se mettait à battre la chamade, ma tête me faisait mal, mais je n'arrivais plus à pleurer, donc ça n'avait aucune importance. Seul mon regard se remplissait et traduisait toute la tristesse et la colère que j'avais en moi. A tel point, que lorsque j'ai bousculé cette personne sans m'en rendre compte, elle s'est simplement retirée en vitesse sans un mot en me regardant comme un lapin apeuré. Je n'ai rien eu le temps de dire ou de faire, comme d'habitude. Le soleil passait entre les feuilles des saules et caressaient mes joues elles aussi. Je m'arrêta près de l'aire de jeux, tous ces enfants me rappelaient aussi ma tendre Ji Won. Elle me manquait tant...

« BAM ! »

Je tourna mon visage et je découvris une jeune fille avec un gros sac et en talons hauts, qui devait avoir à peu près mon âge, écroulée par terre à côté d'un arbre, des tas de photos en vrac autour d'elle. Elle s'empressa de tout ramasser, ses joues étaient rosies de honte. Pourtant je ne fis rien, comme à mon habitude. Mais... pourquoi je ne détachais pas mon regard de cette fille? Elle devait me prendre pour un psychopathe à la fixer comme cela sans bouger, avec mon regard perdu. Tant pis, de toute façon, une de plus ou une de moins, qu'est-ce que ça peut changer? J'allais partir jusqu'à ce que je reçoive un ballon sur la poitrine, ce qui me fis reculer d'un pas. Une petite fille s'approcha de moi en répétant « Mianhaeyo!» à tout va. Je fus encore plus figé sur place, je ne voulais pas qu'elle vienne vers moi. J'avais perdu l'habitude avec les enfants, et leur simple vue me brisait le cœur et me torturait l'esprit. J'avais mal au ventre et la gorge sèche à présent, que devais-je faire?

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MessageSujet: Re: Like a paparazzi ?   Like a paparazzi ? EmptyLun 10 Mar - 17:31

i'm the one in a million.

Tu continuais de regarder le ciel, sentant son regard posé sur toi. Oui, c’était sûr maintenant… Il avait malheureusement vu ta stupide chute et devait intérieurement se demander ce qu’il n’allait pas chez toi, tu devais avoir son âge pourtant… Et à cet âge-là tu étais quand même censée avoir toute ta tête, mais bon apparemment avec toi c’était différent, t’étais sûrement folle. Dans une autre situation, tu l’aurais peut-être pris pour un stalker si il te scrutait comme ça, mais dans ce cas ridicule, vu ta chute, que les gens te fixent étrangement c’était purement normal. Puis entre celui qui fixe étrangement et celle qui prend des photos, de vous deux le stalker c’était bien toi. Tu lâchais un petit soupir discret, tes genoux te faisaient mal et en plus de ça tu avais abîmé tes collants, ils étaient dans un sale état, tout déchirés et troués. Vu que tes collants ne servaient plus réellement à grand chose mis à part te donner un côté négligé, tu arrachas tes collants avec force, ils cédèrent donc et se déchirèrent. Tu te retrouvais donc avec des bouts de tissus dans les mains que tu ne comptais absolument pas jeter. Qui sait ? Cette matière te donnera peut-être un nouveau type de soutien-gorge… Pas très résistant, et qui ne fera pas son travail de soutien d’ailleurs. Tu passais une main dans tes cheveux afin de les recoiffer, tapota ton haut afin d’y enlever les feuilles s’y étant accrochés et l’herbe puis fit de même pour ton short et tes jambes, en te levant au passage tu t’emparas de ton sac à main et l’ajustas sur ton épaule. Tu jetais un rapide coup d’œil de droite à gauche avant de te racler la gorge, c’est bon, tu ne voyais personne rigoler ou tenter de se moquer discrètement.

Ton regard se dirigea de nouveau vers le jeune homme d’en face qui visiblement t’avais tourné le dos afin de partir. Tu avais envie de l’aborder. Lui demander son nom ; puis sa profession. Tu allais certes passer pour une fille encore plus folle que tu ne l’étais déjà mais ce n’était pas grave, tu n’avais plus rien à perdre. Tu sortis une photo de lui de ton sac comme pour te rassurer puis analysas cette photo en question. Tu avais l’étrange impression qu’il avait toujours le même air nostalgique sur ces photos, ou un air comme perdu, ailleurs. C’était également avec cet air là qu’il t’avait regardé. Tu arquas un sourcil,  curieuse, tu venais à peine de te rendre compte de cette expression constante qu’il avait sur le visage. Mais étrangement, tu semblais la comprendre…
Tu pris ton courage à deux mains, décidée à aller lui parler mais finalement te stoppas aussitôt. La petite fille devant laquelle il était figé te stoppa dans ton élan. Tu observas la scène de loin et ne voyant aucune réaction de la part du jeune homme, tu repris ton chemin vers lui, t’arrêtas en face de la petite fille et te baissas afin de ramasser son ballon, lui offrant au passage un sourire maternel afin de la rassurer.

- Voilà pour toi, fais attention la prochaine fois… !Tu regardas la jeune fille te remercier puis partir toujours souriante puis lâchas un petit soupir discret, pour la énième fois au moins. Tu joignis tes mains devant toi avant de regarder autour de toi, regrettant petit à petit d’avoir mis ton petit grain de sel sachant que tu n’avais rien à dire, rien à lui dire. Car oui, tu étais postée là, à côté de lui, comme une imbécile. Mais maintenant, il fallait engager la conversation… Mais commencer par quoi ? Les questions que tu te posais il y a à peine cinq minutes de cela se mélangeaient toutes, tu ne savais pas par quoi commencer, ni comment. Tu te raclas la gorge et voyant qu’il s’apprêtait de nouveau à partir le stoppa, en posant ta main sur son épaule. Bon maintenant tu étais obligée d’engager une conversation… Et tenter d’être intéressante.
-… Bonjour ! Fut la seule chose que tu lâchas tout d’abord, il allait falloir trouver quelque chose de plus pertinent chère Yi Jung afin de le retenir. « Vous êtes mannequin ? » Demandas-tu sans aucun tact, tu ne tournais pas autour du pot… Apparemment. « Non mais je vous demande ça parce que je vous trouve beau en fait… Je… » Oui, un vrai gros manque de tact au point que tu ne savais pas comment t’y prendre et tu disais un peu tout et n’importe quoi. Tu te sentis rougir à nouveau, tu préférais ta chute de l’arbre à cette situation qui semblait plus que ridicule et embarrassante à tes yeux. Tu venais vers un inconnu à qui tu disais ouvertement que tu le trouvais beau… Comment est-ce que ça allait se finir ? Tu te tripotais les doigts et lâchas un soupir discret. Tu avais tellement l’habitude de rester seule que des fois tu ne savais plus et n’arrivais même plus à te comporter avec quelqu’un face à toi. Généralement, les fois où tu établissais un lien avec quelqu’un ce n’était pas toi qui faisais le premier pas non plus…
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