Y avait des avantages à vivre maintenant seule. Plus de comptes à rendre, enfin je n’en avais jamais vraiment rendu à qui que ce soit. Mais faut que de ne plus se faire réveiller sans qu’on le veuille, ne pas voir des têtes qui automatiquement avait le pouvoir de nous mettre de mauvaise humeur. Enfin c’était le rêve excepté ces petits moments où on a envie d’être entouré. Quoique je préfère bien être seule que d’être entouré de personnes que je n’aime pas.
Bon nous voilà en ce matin nuageux avec bien sur le ciel qui nous déconseillait de mettre le pied dehors. A un autre désavantage de vivre seule, les courses…on doit les faires nous même ! C’est dans un long soupir que je quittais mes couvertures et que je m’en allais faire l’état de ma cuisine, salle de bain et toilette pour concocter la liste des courses à faire. Je pense que je m’étais fais avoir par mon père mais ce n’étais pas plus mal d’avoir un peu d’indépendance. Mais tout de même pourquoi il ne m’as pas dit que c’étais une mauvaise idée, il me connait il sait bien que les responsabilités sont ma hantises et que prendre les choses en main n’est pas la chose que je préfère. Le deal c’était ma tante à Busan ou les études. Et là maintenant je suis toujours à Busan mais plus chez ma tante et je n’étudie toujours pas. Mais je devais m’occuper de moi seule, tout faire soi-même ! Heureusement que le loyer était toujours payer parce que rajouter le travail m’aurai juste mis dans un état pas possible.
Bon nourriture, gel douche et shampooing hmm et après on verrait sur place. Je ne comprenais même pas pourquoi je continuais de faire des listes je ne les suivais même pas, mes courses se faisaient en fonction de mes envies. Si un gâteau me semblait bon il tombait dans le panier immédiatement. Les listes c’était ma gouvernante qui les suivait à la quantité près à chaque fois !
Une fois ma liste terminé ou bien je dirai abandonné je fonçais à la douche, m’habillais et enfilai mes souliers. J’étais prête ! Ou peut être pas.
Je rentrais de nouveau dans la maison et farfouillais dans mes manteaux, il devait bien se trouver quelque part. La dernière fois j’avais fait l’erreur de l’oublier, je ne la répèterai pas une deuxième fois. Tomber malade c’était rapide pour moi. Ah ! Je l’avais ! Mon parapluie ! Le ciel n’annonçait rien de bon, pour une fois j’étais prévoyante. Une fois avoir vérifié que j’avais bien tout je me dirigeai vers la ville, chopant un taxi en chemin pour me déposer au centre commercial pour ne pas avoir à trop marcher. La flemmardise…vous savez bien.
Bon ! Je pris une grande respiration avant d’avancer à l’aveuglette vers le supermarché, cet imbécile qui se trouvait dans le fond du centre. Vous savez combien de magasin j’ai du éviter pour y arriver ? Moi non plus mais sur c’était trop !
En plus faire les courses c’était d’un ennui…je remerciais mon mp3 d’exister. Le pire c’est que même ici j’arrivais à me faire draguer. J’achetais du papier toilette bon sang ! C’est le dernier endroit où j’aimerai me faire accoster ! Enfin bon après une heure ou plus toute façon le temps s’écoulait si lentement j’avais achetés tout ce qui m’était nécessaire et normalement ça pouvait durer le mois. Maintenant shopping pour se consoler. Aish, je jetais un coup d’œil à mes mains, faire du shopping encombré c’était impossible pour moi.
Je m’installais sur un banc et composé mon numéro favori : celui de chez mon père. Prenant ma voix la plus enfantine je demandais à s’il pouvait m’envoyer une voiture prétextant que je m’étais surestimé question force et qu’il me fallait de l’aide maintenant pour porter mes affaires. Je le faisais souvent ce coup mais pour une fois que cela ne concernait pas mes vêtements il pouvait me faire une faveur non ? C’était mon père quand même. Oui tout était bon à dire juste pour qu’il m’envoie cette foutu voiture avec ce foutue chauffeur. Le « oui » que j’attendais fut prononcé et je raccrochais dans la minute d’après attendant l’appel du chauffeur qui me dirait qu’il était arrivé. En attendant je regardais autour voir ce qui pouvait être intéressant à voir et qui pouvait être acheté, je textotais aussi le temps semblait passait plus rapidement. Ha je ne savais pas que Busan c’étais si loin de Ulsan, qu’est ce qui pouvait le retenir autant. Ce n’est pas à cette heure ci que les embouteillages pouvaient s’installer. Je n’avais pas que ça à faire non plus. Un long très long moment passa avant que je reçoive enfin ce coup de fil qui me disait qu’il était arrivé. On aurait même pu croire que je logeais sur ce banc à mon avis. Même l’envie de porter mes courses s’était envolée. Je rappelais donc le chauffeur, gentille comme je suis pour qu’il vienne m’aider. Il fut plus rapide cette fois merci. Je lui donnais mes nombreux sacs et en garda tout de même un pour dire que je ne lui avais pas tout donné. Puis on avança. J’avançais à pas lents scrutant les vitrines j’avais un poids en moins maintenant j’avais la motivation de flâner jusqu’à ce qu’on me marche sur le pied. Mon pied ! La personne continua d’avancer comme si rien ne c’était passée. « Même pas un pardon excusez moi je suis désolé ?! » Ca regarde même pas où ça va et en plus c’est malpolie. Je me retournais vers la personne attendant de voir si au moins elle avait remarqué qu’elle était en faute. La personne se retourna et sembla gêné, je l’avais déjà vue mais où….là était la question. Au bar ? Chez Hyun Ae ? J’espère que non pour son bien à elle. Elle s’excusa avant de s’exclamer. « Ho, mais c'est toi Myung ! Oups, je t'avais pas reconnue. Pardon, je regardais pas où je mettais les pieds. » Ha elle se souvenait de moi…mince. « C’est rien va…hmm…Mi…Li…désolé je n’ai aucun souvenir de ton prénom. » Je me souvenais de sa tête je trouve que c’était déjà bien hein. Un moment à la regarder de haut en bas après qu’elle m’ait dit son prénom aida mon cerveau à me remémorer où je l’avais vu…et d’un coup je rougissais en cachant mon visage avec ma main. Je l’avais pris pour un homme et en plus je l’avais dragué. Pourtant en la voyant là on voit quand même bien les traits féminins. Oh mon dieu ! « Oh c’est bon je me rappelle… »dis-je légèrement embarrassé J’essayais habilement de caché mon visage rempli de honte avec mes cheveux avant de lui demander comment elle allait. Et annonçant fièrement que maintenant j’avais un parapluie. Puis je jetai un regard derrière moi en voyant mon chauffeur qui m’attendait. « Attend juste un instant je reviens tout de suite. » Je me dépêchais de donner les sacs en précisant de les déposer à l’intérieur et que je rangerai moi-même. Je lui fis mon plus adorable sourire avant de revenir voir Kyong. « Alors quoi de beau ? Que viens-tu faire au centre commercial ? »

C’était une première. Parler avec une personne que je connaissais à peine. Avec les hommes, démarrer une conversation, c’était facile, de toute façon ils n’écoutent pas vraiment quand on leurs parle, on peut le dire qu’il y a grand soleil dehors alors qu’il pleut ils diront quand même qu’on a raison. Vous voyez le type. Et puis si ce n’est pas la silhouette qui les intéresse, eux même trouve assez facilement de quoi parler. C’était pratique. Et puis de toute façon étrangement j’étais plus à l’aise avec la gente masculine. Allez savoir pourquoi mais la compagnie des garçons m’était toujours plaisante. Elle était amusante et rempli d’imprévu car ils étaient rarement doués à certain moments et en compagnie de filles c’était pire. Et puis pour énerver mon père il n'y avait pas mieux. Il se faisait facilement des idées alors que je ne les considérais tous que comme des amis et même si eux (mais je ne pense pas) pensez plus, dans ma tête ça s’arrêtait à l’amitié et aux jeux. Pour les relations plus poussées tout dépendais de la personne et comme l’histoire se terminait. Les histoires d’amours….je les évitais au mieux de toute manière. Et même maintenant je ne le regrette pas car rien qu’avec une je ne sais même pas comment je tiens encore, je m’accroche à des poussières. Enfin ce n’étais pas le sujet d’aujourd’hui, je faisais mes choses seules maintenant et en plus j’avais réussi à ne pas y penser jusqu’à maintenant donc continuons ! Enfin voilà la situation avec Kyong était différente, d’une part c’était une femme, et en plus si je me basais sur son style vestimentaire (ce qu’on peut appeler avoir des préjugés) on n’avait rien pour s’entendre. Enfin on pouvait peut être s’entendre mais on n’appréciait apparemment pas les mêmes choses. Elle avait un look androgyne qui pouvait facilement laissé penser que c’était un homme si on était un peu cruche…ou énervé. Enfin elle était sympathique et rigolote dans mes souvenirs avec le peu de conversation qu’on avait eue et elle était aussi gentille. Elle m’avait quand même abrité sous son parapluie, si on fait ça on est forcément gentil. Donc on pouvait avoir une bonne relation peut être.
« Ma garde robe commence à se faire vieille, donc je suis venue m'acheter de nouvelles fringues. Waouh, et c'est qui, ça ? T'as un chauffeur ? Mais c'est trop la classe ! Tu dois avoir pas mal d'argent pour te permettre d'avoir un domestique du genre. » Oh ! C’est la première fois que je vois quelqu’un qui voit le fais que je sois riche positivement. Hors les autres personnes aisées. Je souris à ses paroles, contente que de constater que ma richesse ne serait pas un problème. Je pense que si je la suivais aujourd’hui j’allais rentrer dans des magasins auquel je n’avais encore jamais osé poser les pieds. Ca serait mes découvertes de la journée. Pas que les magasins ne m’intéressait pas mais j’avais des doutes avant de rentrer comme est ce que je pourrais trouver ce qui me plait ou juste est ce qu’il vendait de jolis vêtements. Et puis j’avais mes habitudes j’avais des chemins précis en tête même si sur le coup on avait l’impression que j’allais un peu partout je savais où j’allais ou en tout cas j’essayais d’en donner l’impression et puis de toute manière tout se basait sur la vitrine pour moi.
Enfin voilà je ne savais pas si abordé le sujet sur mon rang social était une bonne idée en fait. Oui parce que les « préjugés » que je connaissais si bien et qui dans mon cas -pour la plupart- était vrai pouvait fausser son jugement sur moi. Enfin je ne réunissais pas tout les critères de l’homme riche juste la plupart ! Donc on pouvait m’apprécier ! Je ne savais même pas ce qu’elle pensait de moi quand j’y pense alors je ne voulais pas en rajouté une couche. Ha je pouvais être sur qu’elle me prenait pour une idiote de l’avoir prise pour un mec. Un bon début non ? Ha et elle devait penser que je profite bien de mon argent. Enfin non peut être pas.
« Oui…j’ai un chauffeur enfin c’est plus celui de mon père. Je ne l’appelle que très rarement. L’argent aussi c’est celui de mon père mais je ne me retiens pas de la dépenser à ma guise. »
Je n’étais pas très à l’aise mais en même temps c’était amusant. C’était tellement rare d’avoir des conversations comme ça que ça en devenait drôle.
« Enfin ne parlons pas de moi, je le fais bien trop souvent. Parle-moi de toi. » Je demandais les questions basiques à mon sens comme l’âge, d’où elle venait exactement et ce qu’elle faisait dans la vie. Entendre le mot Chokollis me perturba légèrement. Mais je fis au mieux pour ne pas le laisser paraître. Chokollis donne ma cousine. Ma cousine donne haine. Haine donne mauvaise humeur. Hop on efface Chokollis.
Je regardais un peu autour de moi avant de lui demander dans quel magasin elle se dirigeait et avant qu’elle puisse répondre légèrement gêné je m’excusais de l’avoir pris pour un garçon l’autre jour. Ca pouvait être vexant de se faire prendre pour un mec alors qu’on est une fille enfin sauf si c’est ce qu’on veut. Mais tenais quand même à m’excuser, j’étais quelqu’un de bien élever.

Elle me pointa un magasin du doigt en proposant d’y aller avant de partir manger un bout quelque part. Il est vrai qu’il allait bientôt être midi. Je ne me rendais toujours pas compte d’être debout et dehors avant midi. Je hochais la tête de haut en bas avant de la suivre en direction du magasin. Qui se révélait être un magasin de chaussures. Je jetai quelques regards un peu partout. Je n’y avais jamais mis les pieds et pourtant il n’était pas caché. Seulement la vitrine n’avait surement pas réussi à attirer mon attention, un regard en direction de la vitrine me le confirma et pourtant à l’intérieur il y avait de tout et même des choses que j’aimais. Etonnamment ! Kyong Hee se dirigea vers des paires qui l’intéressaient avant de partir une vendeuse. Moi de mon côté je mordillais l’intérieur de ma joue en regardant les paires de chaussures qui s’offraient à moi. Non détrompez vous je n’hésitais pas, seulement je doutais de mes capacités à être rapide dans un nouveau magasin comme celui-ci qui, il faut l’avouer, avait de très jolies paires à proposer. Je regardais en direction de mon accompagnatrice qui avait déjà choisi quelques paires. Et moi qui ne cessais de voir de plus en plus de chaussures à mon gout. Je jetai un coup d’œil à ma montre et les aiguilles continuaient de tourner à leurs rythmes. Hop une minute venait encore de passer. Une vendeuse s’approche me demandant si j’avais besoin d’aide. Eh bien tant pis le pouvoir du shopping venait de prendre le dessus. Je donnais ma pointure à la vendeuse avant de lui pointer 10 à 15 paires de chaussures. Nan je n’exagérais pas et puis j’avais été raisonnable selon mon point de vue. Juste qu’à certain moment (comme celui-ci) il m’arrive de penser que mes pieds sont trop grand, non pas que j’ai une pointure rare, elle est même commune à beaucoup je dirai, toujours selon moi. Mais il n’empêche que parfois mes pieds je les trouve large. Aujourd’hui cette idée m’est venue en tête mais lorsque la vendeuse revint avec quelques unes de mes demandes tous s’était envolé seules l’essayage comptait. Car oui je ne peux acheter une paire sans être sur qu’elle me va parfaitement bien. Pendant un moment j’en avais presque oublié que j’étais accompagné. La mode est son effet sur moi malheureusement. « Alors tu as trouvé chaussures à ton pied ? » Quand Kyong revint me voir ses achats étaient déjà effectué et j’essayais encore une nouvelle paire. La 12 ou 13eme à mon avis. Et à vrai dire je gardais toutes celles que j’avais essayées avant. Elles étaient si belles, si jolie mes pieds en était amoureux comme je l’étais en les regardant. Mais bon je n’allais pas trainer des années ici aussi, puisque là dans la situation on m’attendait. Je regardais un peu autour de moi, les quelques paires qui restait à essayer me disait de les acheter sans essayer avant mais le doute qu’elles ne me plaisent pas chez moi me titillait. La vendeuse rappela que si ça n’allait pas je pouvais toujours revenir changer plus tard. Mais bon je n’avais pas l’habitude de le faire, chaque fois que la situation se présentait par flemme j’optais souvent pour finalement le garder. J’inspirais profondément avant de dire que je les prenais toutes. Oui toutes même ceux que je n’avais pas essayé, je faisais confiance au magasin pour que les dernières me plaisent autant que les premières. Seul hic : les sacs…Pourquoi je n’avais pas d’assistant, un de ceux qui sont toujours derrière toi et à qui on peu tout donner pour qu’il porte à notre place. Pourquoi je n’en avais pas ? Ca pourrait me servir pourtant ! Enfin pour aujourd’hui et cet instant je n’en avais pas il me restait donc l’autre option : Demander à la vendeuse de garder mes sacs le temps que je fasse mes emplettes. Les luxueux magasins que je fréquente le font bien, je suis sur qu’ils peuvent le faire aussi. J’affichais ma mine la plus désemparé avant de faire la proposition. Elles étaient hésitantes au début mais avec un peu de négociations j’avais obtenu ce que je voulais et tant mieux, seule chose à faire revenir avant la fermeture, c’était faisable. Je regardais ma montre de nouveau et timing presque mais vraiment presque parfait il était midi…et beaucoup de poussière mais midi quand même. Je n’avais pas atteint une heure de l’après midi c’était bon non ? « Allons manger ! » dis-je sur un ton bien joyeux qui laissait paraître à quel point la nourriture était mon ami. « Si tu n’as pas d’idée sur l’endroit où on pourrait manger moi j’en ai une ! » Je la saisi par le bras et me dirigea vers l’un des restaurant que j’appréciais à cet étage. Un restaurant self service. C’était ingénieux comme invention, tu vois la tête du plat donc tu sais ce que tu auras dans l’assiette et puis tu peux prendre ce que tu veux dans la quantité que tu veux, ce n’était pas un restaurant chic et c’était un de mes restaurants favoris. « C’est libre service ! Et je t’offre parce que…je veux te l’offrir et que je ne te permets pas de refuser. » Dis-je en souriant avant de commencer à me servir. Pour aujourd’hui ça serait salade de pâtes en entrée, steak frites en plat et banana split en dessert. Avec ça tout ce qu’on peut rajouter c’est Bonne Appétit ! J’observais ma future amie se servir avant que l’on passe en caisse pour payer. Je lui pointais ensuite une table près des vitres donnant sur la ville pour nous y installer. J’aimais observer le paysage ça avait sont côté marrant parfois ou sinon c’était juste très beau. Tout dépendait le jour et mon humeur comme d’habitude. Je lui souhaitais un bon appétit qu’elle me rendit avant de m’interroger sur ce que nous allions bien pouvoir parler. Lui demander si ça lui arrivait souvent qu’on la prenne pour un homme ça serait trop direct non ? Je tournais ma tête vers les grandes vitres donnant sur l’extérieur à la recherche d’un sujet de conversation. Comme si les nuages auraient pu m’aider. Enfin si quand même un petit peu je pense. « Ca t’arrive souvent qu’on te prenne pour un homme ou je t’ai choqué ce soir là ? » Je me demande si j’avais réussi à me faire comprendre, surtout que…ce n’était pas du tout le sujet que je voulais aborder ! Mais cette question me trottait tellement en tête qu’il fallait bien qu’elle sorte à un moment. C’était fait maintenant. J’écoutais attentivement sa réponse en souriant avant d’enchainer sur une autre question. Et promis après je la laisse faire la conversation, parce que je l’harcèle de question et…surtout…parce que je commence à être à court d’idées. Les nouvelles connaissances surtout faites dans la rue sont si compliqué à construire mais elle avait l’air si sympa que même si elle travaille au Chokollis je voulais en faire mon amie. « Alors dis-moi ! Parle-moi de tes gouts ! De ce que tu aime…et ce que tu déteste. Les causes que tu défends et ce qui te révolte. » J’avais envie de rire de mes questions tellement je m’étonnais à parler ainsi mais bon c’était moi hein. Si bizarre et si atypique que je suis. Je plantais de nouveau ma fourchette dans mes pates fraiches et délicieuse avant de l’enfourner encore une fois dans ma bouche en savourant leurs gouts tout en attendant la réponse de mon interlocuteur