Je pouvais dire que Nich avait tendance à déteindre sur moi. Pourquoi ? Parce que ce matin au réveil…j’ai grogné.
La raison ? Aujourd’hui je n’avais réellement pas envie de sortir. Le ciel lui-même n’était pas vraiment coopératif avec son ciel à tendance grisâtre. Et pourtant je devais bouger mes fesses et quitter la chaleur de mes couverture pour le froid de l’extérieur. Nous étions à Ulsan pour un court séjour histoire que lui voit tout ses amis et familles traduisons cela part rattraper le temps perdu et moi parce que je n’étais pas contre de l’accompagnée dans ses sorties et voir aussi quelque unes de mes amies. Depuis tout ce temps je n’avais pas encore eue le temps d’annoncer à tous le monde que j’étais de retour définitivement en Corée.

Je regardais mon époux encore endormi et sourit avant de déposer une bise sur sa joue. Y a des jours comme ça où je trouvais qu’il avait beaucoup de chance surtout là maintenant.  Pourquoi le monde était contre moi comme ça ? Pour une fois que je n’avais pas cours et que je n’avais prévue aucun visite car le programme était « détente et seul moi compte »  il fallait que j’aille faire ce foutu bilan de santé.

Bon d’accord cela faisait déjà à peu près hmm disons 1 ou 2 mois qu’il me rappelait à l’ordre. Il était peut être temps que je le fasse avant qu’ils appellent mon père ou un truc du genre. Les hôpitaux sont si imprévisible.

D’un bond plutôt sans énergie je sortis du lit et me dirigea vers la salle de bain. Après une douche agréable, une légère séance maquillage suivi d’une séance d’essayage de vêtements devant le miroir je terminais mon
choix sur une robe effet dentelle comme je les aime et un collant couleur chair. J’accompagnais le tout d’une paire de chaussures couleur crème. Je regardais par la fenêtre et pris mon manteau couleur chocolat noisette comme j’aime la surnommé, ainsi qu’un bonnet et une écharpe en laine dans les même tons que mes chaussures.

J’attrapais mon chien qui trainait par là pour lui faire un câlin pendant que le chat allait s’installer dans la chambre. Nich se leva une fois que je fus sur le pas de la porte alors j’eus juste le temps de lui faire un coucou avant de partir.

Je m’arrêtais à un café pour prendre un chocolat ainsi qu’un muffin au chocolat ensuite j’attrapais un taxi direction l’hôpital d’Ulsan. Séoul..Ulsan..pareil non ? Oui c’était pareil. La technologie permet de combler la distance.

Ha ! Une chose que j’aimais entre la Corée et Paris, le côté privatisable que nous pouvions avoir en Corée. Il a juste fallut que je dise mon nom puis celui de mon père pour que l’on m’emmène dans une chambre presque d’hôtel mais qui n’était qu’une chambre d’hôpital. A Paris cela n’existe pas je leurs aurais bien conseillé mais bon je ne vais pas à l’hôpital pour leurs conseiller de fonctionner autrement j’étais pas là pour ça et c’était inutile.

Enfin bon, la fille de l’accueil m’emmena dans ma chambre en me donnant un questionnaire puis quelques minutes après le médecin entra. Et voici le moment le plus barbant que l’on peut vivre chaque année. Répondre par oui ou par non pendant que le médecin t’ausculte et te pose des questions bizarres te demande de faire des choses étranges pour en arriver à la conclusion comme d’habitude que je suis une bonne santé (chose que je peux déterminer seule) je ressortais encore plus dépité qu’avant d’être rentré pour avoir perdu mon temps inutilement.

M’enfin je me consolais en me disant que soit Nich était encore à la maison donc j’allais profiter pour lui coller les baskets et faire ma princesse insatisfaite soit il ne serait déjà plus là et dans ce cas là c’était chocolat chaud time avec supplément chantilly devant un bon film. Ouais le temps me donner envie de rester cloîtrer dans un lieu couvert, et loin de l’hôpital ça serait mieux.

C’est en pensant à toutes mes idées que je cru le voir. Oui j’ai cru au début parce que la chance avait laquelle j’aurai pu le croiser était de 1 sur tous les personnes se trouvant à l’hôpital actuellement ce qui veux dire beaucoup de monde. Puis j’étais pas sur que ce soit lui parce que la dernière que l’on s’était vu remontait tout de même à longtemps. Il était médecin et travaillait tout le temps ! Ca réduisait de beaucoup l’envie de le voir. Moi si je devais choisir entre agrémenté l’amitié ou fuir les hôpitaux je choisissais sans hésité fuir les hôpitaux !
Enfin bon, je n’étais même pas sur que ce soit lui jusqu’à ce qu’il se retourne. Haha c’était bien lui ! C’était bien Ki Suk ! Bah je lui accorde que c’était un très beau médecin. Mais les médecins beaux sont si rares c’est dingue s’il y en avait plus surement que j’aurais un peu plus aimer les hôpitaux et j’aurais trouvé plus de plaisir à aller faire mes bilans santé.
Il semblait que lui ne m’avait pas vue, sur le coup je le pris vachement mal ! Enfin sur le coup c’est vite dit disons juste que je l’ai juste pris mal et en vengeance je me rapprochais rapidement de lui avant de lui poker la hanche.

« Coucou toi ! »

J’y accompagnais un joli sourire accueillant parce que malgré tout j’étais heureuse de le voir. J’aimais revoir des amis qui semblait toujours être mes amis.

Comme tous les docteurs de l'hôpital d'Ulsan, j'avais l'obligation de faire trois de consultation en dehors de ma spécialisation, que ce soit aux urgences ou pour faire un bilan de santé et dans le cas présent, j'avais un bilan de santé à faire. L'infirmière me tendit un dossier, m'informant que c'était pour un bilan, que la patiente était une jeune demoiselle âgée de vingts trois ans et que je la connaissais. Regardant l'infirmière, l'air de dire « eeeuuuhhhhh depuis quand je connais des jeunes femme de vingts trois ans ? » Bah oui, je passe mon temps entre l'hôpital et l'appartement, à quel moment j'aurais connue une demoiselle de vingts trois ans que l'hôpital connaît ? Même les liaisons, personne ne les connaissait.

« Regardais le nom du dossier, aiisshhh, je sais que vous êtes un accro de votre job. »

Comme l'infirmière me l'avait si gentiment fait remarquer, je commençais à lire le dossier en commençant par le prénom, Cho Myung Hee, ooohhhhh oui Myung Hee, charmante jeune femme que j'avais rencontré lors d'un de ses dîner où je devais expliquer à la totalité des investisseurs de la recherche que je faisais à cette époque et bien évidemment, ils avaient tous décidé d'être à des endroits différents dans la salle. Expliquer une dizaine de fois la même chose alors que j'aurais pu leur dire une fois, s'ils avaient eu la géniale idée de se réunir pour les entendre, cela aurait été moins chiant. J'aurais beau être passionné par mon travail, cela n'empêche qu'au bout d'un moment ça me saoule et que je suis bien mieux dans un hôpital que dans une soirée à parler à mes si généreux investisseurs. Bref, elle était là pour un bilan de santé, je fis signe à l'infirmière que tout allait bien et qu'elle pouvait retourner à ses occupations.

Les yeux plongés dans le dossier médical de Myung Hee, je n’avais pas remarqué qu’elle fût devant moi par je ne sais quel force et me lancer d’une salutation bien joyeuse avec un sourire. C’est rare de voir des gens joyeux dans un hôpital, surtout les patients, s’ils pouvaient tous être comme elle, mon travail serait beaucoup plus facile, mais dans l’immédiat, son intervention me fît sursauter.

« Aaaiiissshhhh Myung Hee, me provoque pas d’arrêt cardiaque, il y a aucun médecin aussi bon que moi dans l’hôpital, je ne pourrais pas m’opérer. »

Okay c'était très narcissique comme réponse, mais bon, c'est vrai, je n'avais pas confiance aux autres médecins cardiothoraciques, déjà qu'ils avaient le don de me refiler leur dossier quand ils le trouvaient trop compliqué. Sérieusement faudrait faire une statue de moi avec écrit « meilleur chirurgien au monde. » non pas narcissique du tout. Bon, ceci étant dit, je refermais le dossier de Myung Hee et la dirigeait vers le lit médical.

« Bon, selon ton dossier médical, tu es en parfaite santé, on va juste vérifier que tu l’es toujours, enlève ton manteau, s’il te plait, jolie robe. »

Accompagné d’un sourire, même si, cela ne se voyait pas, parce que je passais plus mon temps à l’hôpital, je savais encore distinguer de joli habit, surtout lorsqu’elle était mise en valeur par certaine personne.