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 Restart to continue ft Lee Gak

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MessageSujet: Restart to continue ft Lee Gak    Restart to continue ft Lee Gak  EmptyLun 21 Jan - 21:13

Lee Gak & Han Jae Jun




restart to continue...


Une semaine est passée et j'ai hésiter tout du long à te contacter. Plusieurs fois j'ai attraper mon téléphone et tapé ton numéro, mais au moment d'appuyé sur le petit combiné vert je me suis raviser , comme un lâche j'ai reporter l'échéance à un autre jour .
Je n'ai finalement pu franchir le pas qu'hier matin, je t'ai appeler très tôt, espérant qu'à cette heure-ci tu dormes encore ou te douche . J'ai laisser un message sur ton répondeur, ma voix était peu assurée et elle trahissait mon empressement à raccrocher .
Je t'ai laisser les coordonnés d'une boite où j'aime me rendre et t'es conseiller de "bien t'habiller".
Toute la journée cette formulation a tournée en boucle dans mon esprit, je me demandais si tu n'allais pas croire que je t'emmenais à une exposition de peinture et.à mesure que les heures s'écoulaient j'ai préféré rappeler pour te préciser quel genre de tenue j'avais en tête, de peur que tu ne vienne en costume cravate.
Il m'arrive de faire des fixettes étranges, d'être anxieux pour des choses stupides et sans intérêt .


Quand ce matin je me suis réveillé j'ai perçu au loin les trompettes du jugement dernier retentir, c'était ce soir que nous avions prévu de nous revoir et je dois dire que je n'étais pas tranquille .
Toute la journée je me suis torturé l'esprit à savoir comment j'allais m'habiller, comment j'allais pouvoir t'aborder et de quelle façon j'allais avancer le fait que je ne serai pas seul ?
En réalité j'avais tellement eu envie de te revoir , de ne surtout pas perdre ce précieux lien qui nous unissait mais qui était encore si fragile que je n'ai pas réfléchis et ai profiter de cette soirée pour qu'on se retrouve .
Peut être aurai-je dû y songer plus longtemps, car maintenant au vu des sms que tu m'envoie, je ne peux plus faire machine arrière .
J'ai erré comme une âme en peine au fils des heures dans l’université éloignant tout personne désirant m'approcher d'un unique regard meurtrier . Je suis un garçon lunatique et je pense que ça tout le monde l'a bien saisit .

En y repensant mardi dernier , le lendemain de notre après midi au parc j'étais passé jusqu'à chez toi, comme ça par envie, notre si soudain rapprochement m'avait donné des ailes et je ne voyais donc aucun mal à venir directement te demander de tes nouvelles. Mais voilà, la veille au soir je l'avais passé dans les bras de ton cousin et ce dernier n'avait pas manquer de me rappeler toutes les atrocités que tu avais pu me faire vivre et moi faible comme je suis, influençable à t'en faire si souvent grincé des dents j'ai finis par me laisser embobiner mon doigt tendu près à appuyé sur le bouton de ton interphone s'est rétracté et j'ai choisis de repartir sans t'importuner .

Je pense que les paroles de Tae ne sont pas les seules raisons qui m'ont poussées à rebrousser chemin, je crois que je n'ai toujours pas confiance en toi alors un rien trop plausible me fait décamper .


Il est bientôt vingt-trois heures, je suis toujours planté devant mon miroir à passer devant mon corps entièrement nu plusieurs tenues susceptible de faire l'affaire pour cette soirée très spécial . J'ai finalement décidé d'assumer mes choix et je vais donc en profiter pour te tester, savoir si oui ou non tu es près à m'accepter . Tu ne connais pas le vrai Jae Jun celui que je suis désormais et c'est bien dommage , que tu l'accepte ou non mieux vaut que tu me découvre tel que je suis, sinon notre relation restera stérile .
C'est un gros risque de te faire entré dans mon monde par la grande porte, j'en suis conscient mais je suis un peu comme ça, je fonce tête baissée et ne réalise qu'après coup mes erreurs . Peut être qu'après cette nuit tu refuseras de me revoir ,je sais que cette virée est quitte ou double mais je ne peux plus reculer, et je crois n'en avoir plus envie .
Car plus j'y repense plus je vois ton regard confiant et ton visage sans sourire, tu sembles tellement persuader de me connaitre par cœur que je ne cherche qu'une chose, te prouver le contraire, je suis loin d'être si facile à analyser, sans doute qu'au file des mois tu finiras par me connaitre vraiment ,peut être même mieux que moi mais ce n'est pas en un weekend et une après midi que tu as pu faire ton bilan , c'est ridicule .

Je jette plus loin l'un des cintres et me laisse tomber, assit sur mon sofa, soupirant en donnant un coup de pied dans le miroir , je n'ai plus envie de me voir , me fixer trop longtemps me file la nausée.
Je survole par hasard mes nouveaux messages , mes doigts fins faisant glisser le curseur de l'écran tactile de mon téléphone et recherche le dernier que tu m'as envoyé. En relisant un peu notre dernière conversation je constate ne t'avoir pas mentionner le fait que je sois passé chez le coiffeur, peut être avais-je voulu te faire une surprise? Oui c'était sans doute ça.. En y repensant je passe une main dans mes cheveux, par automatisme et laisse mes doigts finir leur course dans ma nuque à présent dégagée. Je souris en coin, tant pis pour les fringues, passe au maquillage .

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MessageSujet: Re: Restart to continue ft Lee Gak    Restart to continue ft Lee Gak  EmptyMar 22 Jan - 14:35

Depuis quelques jours déjà je me demande ce que tu fais, je n’ose pas t’appeler, est-ce que j’en ai le droit ? Bien sûr, ça m’agace et je finis par ne pas t’appeler, car c’est de ta faute, tu m’adoucis et je n’aime pas ça. Pour autant, je souris à l’idée que tu puisses être dans le même état. J’espère que c’est le cas et sinon, je l’aurais mérité, un inversement de nos situations qui serait assez inattendu, mais je ne nierais pas l’avoir cherché.

Plus le temps passe et plus tu as l’air d’angoisser, tu me dis de bien m’habiller puis me donne des directives, crois-tu vraiment que tu vas m’initier ? Je ne suis peut-être pas l’exemple même de l’étudiant qui va souvent en soirée, pourtant, je sais ce que c’est, j’ai essayé et ça me convient même parfois de tout oublier. J’ai de plus en plus de mal à me faire à l’idée que tu m’acceptes, as-tu peur que je te rejette ? Es-tu en train de me tester ? Sans l’ombre d’un doute, tu cherches toi aussi à savoir si je suis digne de toi et c’est assez prétentieux, bien que légitime. Je souris néanmoins à tes remarques agaçantes, tenté de venir en costume, mais je ne le ferais pas, car toi tu n’en seras pas touché et les moqueries auxquelles je serais sujets ne te concerneraient pas.

J’opte pour une tenue sombre laissant entrevoir par endroits mes jambes et un haut des plus simple orné d’une veste et d’une écharpe chaudes, qui me couvriraient du froid lorsque la chaleur de la nuit me quittera. Pour l’instant je ne suis pas près de me lasser de cet engouement, car il me permet de ne pas trop penser à ce que toi tu risques de dire ou faire en me voyant. Je me coiffe, partiellement, une main passée dans mes cheveux, laissant un effet brouillon, mais, pour autant maitrisé. Je ne suis pas satisfait, quelque chose ne va pas. J’ai l’air encore trop solennel, peut-être le stress qui monte peu à peu, car je n’ai pas envie de te décevoir. C’est ridicule et je soupire pour finalement rassembler mes affaires dans la voiture et me rendre au lieu indiqué.

Tenue:

Je ne connaissais pas et ça ne me disait rien qui vaille, pourtant je fais l’effort et entre dans ce décor plus que surprenant, téléphone en main pour être bien certain de ne pas m’être trompé. Les visages se tournent et je comprends à peu de chose près pour quelle raison tu aimes trainer dans ce genre de soirée : pour être regardé. Mais je peux concevoir que de temps à autre, ça doit te faire du bien. Comme à moi en ce moment, je profite de ma gloire passagère avant d’atteindre le bar. On me serre un verre, gratuit et je ne crains rien visiblement, car la bouteille est ouverte sous mes yeux et le liquide précieux versé dans la foulée. Je bois, puis t’attends sagement. C’est nouveau, mais jusque-là ça ne me déplait pas.

Je voudrais dessiner toutes ces lumières et ces mouvements, ces regards qui ne demandent qu’à être exploités, ce vice qui en découle...

Je souffle, puis m’assois. On me demande si je cherche quelqu’un et je ne préfère pas donner ton nom, glissant simplement un merci et « je saurais me débrouiller ». Le tabouret à l’air de m’avantager, j’ose à peine imaginer la fin de soirée... ma journée avait été bien calme, fort heureusement, pour profiter de la folie du lieu et de la nuit qui m’attendait. Je préfère patienter encore malgré le second verre servi. L’ivresse devait venir de moi et non du breuvage aussi enivrant soit-il.

Avec un sourire, je finis par apercevoir ta silhouette, ou du moins à ce que j’en devine, parmi la foule. Je ne te distingue pas encore assez, plissant les yeux, aux aguets. Pourtant, je reste calme. Je me demande pour quelle raison ce soir, y a-t-il un motif ? Ou était-ce par hasard ? Je voudrais te demander, mais je ne le ferais pas. J’attends que tu me voies. On m’aborde et déjà le son des enceintes bourdonne, pourtant je prête toute mon attention à d’autres détails... des milieux de conversations don je suis le sujet, d’autres qui se cherchent et se trouveront en fin de soirée, des rires, des souffles, des baisers. Je me sens seul, dépêche toi d’arriver.
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MessageSujet: Re: Restart to continue ft Lee Gak    Restart to continue ft Lee Gak  EmptyMar 22 Jan - 15:43

A minuit quelqu'un frappe à ma porte . J'enfile ma veste sur mon petit débardeur imitation latex et je vais ouvrir, un grand sourire au lèvre.
Je dépose un baisé sur la joue du grand brun baraqué qui m'ouvre ses bras et referme la porte de mon minuscule studio derrière moi. J'ai besoin d'un chauffeur et c'est toujours mieux d'être accompagner dans ce genre d'endroit quand on a un physique comme le mieux, principe de précaution .
Je monte dans son véhicule et attache ma ceinture, répondant à ses questions usuelles sans grand intérêt, si je m'affiche et sors parfois avec lui ça ne veut pas dire que je souhaite entretenir une vraie conversation . Je fais une petite moue mignonne pour mettre fin à la discussion le laissant songeur et sors mon téléphone pour te demander si tu es bien arrivé:

Restart to continue ft Lee Gak  0QaId 1 NOUVEAU MESSAGE
JaeJie :
_________________________________________________________________
Salut ! Désolé j'aurai un peu de retard , tu es bien arrivée? Attends moi dehors ok?

_________________________________________________________________

Je me mord la lèvre en pressant entre mes doigts mon cellulaire, observant soucieux la route faiblement éclairée par les lampadaires des rues . J'ai peur que tu sois déjà arrivé , que tu sois entré et qu'on t'es un peu embêter, ce n'est pas une boite gay à proprement parler , mais dans ce genre de club il ne vaut pas craindre d'être aborder par un peu tout le monde.
C'est l'endroit où se regroupent toutes les personnes désirant faire des rencontre et des jeunes accros à la bonne musique et à l'alcool pas cher . La première fois que j'y ai mis les pieds ça aurai pu mal finir, complètement bourré et à moitié drogué je m'étais laisser guider aux travers des salons par plusieurs types peu recommandable qui nous dirigeaient vers un étage totalement privatisé, à l'écart de tout. Je ne dois mon salue qu'à un groupe de jeunes filles un peu plus âgé que moi qui m'ont repérées parmi la foule, parait-il que je baragouiner de courtes complaintes et geignements mais suffisamment crédible pour qu'elles les prennent au sérieux.
Elles m'ont sortit de là et l'une d'elle m'a raccompagnée en taxi, il m'a fallu presque deux ans pour pouvoir y remettre les pieds sans avoir envie de m'enfuir en courant . Et plus je me rappelle plus je me demande pourquoi j'ai voulu t'y emmener, j'ai peur pour toi un non initié qui plus est hétéro . Je me pince les lèvres et prie mon ami chauffeur d’accéléré un peu . Il s'exécute et je détache déjà ma ceinture quand je vois la boite se profiler face à nous . Hyung Dong n'est pas vraiment intelligent -j’irai presque dire que je n'ai jamais vu aucun lueur illuminé son regard- mais il n'en reste pas un bon gars sur qui on peut compter .Je sors de la voiture et sans faire la queue je rentre dans le club, suivit de près par mon garde du corps .Je traverse la foule, laissant ma veste à mon ami qui s'en saisit pour la caler sous son bras. J'avance assez rapidement, c'est assez facile quand les gens face à vous s'écarte pour mieux vous dévisager. Un petit rictus apparait alors sur mon visage mais je ne m'attarde pas trop, il faut déjà que je trouve mon frère .

Je m'approche du bar et je reconnais directement sa silhouette, soulagé je m'arrête , mon dos étroit rencontrant le torse massif de mon ami .

"C'est bon, va t'amuser je te fais signe si y'a un soucie "

Il s'éloigne et moi je reprend mon chemin, je calme ma respiration et fait fuir mon expression de stresse pour la remplacer par un sourire narquois, je suis fier de le faire venir en terre inconnue, le voir un peu moins sur de lui qu'à l'ordinaire . Je m'accoude au comptoir et le détaille distraitement, mes yeux le couvent un petit moment quand je le vois toujours cramponnait à son téléphone .

"Salut hyung ."

Je lui souris, nos regards se croisent mais très vite je baisse les yeux, en profitant pour observer son pantalon assez sympa, c'est d'ailleurs le genre de fringue que j'aurai moi même pu porter . Je prend place sur l'un des haut tabourets et commande une vodka citron avant de reporter mon attention sur toi .

"Désolé j'ai eu du mal pour me trouver une bonne tenue, tu n'as pas trop attendu ? "

Je dois me pencher bien sur toi pour que tu puisses m'entendre . Tu es mignon à paraitre si contemplatif, je suis certain que même déranger par ces lieux étrangers tu arriverais à nous donner une superbe toile , tu sais saisir l'instant sans le déformais, tu trouves toujours quelque chose d'intéressant là où les autres ne voient qu'un terrain de jeu . Un homme se penche près de toi et t'oblige à te décaler, je souris un peu gêné et le faire faire le tour de ta personne d'un simple signe de la main . C'est un type que j'ai rencontré et fréquenter pour une nuit il y a deux mois, maintenant à chaque fois qu'il me voit il croit qu'on va remettre ça et il jalouse les autres gars qui m'approchent ,même mes simples amis . On parle quelques minutes, je le fais partir vite en répondant froidement, je sais que je plais depuis maintenant presque six ans, alors j'y joue beaucoup , quand il est question de charmé et de plaire je suis loin d'être un tendre certains me surnomme même la Peste.
Je me rapproche de toi en glissant mes doigts sur ton poignet, je suis embarrassé peut être aurai-je du commencer plus doucement ?

"tu veux poser tes affaires? Tu vas avoir trop chaud si tu danses"

Mon sourire veut le conforter et le décidé à faire ce que je lui dit. Je remarque plus loin au bar une fille , une petite brune assez fine qui zieute depuis dix minute déjà mon frère . Je fronce les sourcils, je n'aimes pas ça ,il est venue pour moi . Je hausse les épaules, après tout toi aussi tu peux t'amuser . Doucement je tape sur ton épaule en portant mon verre remplis à ras-bord à mes lèvre et dirige mon regard sur la fille pour te signifier de le faire aussi.
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MessageSujet: Re: Restart to continue ft Lee Gak    Restart to continue ft Lee Gak  EmptyMar 22 Jan - 17:53

Je patiente docilement, depuis à peine quelques secondes que tu m’envoies un message. Tu es en retard et je me dis immédiatement que tu cherches simplement à repousser la confrontation, oui, mais pour quelle raison ? Aussi, tu te fais désirer, peut-être dans l’espoir de m’attendrir ? Mais tu ne sais pas encore que je suis plus calme lorsque je suis à l’extérieur, détaché de tout ce qui m’entoure d’ordinaire. Calme... c’est un bien grand mot, disons que je sais me détendre et que mon visage prend des expressions que tu ne me connais pas jusqu’alors. J’ai hâte que tu les découvres, tout comme j’attends avec impatience de te découvrir dans cet élément où tu fais tache, d’ordinaire. Surement autant que moi du moins.

Restart to continue ft Lee Gak  0QaId 1 NOUVEAU MESSAGE
Gak :
_________________________________________________________________
Je suis déjà sur place, je viens juste d’arriver, je suis au bar

_________________________________________________________________

Après avoir envoyé mon petit billet d’information, aussi rassurant soit-il, je range mon téléphone et bois mon premier verre. On m’en sert déjà un deuxième, mais pour celui-là je t’attends et prends grand soin de le prendre entre mes mains afin que l’on ne tente pas de me jouer un mauvais tour. Une habitude que j’avais prise en boîte, que de me méfier, car l’on est jamais trop prudent et que j’avais souvent assisté à quelques carnages... j’y vais participé même... du bon côté du mouvement. Tu ne le sauras pas ce soir, à moins de t’y faire prendre et encore je doute pouvoir te résister très longtemps...

Je regrette de ne pas avoir précisé que tu m’importunais, mais à vrai dire, l’écris est beaucoup plus violent que le mot lorsqu’il est dit sans la moindre once d’émotion.

Finalement te voilà, je te reconnais non seulement parce que la foule s’écarte sur ton passage et celui d’un homme beaucoup plus grand et musclé que toi, mais parce que tu es habillé d’une façon qui me laisse sans voix, mes yeux écarquillés trahissant ma surprise. Je ne dis rien pour autant, te laisse approcher en te renvoyant ton bonjour poliment, ne tiltant pas au mot « hyung » que tu as toujours employé et que j’intègre à peine.

Tu commandes puis t’excuses, t’étant rapproché de moi. Je connais cette ambiance, mais je ne me lasse pas de ces initiatives. Je te souris simplement, t’indiquant d’un mouvement de tête que non, je n’ai pas attendu. J’hésite à te complimenter... à vrai dire je préfère clairement t’indiquer mon point de vu, aussi flou est-il encore.

Tu.... ça te va bien, je ne m’y attendais pas. Mais ça te va bien.

Je ne peux pas le nier. Derrière moi, un homme, plus grand, et pour autant il ne me fait pas peur. Son poids pesant derrière m’agace et je suis à deux doigts de me retourner pour lui en dire deux mots. Tu n’as rien à craindre cela dit, même si je n’en ai pas l’air, je sais me battre... j’ai dû apprendre. Je soupire, comprenant à tes gestes que tu y es pour quelque chose et je ne préfère pas demander, tu connais simplement le lieu mieux que moi, autant ne pas savoir ce que tu y fais, ni même avec qui. Je me décrispe cependant, tu souhaites te débarrasser de ma veste et de mon écharpe. Alors, je retrouve mon sourire, bois cul sec et me lève partiellement du tabouret, une jambe tendue.

Si je peux la poser en ayant l’espoir de la retrouver en repartant... oui, je veux bien, merci.

Je bois, te suivant, avant de regarder dans la même direction que toi. Apparemment j’ai du succès, mais réellement ça ne m’intéresse pas. Je te regarde et fronce un sourcil, pourquoi es-tu si dur tout à coup ?

Si elle est intéressée, elle n’a qu’à venir, je ne suis pas là pour ça...

Elle n’a pas l’air bien dangereuse, mais j’aimerais voir ce que ça donnera en fin de soirée. En attendant, j’ai envie de bouger même si je n’en donne pas l’air, j’aimerais profiter, danser malgré le manque de savoir-faire dont je ferais sans doute preuve. Je t’entraine sur la piste à peine mes vêtements posés dans un vestiaire dont tu sembles posséder les clés. J’espère que tu comptais m’y emmener pour ça, car... te voir frétiller avec un autre ne me plairait pas vraiment. Nous pourrions agir comme deux frères, essayer de trouver chacun une belle jeune femme... ou en l’occurrence dans ton cas un jeune homme, mais je n’en ai pas envie, le contact d’un autre sur toi me répugne, car leurs yeux sont sales, leurs intentions mauvaises et le contact l’est encore plus, ne les autorisent pas en ma présence. Je saurais me maitriser, mais tout juste... je ne sais pas moi même d’où me vient cette réaction, je ne l’ai jamais eu avec quiconque... et pourtant, j’en ressens le besoin. Comme pour rattraper le temps perdu ou me persuader que je suis capable de te protéger.
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MessageSujet: Re: Restart to continue ft Lee Gak    Restart to continue ft Lee Gak  EmptyJeu 24 Jan - 20:42

Ton regard sur ma tenue me surprend un peu ,mais m'amuse aussi ,je trouve ça flatteur et je me dis que finalement j'ai bien fait de mettre autant de temps pour me décider, car j'ai réussis à faire mon petit effet.
Mon one night s'éloigne, nous laissant enfin . Je te souris en t'encourageant à retirer toutes ces couches de vêtement qui risqueront de te gêner plus qu'autre chose .Tu acceptes et je te fais traverser la piste, une main dans la tienne je ne m'arrête pas même quand mon nom est prononcé, sinon on en a pas fini .
Une fois devant les vestiaires le vigile nous laisse passer en me demandant comment je vais, je parle un peu avec lui en t'indiquant le numéro de mon casier, les bras croisés adosser au chambranle de la porte je continue ma discussion le temps que tu accroches ta veste sur un cintre au coté de la mienne et de celle de Hyung Dong. Tu reviens vers nous et me tend la clés, je salue chaleureusement mon ami et reprend ta main pour regagner le bar le plus rapidement possible et toujours en un seul morceau .

Je n'arrive pas à me sortir de la tête ta réplique plutôt tranchante de tout à l'heure à propos de cette fille qui te faisait les yeux doux. Pour quoi es-tu ici si ce n'est pour draguer et obtenir quelques numéros? Oui en premier lieu c'était pour que l'on se retrouve mais je n'avais pas dans l'idée que cela tourne en rancard, je n'aime pas quand tu arrives à me déstabiliser, pourtant j'y songe depuis une semaine mais visiblement je suis facilement influençable .

On est là , face à face sur la piste, plusieurs corps nous frôlent, d'autre nous colle carrément mais ce n'est pas pour autant que je cherche à les fuir. Toi tu as l'air totalement décontenancer, mais bien vite ce trouble se transforme en dégout, pourquoi cela te répugne tant? Je suis peiné parce que d'ordinaire je fais partit de ces gens là, alors cela veut dire que si nous ne nous connaissions pas, tu éprouverai la même répulsion à être près de moi. Je ferme les yeux, je crois que je n'aurai pas du t'inviter ici , tu n'es pas du même milieu que moi, tu ne connais rien à ce monde de visse, et je m'en veux de noircir ton âme un peu plus encore.
Une main se saisie de mon poignet et une bouche fine vient se coller à mon oreille, je n'écoute qu'à peine ce que cet inconnu me propose, ton regard braqué dans le mien j'articule un oui de défis.
Il me tire alors avec lui et je me saisit de ton poignet par la même occasion ,ne te laissant pas le choix de nous suivre.

On monte plusieurs marches et arrivons enfin dans un carré privé, je ne ressent plus la même crainte qu'auparavant, peu être que ta présence me rassure aussi? Je m'assoie dans le canapé attrapant le verre qu'on me tend sans chercher à savoir ce qu'il y a dedans . Toi tu reste dans un coin,debout ,la petite brune est déjà là elle ne semble pas à l'aise, je souris en coin en laissant une main se poser sur ma cuisse, cette sale allumeuse est une habituée des lieux .
Mais pour une personne non avertie comme toi il est dur de t'en rendre compte . Ici on fait la fête pareil qu'en bas mais il y a moins de monde c'est donc plus facile de faire des rencontre. La pièce n'est pas bien grande, elle est encombrée de deux long sofa couleur carmin et d'une large table basse déjà recouverte de verres et diverses bouteilles de champagne il y a aussi quelques sachets de poudre blanches qui traines ici et là, mais je n'en consomme pas . Ce n'est pas une salle VIP à proprement parler, tout le monde peut y accédé et elle n'est pas fermer, on peut donc se pencher par dessus la rambarde du balcon pour observer les autres danser sur la piste .

Un jeune homme se met à me parler je lui répond et rentre dans son jeu, le laissant me peloter gentiment en continuant de me baver dans le cou tout les compliments que mon physique lui inspire , je glousse un peu tout de suis plus timide quand lui se fait entreprenant . Je sais que tu es là, que tu dois parfois nous surprendre entrain de rire si proche l'un de l'autre mais ton regard de tout à l'heure m'a tellement blessé que je veux te provoquer te prouver que tu te trompes sur moi, que tu avais raison de me haïr .

"C'est qui lui? "

Me souffle t-il alors que ses lèvres parsème ma nuque de baiser appuyés et de plus en plus osé, sa main remontant vers l'intérieur de ma cuisse. Je glousse , un oeil fermer je tente de diriger mon regard vers l'endroit où son doigt pointe, et mon sang ce glace.....Pourquoi me regarde-tu ainsi ? je remarque que tu as carrément pris une bouteille, tu l'as pratiquement finis et ton regard est voilé par l'alcool ,je souris alors, fermant les deux, et basculant la tête en arrière grisé par ses attouchements :

"C'est mon frère ..."

D'un faible signe de la main je te demande te de rapprocher, tu le fais et cela m'étonne mais tu as besoin d'être près si tu as envie de ne pas me rater quand tu jettera cette bouteille. Doucement je repousse le brun à mes coté et demande à un autre de se pousser. Reprenant mon souffle et terminant un quatrième verre je te laisse le temps de t'assoir avant de venir chevaucher tes cuisses et prendre ton visage en coupe .
Durant un long moment on se considère, je n'arrive pas à savoir ce que tu pense et la colère me gagne .Je ne l'aurai pas fait si j'aurai pu comprendre ce que tu ressentait vraiment, mais tu m'as poussé à agir . Brutalement je plaque ma bouche sur la tienne, mes doigts se pressant contre tes joues pâles. Autour de nous le silence ce fait, je crois même que le type m'insulte et se tire, écœuré de voir deux frère se rouler une grosse pelle .
Je souris content de mon petit effet, et continue de plus belle, laissant ma langue frotter contre la tienne, la caresser et les entrelacer ondulant sensiblement des hanches pour te torturer un peu plus .
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MessageSujet: Re: Restart to continue ft Lee Gak    Restart to continue ft Lee Gak  EmptyVen 25 Jan - 18:09

Tu es fier de ton petit effet, il y a de quoi, tu ne m’auras sans doute jamais vu si surpris. Je me mords la lèvre en te laissant me guider vers les vestiaires. Tu sembles être dans ton élément ici et c’est bien ce qui m’effraie. Ton univers est extrêmement brutal en comparaison du mien, pourtant je fais des efforts pour l’accepter.

Lorsque tu me signales un regard posé sur moi, je m’indigne. J’apprécie évidemment que l’on me remarque, mais principalement je suis venue pour passer la soirée avec toi et tu sembles en être étonné. Peut-être n’as-tu pas compris le sens de mes paroles. Il est vrai que j’aime te laisser hésiter sur leurs significations avec un sourire je t’entraine sur la piste et m’offusque quant à certaines mains un peu trop baladeuses pour moi. Je préfère faire dans la sensualité, le jeu évolutif et surtout réciproque, car ça ne l’est pas, on m’impose des choses que je n’apprécie pas.

Tu m’entraines finalement à l’étage avec un homme qui te collait un peu trop à mon gout et te laisse faire en riant, tu aimes tellement ça pour te laisser abuser par ce genre là ? Je soupire, puis commande en voyant cette ravissante jeune femme qui avait visiblement bien plus envie de faire connaissance que je ne le croyais. Autant sourire et jouer le jeu. Nous trinquons à une raison inutile à mes yeux que je ne retiens pas, t’observant parfois. On te pose une question, sans doute, puisque tu me regardes et me désigne comme ton frère. J’en frissonne d’horreur. Comment pourrais-tu m’appeler ainsi ? Ton regard a changé. Tu me demander d’approcher et je m’exécute, sans doute trop curieux et agacé par ton comportement, comme celui de tes petits copains. Je te laisse faire et l’alcool dans mon sang me rend plus lent, je n’ai pas su te repousser, tu m’embrasses langoureusement, comme si tu avais un quelconque sentiment pour moi. Je te serre un peu plus contre moi, trouvant cela mesquin, mais tu l’as cherché.

Bizarrement, tu fais battre mon coeur à une allure insoupçonnée de ma part, si bien que j’en veux encore plus, de cette sensation qui me donne l’impression que je perds le contrôle... et que je vis, un peu. Mais tu me déranges, et alors que tu reprends ton souffle, je ne te lâche pas, te regardant dans les yeux. Ça m’agace... vraiment, mais je préfère mille fois que tu passes la soirée avec moi qu’avec l’un d’eux et je serais presque prêt à faire le sacrifice d’une nuit pour toi... estime-toi heureux, vraiment, car je n’aurais jamais pu faire ça... si je n’avais pas une certaine dette envers toi. Je crois aussi que l’alcool et le fait que nous soyons un peu plus proches y est pour quelque chose.

Tu n’aurais pas dû jouer avec le feu, car tu sais ce qu’on dit ? On finit toujours par se bruler...

Et j’étais très calme en prononçant mes mots, allant enfouir, mon visage contre son épaule pour mordre ta peau si délicate, une main autour de ta taille, l’autre dans le creux de ton dos, te forçant à garder une position, telle que ton corps ne se délit pas du mien. Ta tenue doit surement rendre les choses plus difficiles encore, tu n’as pas choisi la bonne matière pour rester calme et je souris déjà à savoir qui de nous deux sera le plus effrayé par les avances de l’autre.

Je vois déjà la jeune femme qui plus tôt m’avait repérée, se délecter de la scène, espérant peut-être pouvoir y participer ou bien que je lui revienne, mais je n’en avais aucune envie, et ce, depuis le début. Je crois que j’avais en tête de passer la soirée avec toi bien avant que tu m’appelles et même si ça n’était pas pour cette raison là, je ne m’en plaindrais pas... peut-être seras-tu déçu de ne pas obtenir ce que tu souhaites, ou bien satisfait contrairement à moi qui me laisserais succomber entre tes bras, tout est possible. Je souffle une nouvelle fois dans ton oreille, car tes mouvements se font oppressants et je te laisse reprendre place à mes côtés.

Lorsque nous serons seuls, j’aimerais en parler... sagement, malgré ma frustration. J’ai l’impression que tu te sers de moi ou que tu attends que je me laisse aller un peu plus, pourquoi me testes-tu aussi violemment ? Je ne t’ai pas forcé de mon côté, si ? Je me demande ce qui peut bien te pousser à y aller si fort, peut-être en as-tu marre d’attendre, un peu comme moi, peut-être que tu veux déployer tes ailes mêmes avec moi... et je ne t’en voudrais pas pour cette raison, seulement, lorsque les tiennes s’ouvrent, les miennes se rétractent à moitié, car j’y suis un peu moins habitué... je pense qu’un juste milieu viendra trouver son fort, dans quelques jours, mais ça n’est pas de si tôt que tu me feras accepter ce monde... pour autant je fais l’effort d’être ici et de me tenir tranquille sans la moindre remarque, don tu as déjà connaissance, sur l’innocence que j’aime chez toi et que tu perds peu à peu, noircie par les âmes impures de tous ces gens que tu fréquentes.

Il y a certes des exceptions, mais elles sont plutôt rares et même si je ne te connais pas assez, tu as toujours eu tendance à te rapprocher du danger que de t’en éloigner. Dois-je assumer mon rôle de « grand frère » ce soir ? Ou quelque chose qui s’en rapproche ? Car il est évident que depuis le début, nous n’en sommes pas... et ne nous considérons pas comme tel... était-ce ça que je me cachais à moi-même depuis tout ce temps ?

Je pense que j’ai eu ma dose d’alcool pour la soirée. Je t’avouerais très honnêtement qu’après ça, je ne sais plus comment profiter de cette dernière... mais je vais finir par trouver, je pense. Oh, une dernière chose...

Avant de me lever ne serait-ce que pour dégourdir un peu mes jambes qui sous ton poids se sont crispées malgré moi, je glisse une dernière parole à ton oreille. Je ne compte pas descendre, juste aller évacuer ce que j’ai bu...

Sois sage ~

Je te souris, malicieusement, et m’en vais quelques instants, succombant presque en posant ma tête bouillonnante d’idées sur le carrelage froid et marbré du mur. Je soupire, puis sors une fois requinqué, attrapant l’homme qui avait pris ma place, pour mieux l’éloigner de toi. Hors de question qu’il t’approche... lui, comme les autres. Ce soir, tu es avec moi, tu l’as décidé, non ? Ce n’est ni un rencard, ni une punition, j’exprime une certaine possessivité avec toi que je ne saurais expliquer, ne m’en veut pas... je te veux simplement pour moi, je crois.
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MessageSujet: Re: Restart to continue ft Lee Gak    Restart to continue ft Lee Gak  EmptyVen 25 Jan - 18:38

Nos langues se caressent avec tellement de sensualité qu'une demi seconde je me laisse porter par mes envies, par le plaisir que m'offre nos deux bouches l'une contre l'autre, sans me soucier du but premier de mon approche, faire éloigner ce type qui me collait bien trop.
Je reprend mes esprits quand tes mains pressent mon corps contre le tiens, tu me gardes jalousement à l'étroit, je gémis d'inconfort alors que tes lèvres s'emparent des miennes encore une fois ,faisant taire mes faibles protestations .Je réalise que tu n'as pas du tout été déstabilisé par mon baiser , pire encore tu as décidé de jouer le jeu et de répondre avec beaucoup d'entrain à l'échange .Et ça me fout encore plus en rogne, parce que pour une fois je pensais contrôler les choses.
Je me débats plus sérieusement mais toi tu ne sembles pas réagir, pire encore tu as ce sourire niais aux lèvres qui me mets hors de moi, tu ne me prend pas au sérieux, je ne parait pas crédible à tes yeux , je te fais bien rire .
Mon corps maigre se décale et je peux enfin retrouver ma place sur le sofa rouge bordeaux . Je détourne la tête à bout de souffle je m'essuie brutalement la bouche du revers de la main ,j'en viens même à cracher par terre tant le souvenir de tes lèvres sur les miennes me répugne .Que crois tu? Que je profite de ce moment pour me rapprocher? Rattraper le temps perdu ou tenter de créer quelque chose?
Laisse moi rire abrutit, peut être que toi tu as décider de tourner la page sur notre passé commun ,mais moi pas, je n'ai jamais oublier toutes les tortures que tu m'as infligé à l'adolescence, tu jouais avec moi qui étais encore trop faible pour riposter ou pour ne pas me mettre à culpabilisé. Avant que Tae n'entre vraiment dans ma vie je me touchais en pensant à toi, pauvre connard ; j'en pleurai, je me sentais si sale .

Tu te relève pour aller je ne sais où ;cette salope est encore là à te faire les yeux, doux, mon poing se serre contre ma cuisse alors que je vide un autre verre de champagne cul-sec . Je suis en colère, rien ne se passe comme je l'aurai voulu, comme je l'ai décider, je souris en coin ,la dernière arme qu'il me reste c'est mon corps ou plutôt se que j'en fais , ça te dégoute non? Si jamais je te choque tu me lâcheras et tu arrêteras peu être de croire que tu m'as en ton pouvoir. Sans réfléchir je me lève et vais vers un autre canapé, je monte sur les cuisses d'un des hommes qui commence déjà à me toucher, il est complètement shooter et à cette constations l'envie est trop forte, j'ai envie de me détruire un peu plus pour que tu te sentes coupable, que tu réalises toutes tes erreurs .
Je l'embrasse à pleine, bouche, mon bassin ondulant vulgairement sur son sexe déjà en érection mais toujours emprisonner dans ses bats serrés. Je jappe contre sa bouche comme un parfait soumis, j'éprouve une telle rage que je pourrai faire bien pire, mais quelque chose au plus profond de moi me force à freiner mes ardeurs, je t'entends remonter et ferme doucement les yeux, si je ne m'étais pas retenue tu m'aurais surpris la tête entre les jambes de ce gars .
Je me relève alors, il essaie de m'attraper le bras mais me lâche bien vite, une autre proie à prit ma place et c'est tant mieux, pas envie de devoir donner des coups pour me faire entendre. Je ne prend même pas le temps de te regarder, je descend plusieurs flutes disposées sur la table basse en verre et regagne l'escalier que je dévale à une allure folle, je veux te fuir, te laisser dans ta merde comme tu 'las toujours fait avec moi, crève Lee Gak .

Titubant j'arrive au vestiaires et récupère mon veston, je laisse un mot à mon chauffeur puis repars, je ne vois même plus droit et tout autour se met à bouger, je crois que dans les verres il n'y avait pas que de l'alcool ou bien je suis trop bourré pour foutre un pied devant l'autre. Je sors de la boite et réprime une envie de vomir quand le froid de l'extérieur me saisit aux tripes, je pousse un fort gémissement plaintif en me retenant au mur de briques sales de l'impasse, la tête penchée en avant je ravale ce qui tente de remonter et ris bêtement, mon cœur oppressé par la solitude, une scène de déjà vu se rejoue alors, moi ,seul dans cet endroit désert, complètement bourré mais toujours poursuivit par ses tourments .
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MessageSujet: Re: Restart to continue ft Lee Gak    Restart to continue ft Lee Gak  EmptyVen 25 Jan - 19:38

Je t’embrasse et tu n’apprécies pas, je te charrie même et tu craches par terre. Je ne comprends pas ce que tu veux et je soupire, allant donc un moment m’aérer tandis qu’en revenant je te trouve dans une position assez inconfortable. Tu as l’air d’aimer ça... et j’affiche un visage indifférent, je n’aime pas... pourtant, je fais l’effort de ne rien dire. Mais ça ne te plait pas non plus, car tu t’en vas et j’ai du mal à te suivre. Mais pourtant j’y parviens, car au dehors tu as du mal à attraper un taxi. Moi aussi, j’ai mal... j’ai envie de vomir, mais je ne saurais te dire si c’est à cause de ta réaction ou du changement soudain de température. Je souffle, t’attrapes le poignet, un peu violemment peut-être, mais ce n’était pas le but. Je t’entraine un peu plus loin de la boîte, sans pour autant nous cacher, je veux juste parler sans qu’on ne risque de nous importuner. J’ai retrouvé mon visage sérieux, celui que tu connais si bien.

C’est quoi... ton problème ? Je ne comprends pas, je ne sais pas ce que tu veux, je fais des efforts pour supporter tout ça... et toi tu me pousses à bout pour ensuite t’en aller, c’est quoi... explique toi... parce que je ne comprends pas.

Je souffle un bon coup, donnant un coup dans un petit muret plein de neige qui vient donc me mouiller le pied. Je n’ai pas mal, je me sens bien, parfaitement bien. J’ai dessaoulé je crois, ou à moitié, en tous les cas ça me laisse une sensation si désagréable que je vais t’en vouloir, oh oui... crois-moi. Je te regarde à nouveau, m’approche, j’hésite, j’ai une envie terrible de te donner la gifle que tu mérites, mais je t’ai promis... et je n’aime pas trahir mes principes.

Tu m’agaces... je sais, je sais tout ça, je sais que j’ai de quoi être puni par toi, mais je fais des efforts pour que ça se passe bien... tu l’as toujours espéré non ? Je ne sais même plus ce que je dois faire, j’espère que tu es content ? Tu voulais peut-être me tester ? Satisfait ? Allé, dis-moi donc ce qu’il en est... j’en ai marre là, si tu ne voulais pas de moi tu n’avais qu’à pas m’inviter... mais le seul idiot à être venu, c’est sans doute moi... d’y avoir cru, tu parles...

C’est assez rare que je me mette à parler autant, et le pire est que je ne cris même pas, mon ton est plus élevé parfois, sans pour autant que je cris, je crois que je suis tellement indigné que je risque même de me mettre à rire dans la minute. Je souffle un bon coup, m’appuyant sur mes genoux, car j’en ai marre de faire les cent pas devant toi. Je relève mon visage et t’observe... tu veux quoi ? Dis-moi, à la fin, qu’est-ce que tu veux ? Te venger ou que tout change ?

Je ne t’ai jamais parlé aussi familièrement, je me laisse aller sans doute avec l’alcool, qui n’est pas totalement évacué... tu dois être content, me voir comme une personne ordinaire, même si je ne le suis pas... je ne l’ai jamais été, tu me l’avais dit toi même et je t’ai renvoyé le compliment, car pour moi s’en était un. Je souffle, j’ai froid, je tremble, de colère ? De frustration ? De froid ? Je ne sais pas.

Je ne te dirais pas pardon, non... j’étais prêt à le faire, un jour, quand je m’en sentirais le courage... quand j’aurai assez de cran pour pouvoir te dire sans crainte que tu ne me rejettes ces quelques mots, mais je vois bien que tu me ris au nez... je ne dis pas être le gentil de l’histoire, mais trainer quelqu’un dans la boue quand il tient à se racheter... bref. Tu es un adulte de toute façon, tu as choisi ton monde, je l’ai bien compris ne t’en fait pas... et le pire étant que j’étais en train de l’accepter peu à peu, cette part de toi que je connais à peine... dis moi, dis moi ce que je dois faire, parce que tu me rends complètement fou... ça m’énerve

Je m’appuie au sol, m’étant laissé glissé contre ce muret, la tête en arrière, je ne te regarde même pas, je suis livide, je crois que je vais vraiment vomir... je me redresse, trop d’émotion, ma tête tourne et finalement, plus loin je rends ce que j’ai ingurgité. Je tousse et crache, je déteste ça... j’espère au moins que ça te fait plaisir, parce que si tu venais à décider de me piétiner, tu n’aurais plus aucune chance de me voir ni dans cet état... ni même aussi amical et patient. Décide-toi... parce que je ne comprends plus rien, ou du moins, explique moi...
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MessageSujet: Re: Restart to continue ft Lee Gak    Restart to continue ft Lee Gak  EmptyVen 25 Jan - 20:39

Tu t'approches, je pense enfin que tu vas réagir, que tu vas laisser entre voir ton vrai visage celui que tu m'as toujours montrer, tant d'années qu'à présent je refuse que tu sois bon avec moi.
Mais non, pourquoi je ressens cette déception? Je le savais bien que dans mes actions toi tu ne verrais là que de la provocation à deux balles, sans fondement, plat comme mon âme .
Mais tu n'es qu'un idiot,tu me déçois, arrête de réfléchir, de vouloir toujours m'analyser, tu es à coté de la plaque , tu ne vois pas le problème dans son ensemble, tu ne cherches pas à comprendre . Je reste stoïque sous tes mots, l'alcool a eut vite fait de s'évaporer ne laissant plus derrière elle qu'un gout aigre dans ma gorge et des brulures aux creux de mon ventre . La drogue avaler par inadvertance fait quand à elle toujours son effet, elle me vrille les tempes et me pille le cerveau, je n'arrive plus à comprendre tes mots, mais je vais déverser tout ce que mon cœur supporte depuis tant d'années,sais tu combien de fois j'ai parler face au miroir de notre salle de bain? J'abordais des traits fermes pour paraitre inébranlable, je voulais te déstabiliser pour te mettre un genoux à terre, et t'achever d'un dernier coup au cœur :

"J'ai envie que tu m'arrêtes! Que tu me poses des limites, que tu me portes tout simplement de l’intérêt! J'aurai tout fait pour toi, même maintenant j'en serai capable ! J'ai besoin que toi aussi tu m'aimes,que tu me prouve que je ne suis pas insignifiant! que je ne suis plus cette tâche que tu voulais faire disparaitre de ta vie plus jeune , que je ne suis pas qu'une page que tu veux tourner comme les autres ! Je ne veux pas être le muret que tu franchis d'un seul élan , je veux que tu t'écorches les mains en cherchant à m'escalader, que tu y perdes la raison et que tu finisse par abdiquer, comprendre que tu ne gagneras pas toujours! mais que tu feras avec parce que ça ne démontrera pas ta faiblesse, juste que tu es humains , que tu es celui que j'ai toujours attendu ....Celui qui aurai du venir me sortir de là les fois où je l'ai prier si fort que les carreaux en ont tremblés, je veux que tu te rachète en étant honnête pour la première fois de ta vie, avec moi laisse tomber ce masque, ne soit plus le Lee Gak des apparats je veux qu'il n'y ai plus que toi et moi, Jae Jun et Gak hyung .... Ai confiance en moi ....et je te pardonnerai tout ....même tout ce que tu ignores."


Ma voix n'est plus qu'un souffle, je relâche le col de sa veste et crache le sang que j'ai fait jaillir en me mordant si fort l'intérieur des joues .Je l'ai bien mérité, et je ne t'en voudrai pas, je veux que l'on soit d'égale à égale, que tu me considère comme un homme à la hauteur de tes attentes, que tu arrêtes de me mépriser parce que tu n'as aucune idée du pourquoi je suis devenue ainsi .
J'ai suffisamment murie pour effectuer un travail sur moi même ,seul sans aide extérieur, et j'ai compris que toute ces années je m'étais cacher sous mon enfance douloureuse pour excuser mes tords, et il ne fallait pas .Chaque être humain à des choix à faire, il doit pouvoir refuser la voie qu'on lui soumet si celle si ne lui convient pas, et moi je n'ai pas fait ça ,j'ai foncé tête baissée dans ce monde que je savais répugnant, je voulais choqué, parce que ce sentiment fait forcement naitre de l'intérêt pour quiconque le ressent . J'ai choisit le chemin de la facilité, c'était tellement plus simple d'écarter les cuisses chaque nuit pour des hommes différents plutôt que briller dans un domaine noble, j'ai ma part de responsabilité dans la merde qu'est devenue ma vie, elle est certainement plus grande que celle de ta mère ou même la tienne, parce qu'au file des années, je me suis complais là dedans, j'étais déjà dans le troue mais j'ai continuer de creuser, dans l'espoir de faire réagir quelqu'un à qui je tenais , sans résultat ..
Je ne me pensais pas aussi à bout ,mes nerfs lâchent complètement, je flanche réellement pour la première fois de ma vie . Mes sanglots se transforme en cris déchirant, je n'éprouve plus une once de rancœur , ni envers toi,ni envers celle qui t'as donner là vie, car sans elle ...tu ne serais pas là .

D'une main tremblante je reboutonne maladroitement ma veste, je veux garder bonne figure devant toi alors que je n'ai qu'une envie, m'enfuir en courant, te faire oublier jusqu'à mon nom . Mais je sais qu'après ça je ne pourrai jamais plus m'en remettre ,tu es entré dans ma vie, la nouvelle celle que je me suis construit si pathétiquement, ou tout du moins essayer de créer sur des bases nouvelles, celles que j'avais moi même forger et qui au file des années se sont écrouler .. Je ne peux plus t'ignorer, alors essaie toi aussi de m'être utile, remplir le rôle que je t'ai toujours attribuer je ne te veux pas comme un frère, mais sois là pour m'épauler, me soutenir et me redonner le sourire, je ne sais pas comment qualifier ça ,mais ça m'est tellement vitale que tout mon être brule d'envie de te le hurler ,aime moi comme je l'ai toujours fait, pour une fois néglige toi , tais tes souffrances pour prendre soins des miennes, moi qui est depuis trop longtemps fermer mon cœur et mes yeux pour ne pas risquer de recommencer mes conneries , de marquer ma peau à m'en faire saigner, de quitter mon monde pour rejoindre celui stérile des hôpitaux, remplace ces comprimées qui me maintiennent en vie et règles mon humeur , deviens essentiel à mon existence .

On est là face à face et je n'hésite pas, ma main passe sur tes lèvres que j’essuie du bout des doigts, elles sont souillés par ce que je t'ai forcé à boire , je ne suis pas dégouté, c'est mon rôle d'être là pour toi dans les moments difficiles, mais sache une chose, moi je l'ai toujours été mais il n'y a que récemment que tu me laisse t'approcher alors que toi la porte t'étais grande ouverte mais tu as refuser de la franchir jusqu'à aujourd’hui . Je l'entre ouvre de nouveau mais se sera là dernière fois, viens avec moi Gak , oublions ceux qui nous ont forcer à vivre ensemble, et continuons notre route comme deux adultes consentant, considère moi comme ton allié, parce que je lai toujours été.
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MessageSujet: Re: Restart to continue ft Lee Gak    Restart to continue ft Lee Gak  EmptySam 26 Jan - 17:40

J’essaye tant bien que mal, et je n’y parviens pas. Tu m’agaces, j’ai beau faire des efforts ils sont vains et je me retrouve à te demande pourquoi, car je ne comprends plus rien. Finalement, tu éclates, tu me balances tout à la figure. Tout ce qui te fais mal, ce que tu voudrais, tout ce qui doit changer. Je n’avais rien compris, mais comment puis-je deviner moi qui ne te connais pas, toutes ces choses-là ? Je ne souris pas, loin de là, tu avais déjà ce que tu voulais, seulement mon visage sans expressions et ces efforts pour te prouver que j’apprécie connaitre ton monde ne faisaient que t’agacer un peu plus. Tu es à bout de souffle et je manque de souffle à ta place.

J’ai voulu faire l’effort... mais tu voulais simplement me soumettre... que je perde la tête... tu as raison, j’aurais du te le montrer, mais d’une certaine façon je voulais que tu sois fier qu’en toutes circonstances je pouvais me tenir... on dirait bien que non.

Je me mords la lèvre et sourit, la tête appuyée contre ce muret. Je n’aime pas te regarder dans les yeux dans ce genre de moment. Tu as très certainement dû le remarquer lorsque tu es venu chez moi... j’ai du mal à laisser le voile tomber, mais le pire étant certainement que tu l’as déjà vu. Ne me rejette pas parce que j’ai du mal... il faudra du temps. Je ne te demande pas des années, non.

Tu cherches à me déstabiliser, ce que tu ne remarques pas c’est que tu gagnes à chaque fois ces derniers temps... même si je n’en ais pas l’air... je ne sais pas quoi faire Jae Jun... je ne sais pas quel comportement adopter avec toi, je n’ai jamais su, mais je veux la même chose que toi pourtant... alors, ne m’en veut pas d’avoir mal agi ce soir...

Tu voulais que je te pose des limites ce soir, mais tu ne m’as pas fait signe. Si tu me dis que ce ne sont pas mes affaires, comment pourrais-je savoir que tu veux aujourd’hui, en cette soirée, que je m’en mêle ? Ce n’était pas l’envie qui manquait... je soupire, puis tire ton bras doucement. Tu étais en face de moi et je te regardais sans mot dire, un silence angoissant prenant place. J’ai besoin de te prendre dans mes bras, de te prouver peut-être que j’ai de l’estime pour toi.

Peu de personnes ont la chance d’obtenir une étreinte... tu m’as vu faible, les larmes dévalant mes joues. Je ne t’ai pas repoussé après cela... au contraire. Si je n’avais pas d’estime pour toi, crois-tu que je t’aurais ouvert dans un état pareil ? Crois-tu que je t’aurais gardé avec moi sous la couette, que j’aurais fait fleurir cette rose dans ton verre... nous envoyons chacun des signes que l’autre ne voit pas... mais puisque nous le savons à présent, tout changera, n’est-ce pas ?

Je le sais, que tu seras difficile à vivre, que tu vas vouloir me voir dans le même état que toi, lorsque nous étions enfant... que tu veux un peu ta revanche et tu en as le droit, mais puisque tu es plus clément j’espère que tu ne me laisseras pas espérer sans avoir la chance que je t’ai donnée en retour. Je t’éloigne de moi, très légèrement, mes yeux dans les tiens. Que devrions-nous faire ? Est-ce que je suis sensé te dire ce qui me déplait ? Ce que j’aime ? T’imposer de ne pas y retourner ?

L’homme qui t’accompagnait tout à l’heure a refait surface en me regardant d’un oeil mauvais, pourtant, je n’ai rien fait et je lui rends son regard, du mieux que je peux, me remettant debout en même temps que je t’aide.

Ne me regarde pas comme ça... je ne compte pas lui faire du mal, bien au contraire.

Je n’ai pas le temps de finir ma phrase qu’il me frappe au visage, me sonnant légèrement. Je ne comprends qu’après réflexion, cette phrase était mal tournée. Ton alcool a eu raison de ma verve et je souffle, j’ai mal. Je le pousse violemment cet idiot, mais je ne peux pas lui en vouloir, il ne voulait que ta protection.

Imbécile, pas dans ce sens-là ! Je suis son frère...

Je n’arrive pas à le dire comme il faut, je t’embarque avec moi, ta main dans la mienne, me demandant ce que nous allions faire. Mais très sincèrement, je n’ai pas envie d’y retourner. J’ai besoin de te le dire, puisque tu veux que le masque tombe, il va tomber. Je souffle un bon coup, prenant mon courage à deux mains.

Il est hors de question qu’on te pelote devant moi, c’était assez difficile à supporter, ta vie sexuelle ne me regarde pas, je le sais bien, mais pas devant moi... ils ne te méritent pas... tous, combien ils sont

Pas même ce jeune homme qui est plus imposant que moi encore et je prends grand soin de le regarder dans les yeux pour prononcer mes mots. Je veux te demander, par curiosité, si tu veux rester où non, mais tu n’es pas en état... non...

Je t’emmène chez moi ou tu préfères que l’on reste ?
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MessageSujet: Re: Restart to continue ft Lee Gak    Restart to continue ft Lee Gak  EmptySam 26 Jan - 21:53

Je n'aime pas tes réponses, tu es entrain de me démontré que moi aussi je n'ai pas su ouvrir les yeux, et c'est faux je n'allais simplement pas accepter de devenir cet allié pour toi alors que toi tu ne voulait pas faire d'effort pour me comprendre.
J'ai été honoré ce soir là que tu me laisses te voir si faible, mais je ne pourrai pas longtemps me reposer sur cette maigre preuve de confiance, j'ai besoin de plus ,de bien plus ,soit honnête simplement , c'est tout ce que je te demande .
Doucement mes grands yeux rougis se relève et se plonge dans les tiens, mes dents blanches percent ma lèvre inférieur, je te regarde quand tu continues de m'accabler, pourquoi tout simplement ne pas me demander pardon? Pourquoi toujours chercher à te justifier?
Peut être parce que nous ne sommes pas dans un film? Que toi tu n'es pas le faux méchant qui devient gentil vers la fin ,après t'être repentit . Tu devrais parfois prendre exemple sur ces faux héros, tu en apprendrais bien plus que ce que le monde dans lequel tu vie t'inculque comme règles. Je fronce les sourcils ,je tangue légèrement , le sol semble se dérober sous mes pieds et je plaque une main sur mon front pour me stabilisé, un haut de cœur me prend encore et je ravale ce qui remonte , encore une fois .

Un bruit sourd derrière moi me fait légèrement sursauter, je sens qu'on m'écarte et je ne me retiens pas, cette fois je chute et crache quelques gorgé de champagne tourné . Je geins plaintivement en toussotant, la tête pencher en avant les mains trempées par ma salive . Je t'entend faire ton malin et mon ami ne l'accepte visiblement pas. Tu t'en prend une et tu lui répond en le poussant violemment, ses pieds frôlent mes mains, je couine de peur et me laisse tomber en arrière, assit sur mes fesses .
Tes paroles avaient un double sens que je ne saisit que maintenant, je ris bêtement car tu as mérité ton coup , j'aime Hyung Dong car il me protège, et ne demande rien en retour, il est gay mais je ne suis absolument pas son genre.
Tu me saisis par le bras et me relever, je ronchonne complètement amorphe , la drogue m'assomme , mon maigre organisme n'arrive pas à l'éliminé, je tremble entre tes doigts mes lèvres se décolore tout comme mon teint que je devine livide . Tu me remets droit et me pose une question je sens dans ta voix qu'elle signifie beaucoup , selon ma réponse nous allons savoir dés maintenant si nous continuerons à nous voir ou non .
Je ferme les yeux, tu as dit que j'étais ton frère, je sais que tu voulais la paix, mais ça me fait tellement de bien que j'en souris , tendrement je te regarde remuant grossièrement la tête:

"Chez moi, chez moi viens "

Je passe un bras autour de ton cou et fait un petit signe à mon ami toujours rester là pour avoir ma version des choses, il me fait un petit sourire confiant puis retourne à l'intérieur, je ferme les yeux la joue mollement appuyée sur ton épaule couverte, je geins encore, un petit marteau s'amuse à frapper l'intérieur de mon crane et de se jeter contre par moment.

Arrivée à ta voiture je me laisse tomber sur le siège avant, me tenant la tête d'une main les yeux fortement fermés, les sourcils froncés. Suis-je entrain de décuver ou bien ses la drogue qui continue son méfait ?
Tu prend place à coté, derrière le volant, sans rouvrir les yeux je devine chacun de tes gestes, rien que me les imaginer me donne mal à la tête. Je grimace encore quand tu viens me mettre la ceinture, je ricane à ton oreille avant de poser ma joue contre la vitre humide, je brule littéralement de l'intérieur, je me sens mal je dois être fiévreux .
Malgré mon état déplorable je n'ai pas ignorer tes paroles, j'ai bien compris que me voir avec d'autre t'avais dégouter, sans doute que mon homosexualité débridé te dérange beaucoup, si j'aurai agis pareil avec des filles tu n'aurais rien trouver à redire. Mais je peux comprendre que deux hommes ensemble ça peux choquer , et je n'aurai jamais plus envie de m'afficher ainsi devant toi, je n'ai pas envie que tu me penses sale et dépravé.

Tu me secoue légèrement pour savoir mon adresse, je crois que je te la donne car tu démarre, je fais tomber mes clés d'appartement entre tes jambes et sombre dans un profond sommeil, qui risque d'être agité.
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MessageSujet: Re: Restart to continue ft Lee Gak    Restart to continue ft Lee Gak  EmptyDim 27 Jan - 10:16

Tu es bien mal en point et je m’en rends compte seulement maintenant. Tu voudrais que je perde mon sang froid, mais ça n’est pas le moment. On m’agresse et j’ai des paroles maladroites qui me valent un coup au visage. J’insulte ton ami, tu souris et je ne dis rien. L’intention n’était pas mauvaise. Il te sait en sécurité et te laisse entre mes bras. Tu m’inquiètes, alors je te pose dans ma voiture et tu m’indiques malgré ton absence le chemin vers chez toi, déposant tes clés entre mes jambes.

Nous mettons peu de temps et je te porte sans te réveiller pour ouvrir la porte que j’ai du mal à trouver. Tu es dans un studio, et bien que je trouve ça petit, ça m’a l’air confortable. Je ne m’attarde pas sur les détails, pour l’instant c’est toi qui m’inquiètes et je te pose sur ce qui semble être ton lit allant chercher difficilement de quoi te soigner. Tu es brulant de fièvre et je juge nécessaire d’en informer un médecin. Rassure-toi, il n’a rien à voir avec le genre de médecin familiale et très bourgeois que nous avons côtoyés plus jeune. Il est compétent et conserve le secret professionnel malgré les sommes que ma mère a tenté de lui verser.

Je fais ce qu’il me dit, t’enlevant ton haut délicatement pour le mouiller d’un gant et te recouvrir d’une couverture. Je pose ce même gant, chaud, sur ton front, épongeant ton visage au préalable et soupire. J’aurais du savoir, mais je n’ai jamais été un frère... je m’en rends compte peu à peu, que malgré mes efforts, je ne sers strictement à rien dans ce domaine là.

Je n’ai jamais su comment agir avec toi... toutes les excuses du monde n’y changeront rien. Ainsi, je pense que je te dois des excuses... je te demande pardon, d’être si solennel, de n’être qu’un idiot qui ne sait même pas se comporter en société... particulièrement avec son frère. Mais tu le sais déjà.

Je souris légèrement. J’ai profité de ton pseudo sommeil, je ne sais pas si tu m’entends, mais je réitèrerais mes excuses s’il le fallait... tu les mérites je pense, car même si j’y mets toute ma volonté, tu en es malheureux et ce n’est pas ce que je souhaitais ces derniers temps. Ça m’agace toujours autant, de savoir que je ne fais rien de bien, de savoir que c’est pour toi... ça ne me dérange plus, mais que tu n’en es pas satisfait m’accable.

Je soupire, puis me pose à côté de toi, ma tête cogne si fort que je ne m’entends plus penser. Je me contente de t’observer et vérifiant que ton gant et toujours chaud. Je me remémore au moins le début de la soirée. À vrai dire, je t’aurais bien enlevé ta tenue... mais tu l’aurais très certainement mal interprété, comme ton ami. J’essuie ma lèvre puis me relève pour passer un peu d’eau sur mon visage, observant au-dehors quelques instants. La ville est bien silencieuse et tout comme toi elle respire la tranquillité. Il n’y a que lorsque tu fermes les yeux que tu as l’air en paix.

Je me mords la lèvre, grimaçant à cause de la douleur que j’avais oubliée, puis m’assois et me mets à caresser ta joue. J’aimerais tellement te comprendre... je t’assure.

Je crois qu’à force de vouloir te comprendre j’en viens à te monopoliser... et je souhaite que personne ne t’approche comme ce soir... si ce n’est moi, car tu peux avoir confiance en moi... et même si je n’en ai pas l’air, j’ai toujours su que je pouvais compter sur toi.

Une révélation que j’espère, tu n’entendras pas, car j’exprime une possessivité telle qu’elle dépasse même cette relation fraternelle que nous aurions dû avoir. Je frissonne, puis grogne légèrement en m’éloignant un peu. Je ne sais pas ce qu’il me prend, je te parle alors que tu somnoles, je dois être bien lâche pour en venir à te confier toutes ces choses durant ton sommeil. J’ai peur de tes réactions, je crois. Mais je me forcerais à te dire tout ça... tu me l’as demandé, et s’il n’y a que ça qui puisse te soulager et te faire comprendre que j’essaie du mieux que je peux, alors je le ferais... quoi qu’il puisse m’en couter.

Je reçois un appel... ma mère, tiens donc. Elle est à l’appartement et je souris, ce soir tu m’évites une énième crise. Je ne lui réponds pas, elle comprendra d’elle-même que je ne l’aime pas de la même façon. Je m’assois par terre, puis pose ma tête sur le matelas, puis je m’assoupis légèrement à mon tour, observant ton visage. Tu as l’air de bouger, mais je sombre peu à peu, réveille-moi.... je ne veux pas perdre un instant... ne me laisse pas m’endormir sur mes lauriers... je veux discuter.
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