Sujet: « Bouge tes grosses fesses et ramène toi. » Mer 24 Oct - 11:00
« Tu veux qu’on se voit en ville ? »
« Non, j’veux pas bouger de ma maison. J’ai une maison assez grande, donc tu bouges tes gros lolos et tu te ramènes chez moi. »
« Mais Shawniiiiiiiiiiiiiiie ! T-T »
« Tu dors même ici cette nuit ! Aller ramène toi ! »
C’était toujours comme ça avec Min Yeon. Ou alors c’était elle qui avait le dernier mot, ou alors c’était moi. Cette fois, j’avais gagné. J’avais passé une semaine ignoble, avec mes deux vendeuses qui ne m’ont pas aidé, et en plus, j’avais perdu un gros client à cause d’une erreur de chèque. Non vraiment, j’avais tout, sauf envie de sortir de ma maison.
Min Yeon et moins sommes meilleurs amis depuis bien longtemps maintenant. Quelques années, en fait. Je l’ai rencontré quelques temps après mon arrivée à Ulsan. Nous avions fait connaissance, grâce à des amis en communs l’hors d’une soirée arrosée. Puis nous avons bu, un verre, puis deux, trois… Il y a eu des concours aussi. Et il s’est passé des choses entre temps qui m’ont échappées. Le lendemain matin, nous étions dans les bras l’un de l’autre, nus. Il ne fallait pas être très intelligent pour comprendre comment s’est passé la nuit. Nous avons fait un point là-dessus et avons décidés de passer outre. Et nous nous sommes revus, en bon terme, juste amical.
Nous étions [ Et nous sommes ] tout de même assez étrange, ensemble. Nous ne sommes jamais d’accord sur rien. Je l’énerve, elle me saoule. Je dis noir, elle répond blanc, et vice versa. Pourtant, je suis incapable de faire quoi que ce soit sans elle. Et si je suis indécis, alors c’est elle, la première connasse que je vais voir. C’est la femme de ma vie quoi.
J’entends la sonnette retentir dans mon grand appartement, ainsi que des coups répétitif dans ma porte. Ah, elle est enfin là ! Je descend de mon lit, à pieds nus et cours à travers ma maison. J’ouvre la porte, et m’exclame, alors qu’une famille est dans le même couloir.
« Aaah ! Mon amouuuur ! J’ai reçu le livre du Kama-Sûtra que tu m’as envoyé de ton dernier voyage ! Il faut ABSOLUMENT QU’ON LE TEST AU MOINS LA PREMIER PAGE CE SOIR MA BEBE ! »
Ceci fait, je t’embrasse à pleine bouche, mes deux mains posées sur tes joues, et je te tire à l’intérieur. Les pauvres gens dans le couloir se regardent tous, très mal ç l'aise. Voilà, ma cri-crise est passée. Mais c'est pas comme si tu n'étais pas habitué à ce genre de retournement de situation [ et de cerveau ... ] venant de ma part. Quoi que... Au début, tu avais eu du mal. Une fois entrée, je m’éloigne et reprend un visage neutre et me pose dans mon canapé.
« Décidément, tu mets un temps fou pour venir me voir. T’as quelqu’un dans ta vie ou quoi ? »
Han Min Yeon
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■ humeur : Jun Hee est une magnifique petite princesse
Sujet: Re: « Bouge tes grosses fesses et ramène toi. » Ven 26 Oct - 18:30
J’entendis mon téléphone sonner sur la coiffeuse de ma chambre, j’étais si bien dans mon lit à trouver que j’ai une horrible vie, je n’avais pas envie de répondre au téléphone, il allait bien arrêter de sonner ce téléphone, il s’est arrêté, victoire je ne serais pas obliger de répondre à des gens, mais j’étais curieuse de voir qui m’avait appeler et peut être rappeler. Je récupéra mon téléphone et consulta les appels manqués, j’en avais qu’un et s’était Shawnie, ah ben si c’est lui, je veux bien le rappeler. J’entendis la tonalité et de une et de deux, il décroche, de mon ton le plus joyeux, je lui demandais s’il voulait que l’on se voit en ville ?
« Non, j’veux pas bouger de ma maison. J’ai une maison assez grande, donc tu bouges tes gros lolos et tu te ramènes chez moi. »
Aahh lui, il avait passer une mauvaise semaine, mais j’avais pas envie d’aller chez lui, j’étais bien aussi chez moi et s’était aussi assez grand, pas plus grand que chez lui, mais j’ai pas à m’en plaindre et lui c’est qu’un gros fainéant qui veut pas se déplacer parce qu’il a passer une mauvaise semaine.
« Mais Shawniiiiiiiiiiiiiiie ! T-T »
Je tentais une protestation, non je n’allais pas aller chez lui, c’est moi qui aurait le dernier mot…
« Tu dors même ici cette nuit ! Aller ramène toi ! »
Et vlan il avait raccroché, pfffff j’allais devoir me déplacer, rajouter à ça qu’il voulait que je dorme chez lui, le monsieur avait vraiment passer une mauvaise semaine, je vais être une gentille meilleure amie à l’écoute de ses problème, ouai voilà, c’est un bon plan, je vais arrêter de me plaindre de ma vie et aller l’écouter de se plaindre de la sienne, je vais oublier mon horrible vie un moment. J’allais prendre une douche qui dura environ trente minutes, le de temps de sécher mes cheveux et de m’habillai cela me prit presque deux heures, je prends mon temps quand je m’habille, il faut que j’accorde les couleurs, que je sois classe dans les vêtements et un petit maquillage discret, oui je me fais belle pour rester dans une maison.
Voilà, j’étais toutes belle dans ma tenue, les cheveux lâchés, prête à affronter les crises de Shawnie. J’avais fait appel à un taxi pour me rendre chez lui, le gardien de l’immeuble m’informa qu’il était arrivé.
Je payai mon taxi, descendis et me dirigeai vers son appartement. Je sonnais à la porte suivie de coups répétitifs à la porte, on sait jamais, il s’était peut être endormie, deux heures quand même c’est long. Une famille passa dans le couloir, je leur souris lorsqu’il ouvra la porte et s’exclama :
« Aaah ! Mon amouuuur ! J’ai reçu le livre du Kama-Sûtra que tu m’as envoyé de ton dernier voyage ! Il faut ABSOLUMENT QU’ON LE TEST AU MOINS LA PREMIER PAGE CE SOIR MA BEBE ! »
Je le regardai les yeux bien écarquillai, mais il était pas bien celui-là, il le fait exprès, je me tournai vers la famille et tenta de m’excuser et au vue des regards des parents, je venais de me faire une réputation de personne pas fréquentable et lui de voisin obsédé. Je n’eus pas le temps de m’excuser convenablement avec la révérence à 90° qu’il m’embrassa à pleine bouche, les deux mains posées sur mes joues et me tira à l’intérieur. J’étais persuadé qu’aux yeux des adultes qui étaient dans le couloir, j’étais définitivement la fille pas fréquentable et lui le voisin obsédé, je ne voulais même pas imaginer ce que les enfants penser de ce spectacle. Fermant la porte derrière moi pendant qu’il était encore là, à m’embrasser.
Son délire fini, il s’éloigna tranquillement comme si de rien n’étais et s’assit sur son canapé, au bout de je sais plus combien de délire de sa part, je m’étais habituée à ce genre de crise, j’en avais vue de toute les couleurs, les pires c’est quand il les faisait en publique, à cause de lui, je passais pour une personne louche. Comment j’ai fait déjà pour qu’on devienne des meilleurs amis ? Ah oui, c’est vrai, j’étais trop saoul et j’ai couché avec lui.
« Décidément, tu mets un temps fou pour venir me voir. T’as quelqu’un dans ta vie ou quoi ? »
Il y Josh Harnett qui m’attend sur une piste d’atterrissage, on doit aller faire un tour dans un avion avant qu’il parte faire la Guerre baaaammmmm c’est bien de rêver, je devrais arrêter de regarder Pearl Harbor et Titanic aussi.
Je me dirigeai vers Shawn et m’installa sur la table basse en face de lui.
« Oui je vais bien ! On a fait quoi à Shawnie chéri pour qu’il se tape une crise et qu’il appel sa jolie Min ? »
Sourire angélique, je ne voulais certainement pas parler de mes relations chaotiques avec les mecs et je me trouvais narcissique aussi, mais c’est vrai, je suis belle.
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Sujet: Re: « Bouge tes grosses fesses et ramène toi. » Mar 30 Oct - 18:52
« Oui je vais bien ! On a fait quoi à Shawnie chéri pour qu’il se tape une crise et qu’il appel sa jolie Min ? »
« J’ai passé une journée atroce. Non ; une semaine atroce ! Je voudrais mourir, là, maintenant, et te léguer tous mes biens ! Cet appartement, ma maison à Los Angeles ! Mes trois magasins, ma fortune ! Mes vêtements, mes organes même si tu veux ! J’en ait ras le bol de faire le patron à longueur de temps, à devoir remettre les gens à leurs places, et de voir à longueurs de temps des filles à moitiés nues qu’un abruti m’envoie pour que j’accepte un partenariat avec ! Je veux MOU-RIR. »
Et j’avais fini ma phrase en me laissant tomber en avant, la tête entre tes gros nénés. Oui, mais non. Un jour tu vas vraiment te poser des questions à mon sujet. Je dois vraiment passer pour un type louche. Je suis directeur, je vois défiler des centaines de filles presque nues tous les jours. Je suis insensible, méchant, orgueilleux, sournois, et en plus de ça ; dès que je tape ma petite crise, j’appelle la seule femme de ma vie, et plonge ma tête dans ses seins, au lieu de pleurnicher dans ses bras.
Oh, je sais qu’elle ne m’en voudras pas… C’est pas comme si nous étions deux coincés, en fait. J’avais tendance à la tripoter, parfois. Et nous avions couché ensemble… Elle était ivre morte, moi pas. Je tenais encore debout. Du moins ; assez pour me souvenir du maximum de chose… Et quel agréable souvenir ! C’est sans doute pour cela, que j’aime tellement sa poitrine ; il faut dire que j’ai passé un certain temps dessus. L’observation ! Ou nous avons de bons yeux, ou alors… Non. En ce qui me concerne, cette nuit-là, même si j’avais était aveugle, j’aurais retrouvé la vue en moins de temps qu’il n’en faudrait pour le dire. Elle est roulée comme une bonasse aussi… Faut m’comprendre. Et plutôt bien répartie ! #PARF#
« Tu n’as toujours pas répondu à ma question… »
Alors à ça, elle n’allait pas y manquer. J’avais prononcé cette phrase, la tête toujours plongé contre sa poitrine que j’affectionne tout particulièrement. Pourquoi avait-elle mis autant de temps avant de venir, celle-là d’abord ? Hein ? Je sais qu’elle met toujours un temps fou à se préparer, mais là, c’était un peu long. Je me redresse, et je lui lance un regard d’assassin. Je la regarde dans le blanc des yeux. Je sais qu’elle n’a pas peur, et vis versa. Mais si elle à quelqu’un dans sa vie, alors ça reviendrait à me tromper. Et moi… Je déteste la tromperie ! Nous ne sommes pas ensemble, c’est vrai. Mais c’est ma meilleure amie. C’est la femme que j’aime le plus au monde, celle en qui j’ai le plus confiance. Et quitte un jour à la voir se faire draguer par une espèce de tapette, ou un véritable boloss, sous mes yeux, eh bien je lui fais un enfant dans les secondes qui suivent. Propriété privé les mecs, okey ? Et c'est pas négociable.
« Tu étais avec qui ? Un gars ? Il s’appelle comment ? Pourquoi tu n’as pas répondu au téléphone la première fois que je t’ai appelé ? Tu étais encore occupée à je ne sais quoi, hein ? Salope ! C’est moi l’homme de ta vie, c’est à moi que tu dois faire plein de truc, et surtout ; TU DOIS ME RÉPONDRE AU TÉLÉPHONE A LA SECONDE MÊME OU IL SONNE. »
Et voilà, c’était reparti pour un tour. Non, vraiment, je ne voudrais pas qu’un jour, quelqu’un me la prenne. Je sais qu’elle fera sa vie, et moi la mienne (ouais, c’est ça) mais je n’arrive pas à me faire à cette idée. Elle me regarde toujours, elle et son visage magnifique. Ses cheveux soyeux, et son regard de braise qui me fait bien comprendre qu’elle m’emmerde à ce moment précis. Je me lève, brusquement, et je la toise du regard.
« Bon, c’est comme d’habitude ? Tu dors dans mon lit ? Ou tu dois faire preuve de fidélité cette fois aussi ? »
Je partais dans la cuisine, et allait chercher deux verres. Je revenais dans le salon, les posais à côté d’elle, vue que mademoiselle avait posé son cul et son gras sur ma table basse. J’y retourne, prend plusieurs bouteilles. Un jus d’orange simple, de l’eau, et deux bouteilles alcoolisées. Parce que, avec elle, c’est la fête dès le début de la journée. Et c’est justement ça, qui me fais peur, actuellement. Quoi que non, en fait. Je pose ensuite les bouteilles sur la table, et je m’assois de nouveau face à elle, les bras et les jambes croisés. Elle me regarde, je tourne la tête presque automatiquement.
« Dis ce que tu veux, je suis occupé à bouder. »
Han Min Yeon
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Sujet: Re: « Bouge tes grosses fesses et ramène toi. » Mer 21 Nov - 18:59
« J’ai passé une journée atroce. Non ; une semaine atroce ! Je voudrais mourir, là, maintenant, et te léguer tous mes biens ! Cet appartement, ma maison à Los Angeles ! Mes trois magasins, ma fortune ! Mes vêtements, mes organes même si tu veux ! J’en ait ras le bol de faire le patron à longueur de temps, à devoir remettre les gens à leurs places, et de voir à longueurs de temps des filles à moitiés nues qu’un abruti m’envoie pour que j’accepte un partenariat avec ! Je veux MOU-RIR. »
Je le trouvais très drôle, vouloir mourir pour ça, c'est quand même bien débile, vaut mieux être le patron que l'employer, mais j'étais très touchée qu'il pense à moi pour héritière, je lui fis un sourire. Son petit discours fini, il laissa tomber sa petite tête dans mes seins, aoouuttccchhh, ce n'est pas un cousin à ma connaissance. Je laissais échapper un soupir au-dessus de sa tête.
« Tu n’as toujours pas répondu à ma question… »
Dit-il la tête toujours plongeai entre mes seins, je lui tapotai la tête comme une mère le fait à son enfant lorsqu'il vient pleurer qu'on lui a fait du mal. Je ne lui répondais pas et je me doutais bien, qu'il va finir par s'énerver parce qu'aucune réponse ne sorte de ma bouche, je n'attendis pas très longtemps quand enfin il se décida à se redresser et m'adressa son regard assassin droit dans les yeux, je soutenais son regard, il ne me fait pas peur, je ne suis pas une de ses employés sur lequel il beugle sans cesse parce qu'elle ou il n'aurait pas fait son travail correctement.
« Tu étais avec qui ? Un gars ? Il s’appelle comment ? Pourquoi tu n’as pas répondu au téléphone la première fois que je t’ai appelé ? Tu étais encore occupée à je ne sais quoi, hein ? Salope ! C’est moi l’homme de ta vie, c’est à moi que tu dois faire plein de truc, et surtout ; TU DOIS ME RÉPONDRE AU TÉLÉPHONE A LA SECONDE MÊME OU IL SONNE. »
Ah ma parole c'est mon mec celui-là ! J'étais sur le bord de l'asphyxie tellement je me retenais de rire, il était mignon quand il me faisait une crise de jalousie, j'en avais presque envie de l'embrasser. Autoritaire, méchant et bien d'autres choses aussi, selon les paroles de ses employés avec qui j'aime faire la commère, ils disaient tous, que c'est un monstre sans coeur, qu'ils ne comprenaient pas comment je pouvais aimer une personne comme ça, alors que j'étais une personne si adorable et bien trop bonne pour lui. Je répondais avec sourire que les contraires s'attirent à ce qu'il paraît et que Shawn n'est pas si monstre que ça. L'avoir comme meilleur ami est une des choses que j'aime, avec lui tout était différent, pas d'histoire dramatique.
« Ummmhhh…. »
Je n'avais même pas le temps de continuer qu'il s'était levé et m'informa, qu'on faisait comme d'habitude, je dors dans son lit et que je dois faire preuve de fidélité, sa ressemblait pas vraiment à une information, mais plutôt à un ordre. Il se dirigea vers la cuisine pendant que j'admirai ses fesses, il avait de belle fesse quand même.
Il ne mit que quelque minute et revînt avec quelque bouteille à la main un jus d'orange simple, de l'eau, deux bouteilles alcoolisées et deux verres. Je souris de joie et applaudit des mains lorsqu'il déposa les bouteilles et les deux verres sur la table base, avant de retourner sur le canapé et faire sa tête de boudeur.
« Dis ce que tu veux, je suis occupé à bouder. »
Je me servis un verre de jus d'orange, bus une gorgée et le regarda.
« Tu sais, si t'as toujours besoin d'aide pour mourir, je suis là, personnellement je ferais don de tes organes, tu accompliras de bonne action depuis ton lit de mort. » nouvelle gorgée « Quant à la question, si t'as envie de savoir avec qui j'étais, ben avec Robb Stark et je ne pense pas pouvoir te jurer fidélité ce soir, je dois aller à l'aérodrome d'Ulsan, j'ai un beau pilote qui doit me faire voir Ulsan depuis les air. »
Et paf, je terminai mon verre de jus d'orange avec un sourire mesquin de joie. Je me servis un deuxième verre lorsque son regard d'assassin refait surface. Regard assassin, partie deux. Posant mon verre sur la table basse, poussant sa jambe afin qu'il est les jambes décroisés et m'assis sur lui, je m'installais sur ses jambes, sa tête entre mes bras.
« Tu pourrais me bouder autant de fois que tu le veux, ça t'empêchera pas d'appeler la salope de Min Yeon, parce que je suis la femme de ta vie, enfin j'espère et surtout qui d'autre que moi peut supporter un connard tel que toi, hein ? Tes excès de colère, tes envies de mourir et tes manières tactiles, faut être genre super pervers pour être ta meilleure amie, imagine un peu si ta meilleure amie était une sainte, dis-moi comment tu aurais fait, elle aurait surement crié au viol si tu plongeais ta tête dans ses seins. »
Je me penchai légèrement pour attraper mon verre et bus la moitié de son contenu.
« T'es rien sans moi.»
Spoiler:
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